rozprawy |
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Eugeniusz Wojtacha
Eugeniusz Wojtacha
Arystotelesowskie szkoły w patrystyce
Aristotelian Schools in the Patristical Period
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(Announcement of the dissertation, ready for the press, on „Lines of Patristic Controversies on the Person”, read at a session of the Philosophical Section of the Society of the Catholic University of Lublin).In the patristic period there arose two great philosophic schools: the „saecu- iariorum schola” and the „ecclesiasticorum schola”.The „saeculariorum schola”, which considered not only the principles of aristo- telian philosophy but also the aristotelian conception of the structure of the substantive individual an absolute truth, gave in the doctrine of St. John of Damascus (its last representative) the following picture of the metaphysical structure of the substantive individual:ύπόταις-μεριχόν { ύπόταις-ὕπαρξις ἐνυπόστατον { συμβεβηϗότα---έτεροϋπόστατα φύσις { μορφή ὄλη πρώτη { αὐτρϋπόσταταIn Latin we can express it as follows:individuum substantivum { existentia quidditas { accidentia substantia { forma substantialis materia primaThe person is the ύπόταις-μεριχόν „individuum substantivum”, endowed with an intelligent nature; the element constituting the person is the ύπόταις-ὕπαρξις („existentia”).The „ecclesiasticorum schola” which considered only the principles of aristotelian philosophy an absolute truth, gave in the doctrine of Rusticus Diaconus (its last representative) the following picture of the metaphysical structure of a substantive individual:subsistentia-individuum substantivum { natura { accidentia subiecta natura subsistentia-fundamentumLeontius of Byzantium, a predecessor of Rusticus, expressed the idea of the „ecclesiasticorum schola” in the following Greek terms:ύπόστασις-μεριχόν { ένυπόστατον { συμβεβηϗότα---έτεροϋπόστατα φύσις ύπόστασις-ύποχείμενον } αὐτρϋπόσταταThe person is the „subsistentia-individuum substantivum”(ύπόστασις-μεριχόν) endowed with an intelligent nature; The element constituting the person is the intelligent „sub- sistentia-fundamentum” (ύπόστασις-ύποχείμενον). The conception of the metaphysical structure of the substantive individual in general, and the discovery of the element constituting the person in particular, as presented by the „ecclesiasticorum schola” have fallen into oblivion.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Stanisław Adamczyk
Stanisław Adamczyk
Wartość epistemologiczna pięciu dróg św. Tomasza z Akwinu
Valeur épistémologique des cinq votes de St. Thomas D’Aquin
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L’Ab. M. R. A. Sillem a publié en 1957 un ouvrage intitulé: George Berkeley and the Proofs of the Existence of God. II s’y efforce tout d’abord de montrer que la position de Berkeley, basée sur le principe de vérification, conduit, dans la question de l’existence de Dieu, à un agnosticisme rationnel total, ce qui a incité plus tard Kant à prononcer définitivement, dans la Critique de la Raison Pure, l’impossibilité de demontrer par voie de raisonnement l’existence de cet Étre suprême; II a été suivi sur cette voie par les tenants ultérieurs du criticismeanglo-saxon: A. Fairer, H. J. Paton, J, C. Smart, B. Russell, R. W. Hepburn et autres. L’ab. Sillem, tout en rejetant la position de ces agnostiques, soumet cependant à une critique intéressante les célèbres „cinq voies” de la Somme théologique de St. Thomas, s’efforçant de démontrer que ces preuves ont le caractère de vérités purement théologiques et que St. Thomas lui-même attache plus d’importance à la preuve purement métaphysique, présentée dans De Potentia (q. 3, a. 5). Le présent article se propose, en conséquence, de mettre en relief l'affirmation que les cinq voies de St. Thomas, exposées surtout dans la Somme théologique, possèdent cependant le caractère de preuves philosophiques, plus précisément métaphysiques. De plus, à l'encontre de Van Steenberghen et de certains thomistes polonais (P. A. Krąpiec, Mgr. B. Bejze, Ab. W. Granat), il cherche à montrer que les célèbres cinq voies constituent, selon l'Aquinate, des preuves entièrement distinctes menant à la reconnaissance de l'être suprême qu’est Dieu.
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Mieczysław Gogacz
Mieczysław Gogacz
Tomaszowa teoria intelektu i jej filozoficzne konsekwencje
La Theorie de l’Intellect Chez St. Thomas et ses Consequences Philosophiques
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En philosophie ne peuvent exister essentiellement que deux théories de la nature de l’intellect: celle liée à l’idéalisme philosophique et celle liée au réalisme philosophique.Certaines théories de l’être excluent certaines théories de l’intellect. Celui done qui soutient la thèse réaliste doit accepter la théorie de deux intellects comme de deux facultés cognitives de l’âme humaine. A l’inverse, rejeter la théorie de deux intellects oblige au refus de la philosophie réaliste, ce qui entraîne forcément l’acceptation de l’idéalisme, lié précisément à la théorie de l’intellect unique.Dans l'ordre méthodologique la première est évidemment la théorie de l’être dont les propositions telles que le principe d’identité, celui de non-contradiction ou la théorie de l’acte et de la puissance servent à formuler la théorie de deux intellects. Pour déterminer les fonctions active et passive de l’intellect il me faut savoir au préalable ce que sont l’acte et la puissance. La théorie de deux intellects une fois formulée cependant, je ne puis ne pas en venir aux résultats réalistes de la connaissance.L’àme humaine raisonnable connaît à l’aide de deux intellects: l’un passif,réceptif, et l’autre actif, qui opère l'abstraction et qui, comme le dit St. Thomas dans „De unitate intellectus contra averroistas parisienses” actualise les contenus connaissables qui existent en puissance. L’intellect donc, en l'occurrence l'intellect possible, est une des puissances cognitives de l'âme humaine, forme du corps. II est la puissance cognitive proprement dite, recevant les „species” créées par l’intellect agent. C’est un être à existence non autonome, subjectivisé dans l'âme. De ce fait il ne peut accomplir aucune opération sans relation avec toute la substance. L’activité cognitive de l'intellect est done liée aussi à l’activité sensible des puissances cognitives. Ce lien n’est pourtant que fonctionnel. L’intellect, n’ayant pas d’organe sensoriel propre, reste intérieurement indépendant du corps, distinct d’une manière particulière, bien qu’il soit en l’homme ensemble avec l'âme, comme faculté cognitive de celle-ci. L’intellect n’est done pas la même chose que la puissance cognitive sensible. II ne se confond pas non plus avec l'âme; s’il le faisait, il devrait, en tant que forme du corps, connaitre comme connaît un organe corporel. Il ne saurait jamais, dans une telle situation, connaître le général, créer des concepts, aller au-delà du niveau des perceptions. Partant du fait de la connaissance intellectuelle chez l’homme nous pouvons affirmer qu’en plus de l'âme existent des facultés cognitives distinctes de cette dernière, qui ne sont pas la forme du corps et des organes corporels, et capables d’opérations cognitives indépendantes. St. Thomas, développant en détail la pensée d’Aristote, montre qu’une telle conception permet d’éviter le sensualisme.Éviter le sensualisme, voilà la première conséquence de la théorie de l'intellect acceptée par St. Thomas. Les autres conséquences exposées dans l'article sont les suivantes: exclusion de l'idéalisme métaphysique, rejet de la théorie séparant l'intellect de l'homme, justification du réalisme philosophique, libération de l'épistémologie de la théorie des idées innées, reconnaissance en l'homme d’une aptitude réelle à la connaissance indépendante du monde, mise à l’écart de l’apriorisme, preuve établie de l'immortalité individuelle de l'âme humaine, formulation de la théorie de la connaissance directe de l’existence par l'intellect possible dans la „vis cogitativa” de l'homme, enfin, explication de la nature de l’expérience mystique.En conclusion remarquons que la théorie de l'intellect est la théorie d’un être d’une catégorie particulière. Comme tout être, l’intellect se compose de l’existence et de l'essence. Il est d’une manière non autonome, comme faculté de l'âme. Spirituel en son essence, avec une „commensuratio” propre par rapport à l'âme, il remplit envers eile le rôle de l’acte, existant au mode de l'accident. L’intellect possible est passif par nature. L’intellect agent, lui, est actif: il opère la transformation des „species” cognitives. L’intellect possible est passif à l’égard de son objet de connaissance; l'intellect agent est actif par rapport à son objet. Par la coopération des deux intellects, l'âme humaine raisonnable connait la réalité.
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Issue: 1
Antoni Siemianowski
Antoni Siemianowski
Teoria istnienia realnego i tzw. sposoby istnienia u Henryka z Gandaw
La Theorie de L’Existence Reelle et les „Modes D’Existence” Chez Henri de Gand
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L’article se propose de découvrir les propositions fondamentales d’Henri de Gand au sujet de l’existence réelle et de son rôle dans l’être, contenues dans la Summa ąuaestionum et les Quodlibeta. Parlant de l’existence, Henri se sert de diverses expressions, aussi les deux premières parties de l’article s’efforcent-elles de préciser cette équivocite de sa terminologie sur ce point, et en particulier de déterminer les divers sens de l'expression „modus essendi”. Dans la troisième partie, l'auteur essaie de présenter la conception de l’existence réelle chez Henri de Gand, „esse rei verum = esse actualis existentiae”. Selon le philosophe, seule l’existence actuelle constitue un être donné dans l’ordre des choses réelles. II définit cet acte d’existence par l’expression „esse actualis subsistentiae”. L’acte d’existence de ce genre crée l’être, autrement dit une essence donnée, et non pas seulement appartient à cet être, et confère une actualité objective à tout ce que l’intellect connaissant peut distinguer par l’abstraction et déterminer avec quelque précision dans un être réel donné. Le résultat d’une teile caractérisation de l’être c’est l’abstraction d’éléments tels que l'essence, l'existence, la nature, le sujet, la substance, les accidents, la matière, la forme et divers modes d’existence comme „esse essentiae” et „esse existentiae”, „esse ab alio” et „esse a se”, „esse effective” et „esse formaliter”, „esse causatum” ou „esse participatum” et „esse necessarium”. Ces éléments de l’être et ces modes d’existence ainsi distingués n’existent que dans l’abstrait, „secundum abstractum” et ne constituent aucune réalité troisième. Ils sont la réalité de l’intellect qui définit de la sorte cognitivement un être concret donné, „secundum concretum”. De là découle l’importante conclusion que l’„esse essentiae”, diversement interprété jusqu’ici, ne constitue en fait, dans la métaphysique d’Henri de Gand, aucune réalité intermédiate par rapport à l’esse existentiae. L’„esse essentiae” n’est qu’une notion de l’intellect qui caractérise de plus près une chose réellement existante — „esse existentiae in re extra animam”. En effet, le réalisme et l’existentialisme philosophique sont la tendance dominante dans la métaphysique du philosophe de Gand même dans ses expressions aviceniennes: d’Avicenne Henri de Gand n’a emprunté que la terminologie sans faire siennes les affirmations.
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Issue: 1
Stefan Swieżawski
Stefan Swieżawski
Z problematyki metodologicznej badań filozofii XV w.
Remarques Methodologiques Concernant les Recherches sur la Philosophie du XVe Siècle
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1. L’emploi légitime que fait l’histoire de la philosophie de termes tels que „école, courant, orientation, époque” ne manque pas de présenter certains dangers. Le premier de ces dangers c’est la tendance à réifier ou à personnifier des généralisations que l’on traite en êtres possédant leur „vie” propre. Un autre danger se manifeste dans l’attribution illicite de contenus idéologiques à certaines notions; dans notre cas il s’agit surtout de deux paires de notions: scolastique — humanisme et moyen âge—renaissance.a) La scolastique et l'humanisme peuvent être conçus comme des ensembles d’opinions (difficiles à déterminer) ou encore comme différentes styles de production culturelle. Les éléments humanistes, en effet, ne caractérisent pas l’epoque moderne seule; quant à la scolastique, eile n’a jamais cessé d’apparaître dans la vie de l’esprit en Europe. Les textes philosophiques et théologiques du XVe s. prouvent que, la plupart du temps, des éléments humanistes y coëxistent avec des manifestations d’esprit purement scolastique. Le fait que la grande majorité des historiens qui étudient la philosophie de cette époque ne s’attachent qu’aux auteurs décidément humanistes cause une grave lacune dans les exposés de l'histoire de la philosophie européenne; les médiévistes n’avancent pas au delà du XIVe s. et les historiens de la pensée moderne ne commencent par la Renaissance que pourintroduire Descartes ou Fr. Bacon! Dans cette nouvelle perspective apparaït l'importance des recherches concernant toutes les manifestations philosophiques au XVe s.; l’étude de la philosophie polonaise à cette époque contribue grandement à la connaissance de la philosophie européenne d’alors et vice-versa.b) La deuxième paire de notions: moyen âge — renaissance présente pareilles difficultés. S’opposant à une acception péjorative ou apologétique du terme „moyen âge”, une réflexion approfondie nous révèle chaque époque comme „moyenne” (un transitus perpétuel) et comme une renaissance (retour et stabilité de traditions). Dans l’étude de l’histoire des idées les historiens doivent envisager aussi bien les points de changements violents que la continuité des processus; ils ont l'obligation de faire connaître les critères d’après lesquels certains faits et certains processus leur paraissent plus importants que d’autres.2. La détermination précise de l'objet de l'histoire de la philosophie ne peut jamais dépendre du nom même de „philosophie” dont le sens varie et évolue profondément. À l'encontre de ce critère purement verbal il en faut introduire un autre suivant lequel sera philosophique tout ce que jugera tel l'historien de la philosophie, selon sa propre conception de la philosophie. En ce qui concerne la philosophie du XVe s., les titres des ouvrages ne nous disent rien de précis sur leur contenu; les écrits théologiques, ascétiques, médicaux, juridiques, économiques, astronomiques etc. contiennent à cette époque de riches éléments philosophiques.3. Deux questionnaires sont des outils fondamentaux pour l'historien de la philosophie dont l'objet „matériel” de recherches reste toujours un texte écrit: le questionnaire philosophique (relevé de problèmes philosophiques) et le questionnaire historique (liste de tous les conditionnements qui entourent chaque fait philosophique). La vie philosophique du moyen âge tardif est bien différente de celle des grands siècles de la scolastique.a) II ne faut point négliger le rôle joué à cette époque par le naturalisme (biologisme et laïcisme), l’occultisme et la „nouvelle théologie”.b) La Philosophie du XVe s. ne devient objet passionnant de recherche que pour ceux qui ne s’attachent pas uniquement aux „grandeurs” et à l'originalité philosophique et qui sont persuadés qu’il n’existe pas d’époque non-intéressante pour l'historien de la philosophie. L’éclectisme, si caractéristique du moyen âge tardif, ne semble pas être seulement un symptôme de faiblesse intellectuelle mais aussi résulter de la rechercher consciente d’une communis opinio, reconnue comme antidote contre le déchirement intellectuel de la chrétienté, causé entre autres par les querelles d’écoles (Gerson); c’est un fait parallèle au conciliarisme, à l'irénisme et à l'oecuménisme dont rêvaient les grands esprits de cette époque.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Jan Czerkawski
Jan Czerkawski
Gilsonowska koncepcja historii filozofii
Conception Gilsonienne de l’Histoire de la Philosophie
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L’article se propose d’analyser la conception de l’histoire de la philosophie chez Étienne Gilson. Dans les écrits de ce dernier, relatifs à la question qui nous intéresse ici, on a distingué et analysé successivement ses vues au sujet de trois plans de recherche en histoire de la philosophie, à savoir: 1. l’histoire de la littérature philosophique, 2. l’histoire des doctrines philosophiques, 3. l’histoire proprement dite de la Philosophie. L’objectif principal des recherches au plan de l’histoire de la littérature philosophique est l’édition critique du texte philosophique. Au plan de l’histoire des doctrines l’historien de la philosophie, s’appuyant sur les recherches menées dans le domaine de l’histoire de la littérature philosophique, s’efforce, utilisant la méthode de l'analyse interne des doctrines philosophiques, de parvenir aux conceptions essentielles des doctrines étudiées afin de recréer de la manière la plus fidèle possible les facteurs essentiels qui les façonnent. L’histoire des doctrines constitue un ensemble d’expériences philosophiques, comprises par Gilson d’une manière particulière; eile nous montre les philosophes regardant la réalité à partir de points de vue déterminés. Dans l’histoire proprement dite de la philosophie, sur la base des investigations menées en histoire des doctrines, on découvre les connexions nécessaires entre les diverses conceptions philosophiques, on unifie et dynamise l’histoire de la pensée philosophique dans le but de former une image aussi pleine et compréhensive que possible de ces dernières. Ainsi pratiquée, l’histoire de la philosophie doit aider la philosophie dans la découverte de la vérité. La dernière partie de l’article examine la méthode de l’analyse interne des doctrines philosophiques. Dans la conclusion on affirme que la conception de l’histoire de la philosophie telle qu’on la trouve chez Gilson découle du réalisme philosophique appliqué avec logique.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
13 >
Issue: 1
Antoni Stępień
Antoni Stępień
W sprawie możliwości teorii poznania
On the Possibility of the Theory of Knowledge
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The author proposes to conceive and pursue the theory of knowledge as a philosophical science studying the truth („informativeness”) of human knowledge and seeking a criterion or criteria of truth so as to proceed to a final assessment of the cognitive value of the cognitive results actually achieved. Such a theory of knowledge can be rendered impossible by: 1. the lack of object or of an appropriate knowledge of it, 2. the necessity of stopping, in the cognition, at a knowledge of unknown value, the unavoidability of dogmatism or petitio principii, -3. .the impossibility of a sufficient refutation of positions attacking the rational conception of science, such as universal agnosticism, universal scepticism or universal relativism, 4. the inexistence or impossibility of a valid application of the criterion of truth. The article endeavours to show that all those dangers do not imperil the theory of knowledge and that there exists no basic rational obstacle to prevent from pursuing the theory of knowledge according to the conception proposed here.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
13 >
Issue: 1
Antoni Stępień
Antoni Stępień
Zagadnienie punktu wyjścia teorii poznania
The Problem of the Starting Point of the Theory of Knowledge
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The paper comprises four parts entitled respectively: Notion and role of the starting point in science, On the theory of questions, Wrong formulation of the starting point, Right formulation of the starting point. In accordance with the postulates of the rational conception of science the author states that the theory of knowledge cannot begin with the following questions: 1. Does knowledge exist? 2. Does true knowledge exist? 3. Does the object of knowledge exist? 4. Does real world exist? 5. Does intersubjectively communicative knowledge exist? He proposes instead to start research by asking two questions: 1. How and why do errors occur in knowledge? 2. How can one avoid errors in knowledge?
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
13 >
Issue: 1
Antoni Stępień
Antoni Stępień
W kierunku metasystemu teorii poznania
Towards a Metasystem of the Theory of Knowledge
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After brief remarks concerning the idea and conditions of the formulation of the metasystem of a science the author expounds in more detail the conception of the theory of knowledge which he accepts. Then he proceeds to a general discussion of the character of the language, first propositions (basic statements) and methodological structure of the theory of knowledge. The article ends with remarks on what relation the theory of knowledge bears to other knowledge. In the acceptance of the first propositions of the theory of knowledge an important role is played by the distinction between „data to examine” and „data to accept”, as well as between the „result of cognitive experience” and the „record of cognitive experience”.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
13 >
Issue: 1
Andrzej Wawrzyniak
Andrzej Wawrzyniak
Filozofia Martina Heideggera w świetle nownowszych opracowań
The Philosophy of Martin Heidegger in the Licht of Recent Literature
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The article reviews, concentrating on a few problems, some of the recent, and even latest, studies devoted to the philosophy of Martin Heidegger. The complete list of the literature discussed is given in footnote 5 of the paper. Having distinguished, after Spiegelberg, three periods in Heidegger’s philosophical production, a) preparatory period, b) so-called phenomenological period with the book Sein und Zeit, and c. so-called period „under the sign of Hörderlin”, the author discusses the basic philosophical idea of the thinker of Friburg: the problem of the meaning of being (Sinn von Sein). Next he draws the general characteristics of Heidegger’s philosophical method, with special regard to his conception of phenomenology in the second period of his activity, and his conception of „thinking” (Denken) in later writings. The paper stresses the fact that the studies on Heidegger’s idea of being do not take into consideration, as a rule, the historical and philosophical context, or the methodological aspect of the problem, either. The last part of the paper describes the philosopher’s univocal conception of being, followed by his analysis of the problem of truth and its relation to being. Critical remarks pointing to the main source of Heidegger’s irrationalism and the oscillation of his system between metaphysical idealism and realism conclude the article.
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dyskusje |
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
M. A. Krąpiec
M. A. Krąpiec
O rozumienie Arystotelesa
O rozumienie Arystotelesa
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recenzje |
12.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Cz. Wojtkiewicz
Cz. Wojtkiewicz
Die Zwei Grundbereiche der Metaphysik im wohlgeordneten Aufbau der Wissenschaften
Die Zwei Grundbereiche der Metaphysik im wohlgeordneten Aufbau der Wissenschaften
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13.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
13 >
Issue: 1
A. Wawrzyniak
A. Wawrzyniak
Raymond Lulle. Philosophe de l'action
Raymond Lulle. Philosophe de l'action
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
W. Augustyn
W. Augustyn
Z problemów logicznych analizy historycznej
Z problemów logicznych analizy historycznej
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
13 >
Issue: 1
Mieczysław Gogacz
Mieczysław Gogacz
Polska filozofia średniowieczna na warsztacie specjalistów
Polska filozofia średniowieczna na warsztacie specjalistów
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