rozprawy |
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Roczniki Filozoficzne:
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12 >
Issue: 3
Stanisław Adamczyk
Stanisław Adamczyk
Arystotelesowo-tomistyczna koncepcja formy substancjalnej
L'idee de Forme Substantielle Chez Aristote et Thomas D'aquin
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Le concept d'une forme substantielle, élément constituant de l'essence même de la substance, fait partie des vérités fondamantales chez Aristote et St. Thomas, au même titre que celui de matière première. On ne le saisit cependant que par la voie d'un raisonnement assez ardu, ce qui suscite des difficultés même pour lui reconnaître une existence réelle. Aussi n'a-t-il pas manqué de philosophes, dans la longue histoire de la pensée humaine, pour nier l'existence de la forme substantielle (atomistes an- ciens, cartésiens, tenants de l'atomisme hétérogène moderne, matérialistes, positivistes et autres). Aristote, lui, suivi par le Docetur Angélique, voit dans le fait des change- ments substantiels la preuve d'existence d'une forme substantielle, à côté d'un fondement commun (matière première), comme élément qui détermine actuellement les substances particulières, considérées à leur origine aussi bien qu'au long de leur durée tout entiere. Pour définir la forme substantielle, le Stagirite se sert indifféremment des mots τὸ εἱδος et ἡ μορφή. Dans le premier cas, il considère la forme substantielle par rapport à tout I'être; dans le second, il la considère en soi. Si l'on ne trouve point chez lui de définition explicite de la forme substantielle, on peut pourtant en inférer une de la double définition qu'il donne de l'âme (II De Anima, 1, 412 a 19—21 et 27 ns). De la comparaison de ces deux textes, et d'autres parallèles, il dècoule que la forme substantielle est l'acte premier informant (intérieurement) la substance. Examinant le rapport entre la forme et l'existence substantielles, il nous faut marquer, à l'opposé de ce que soutiennent toute une suite de tenants de l'école suarezienne (p. ex. Hellin, Ramière. de Vries) que la forme substantielle est cause formelle de l'acte même d'existence. Par suite, eile doit non seulement en différer réellement (métaphysiquement) mais encore lui être antécédente par nature, autrement dit, être un acte absolument premier, postulant cependant, avec une nécessité totale, l'acte d'existence, comme une perfection qui confère réalité à l'essence de la substance.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Kazimierz Kłósak
Kazimierz Kłósak
Maritainowe proby wyodrębnienia filozofii przyrody od metafizyki i nauk przyrodniczych
Essais Entrepris par Jacques Maritain dans la Direction d'Isolement de la Philosophie de la Nature de la Metaphysique et des Sciences Naturelles
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L'auteur de cet article soumet à l'appréciation les essais dont Jacques Maritain a entrepris successivement pour arriver à l'isolement de la philosophie de la nature de la métaphysique et des sciences naturelles. Voici les principales constatations au sujet de la position prise par Maritain.Aux bases de la conception de philosophie de la nature, définitivement admise par Maritain, se montre indubitablement une version, la plus répandue, du principe scolasti- que de la classification des sciences théorétiques de l'ordre naturel. II faut pourtant reconnaître avec le père Jaime M. Ramirez O. P. Maritain divise les sciences citées sous le rapport de l'espèce partiellement sur une autre base que cela n'a été fait traditionnellement, et cela dépendamment d'un mode particulier de définition, pris indépendamment de la forme d'abstraction. II ne semble pourtant pas que le Dominicain espagnol ait réussi à montrer qu'au premier degré d'abstraction formelle, on ne puisse parier de modes de définition spécifiquement différents, dont l'un serait caractéristique pour la philosophie de la nature et l'autre pour les sciences naturelles. Au principe de classification des sciences théorétiques de l'ordre naturel, que St. Thomas d'Aquin et Jean de Saint Thomas acceptaient, ne s'oppose pas une telle discrimination dans la limite du mode de définition. Si les deux auteurs ne reconnaissent pour le premier degré d'abstraction formelle qu'un seul mode de définition, ce n'était qu'une fortuite conditionnalité historique. Chez St. Thomas la cause en était teile, que au moyen-âge les sciences naturelles, à l'exception de celles qui avaient été soumises à l'élaboration mathématique, n'avaient pas atteint leur autonomie méthodologique et formulaient leurs définitions selon le même modèle typique que la philosophie de la nature. S'il s'agit de Jean de St. Thomas, bien qu'il eut été contemporain de Descartes, il vivait de la vieille tradition de réunion des sciences naturelles avec la philosophie de la nature.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Aleksander Birkenmajer
Aleksander Birkenmajer
Osiągnięcia duchowieństwa polskiego w zakresie nauk matematycznych i przyrodniczych
Role Ddes Ecclesiastiques Polonais dans le Domaine des Sciences Mathematiques et Naturelles
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La contribution du clergé polonais à la culture et au développement des sciences naturelles et mathématiques s'est exercée du Xllle au premier quart du XIXe s. Elle a débuté vers 1270 avec un volumineux traité d'optique, oeuvre du cuté silésien Witelo. Au XlVe s., Thomas, coadjuteur de Wrocław, était célèbre pour ses ouvrages de médecine contenant, entre autres, de précieuses observations botaniques. L'Université de Kraków, rénovée en 1400, cjonfia la chaire de mathématiques et d'astronomie à de nombreux membres du clergé, dont. certains ont laissé des manuels de ces sciences. L'on ne doit pas oublier non plus que Nicolas Copernic (1473—1543), auteur génial de la théorie héliocentrique de l'univers, était lui aussi du clergé.Trop de querelles religieuses remplirent la seconde moitié du XVIe s. pour permettre au clergé une part active dans le développement des sciences exactes; des le XVIIe s. cependant, la tradition de l'effort créateur revit en ce domaine. Les représentants en furent alors, entre autres, Jan Brożek, Stanisław Pudłowski, Adam Adamandy Kochański et, le plus éminent d'entre tous, Alexius Sylvius Polonus (né en 1593), constructed ingénieux d'appareils d'astronomie et de physique, en même temps que mathématicien de talent à réputation européenne.Le règne malheureux d'Auguste II de Saxe causa une nouvelle éclipse du clergé en mathématiques et sciences naturelles; dés Auguste III, cependant, Andrzej Stanislaw Załuski, évêque de Kraków, entreprenait des démarches pour faire admettre la science mathématique moderne à l'université de cette ville. Si son effort n'obtint que des résultats partiels, il prépara du moins le terrain pour le renouveau des sciences dans la seconde moitié du siècle. Le troisième quart de ce même siècle vit s'avancer au premier plan les jésuites qui, dès 1753, avaient pris la voie des réformes à leur Académie de Vilna. Leur collége de Poznań s'engagea dans la même voie; c'est là que le p. Józef Rogalński rédigea, le premier manuel moderne de physique en langue polonaise. Un autre jésuite, Marcin Poczobut, créa l'observatoire astronomique de Vilna et, après la suppresion de son ordre, dirigea de longues années durant, l'Ecole Principale de la Lithuanie qui connut alors un essor remarquable.La Compagnie de Jésus ne fut pas la seule, dans les années 1760—1830, à représenter la contribution du clergé à l'avancement des sciences mathématiques et naturelles. Trois autres noms méritent d'être mentionnés ici: Krzysztof Kluk, curé avant tout de Podlasie, vulgarisateur modeste et infatigable des sciences, pénétrant avee aisance dans des cercles étendus de lecteurs; le p. Bonifacy Jundziłł des Ecoles Pies., longtemps professeur de botanique à Vilna; enfin, l'ab. Stanislaw Staszic, président de la Société des Amis des Sciences à Varsovie et initiateur de la géologie du sol polonais.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Włodzimierz Sedlak
Włodzimierz Sedlak
Teoria łysogorskich gołoborz
A Theory Of The Rockwastes Of The Święty Krzyż Mountains
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The paper presented by the author is the first complete theory of the rockwastes of the Święty Krzyż Mountains. The system of alternate strata of quartzite and slate (Fig. 1) creates different conditions for the occurrence of rockwastes on the northern and southern sides of the chain. The northern rockwastes are more typical and numerous (Fig. 2). It is possible to distinguish three phases in the genesis of a rockwaste:1. The weathering phase: weathering has so far been considered the principal cause of rockwastes, especially in a perigiacial climate. However, it is very difficult to determine the extent of the northern glacier. Erratics are found on Święty Krzyż Mountain to a height of 570 m. above sea-level, and on Łysica to a height of 350 m. The author found that erratics were moved in connection with the spread of ancient iron smelting (Fig. 3). It is not impossible that the main glacier following the Vistula valley had a side branch, which from the east moved along the northern slope of the Łysogóra chain. Judging one state of weathering by the rounding of angles and edges may be deceptive, as in the Łysogóra chain spherical forms are found of sedimentary origin (Cambrian) riin large quartzite blocks (Figs. 4, 5, 6, 7). The author also reviews the quartzite material dates as being 180, 550, 1300, 2000, and 10000 years old. The dated material proves that the Cambrian quartzites of these mountains are very resistant to weathering.2. The tectonic phase: The author's investigations show that the degree of weathering is proportionate to the joints of the quartzite layers. The tectonic predispositions are the deciding factor in the disintegration of the quartzite. The zonal distribution of rock fragments according to size, and the disposition of the residual rocks, proves this in the whole Łysogóra range. The supposed dislocation system of right angles to the axis of the mountain chain is shown in fig. 8. Almost every one of the quartzite layers is to be found in different mechanical conditions. This can be seen in a rock ca. 10 m. long on Święty Krzyż Mountain (Fig. 9). The joint occuring here is frequently unusually small (fig. 10 = fragment B of the preceding fig.). The finding by the author of the first „marked" layer, in the form of quartzite with numerous concretions, confirmed the predisposition of the tectonic factors for disintegration (Fig. 11).3. The dynamic phase: has two stages: the congelifluctuatial movement in a periglacial climate and the present landslip movement. The author gives an original method of calculating the tempo landslip movements. Rockwastes at present extend over some places of ancient iron sfelting from the Halstead period time of Roman influence, and early Middle Ages. If the age of the smelting site is known, and the distance over which the rockwaste has moved, it is possible to calculate the tempo of the landslip movements.The sequences of the phases in the genesis of the Święty Krzyż rockwastes is as follows: tectonic predispositions of Hercynian and partly Caledonian orogenesis, weathering, and the dynamic ph_ase. The problem now arises: did the Święty Krzyż Mountains occur as a result of overfold, ar by the pushing to the surface of a rigid layer of Cambrian deposits? We also find overturned strata (Fig. 12, 13).
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Henryk Nowik
Henryk Nowik
Metodologiczne warunki wyjaśniania zjawisk biologicznych
Methodological Conditions of The Interpretation of Biological Phenomena
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The historical and methodological analysis of photosynthesis shows that the explanation of the various aspects of photochemical reduction of Carbon proceeds as follows: a reason R is chosen to account for a given consequence C, known on other grounds to be true, within the framework of a theiory T .conceived very largely as a system of statements and generalisatipns expressing the whole knowledge of the question at a defined stage of its development due consideration being given to the process of empirical proving P, in view of a cognitive aim A.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Szczepan W. Ślaga
Szczepan W. Ślaga
Podstawowe założenia i wartości teorii abiogenezy
The Basic Assumptions and the Value of the Theory of Abiogenesis
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The article is an attempt of logical analysis of the theories of the origin of life. The author, accepting the definition of the theory of abiogenesis as a process of a slow, spontaneous and direct formation of living things from organic non-living compounds or directly from unorganic substances, presents three assumptions that occur in each theory of the origin of life.1. The existence of the causality including physical and dynamic interrelation of events; this assumption contains two possibilities; the original formation of organic compounds and further evolution of these compounds.2. The existence of the abiotic period in the history of earth.3. Primitive living things were similar to the actually existing organisms.As to the value of abiogenesis the author emphasises verification and above all tendency to the empiric sensity of notions of the theory. The tendency in the explanation of the origin of life, non implicating any metaphysical solutions, is the only legal one within the scope of accepted empirical methods.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Mieczysław Lubański
Mieczysław Lubański
Ilość a matematyka
Quantity and Mathematics
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Contemporary mathematics experiences an extraordinary development. Entirely new branches of mathematics come to existence. Some of them consist in generalisation and homogenous expression of various parts of mathematics known before (e. g. homological algebra), other are wholly new sciences (e. g. information theory, the so-called operation study, and others). The fact calls for a wider view of the subject of study in modern mathematics than it is currently done in philosophical literature. One can usually meet there formulations proclaiming that the object of mathematical study is contained in the philosophical quantity category. The article summarized here endeavours to show that such an idea does not seem to cover the reality of contemporary mathematics. The argument is based on the quotation of several mathematical concepts having a nonquantitative character (yet fundamental in Mathematics, to-day), and of Jordan and Antoine's statements, also explicitly non-quantitative. More generally, it may be concluded that the study of non-categorical systems, i. e. possessing non-isomorphic models characteristic of contemporary mathematics, proves undoubtedly that the latter extends beyond the philosophical quantity category.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Michał Heller, Zygmunt Kolenda
Michał Heller
Zastosowanie zasady wzrostu entropii do niektorych modeli kosmologicznych
Application of the Increase of Entropy Principle to Certain Cosmological Models
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Assuming the fact that science, at the present stage of its development, is not able to say anything concrete about the Universe, on the basis of the generalisation of the second thermodynamical principle, the authors of the article propose a new, in a way inverse, approach. From what modern cosmology states concerning the Universe taken as a whole, they endeavour to draw conclusions as to the applicability* of thermodynamic laws to it.. In other words, far from building a new „model" of the Universe by extrapolation of the increase of entropy principle, they try to assertain whether the theory of „thermic death" comes within the compass of ready models offered by cosmology.Thermodynamic principles can be safely applied to such systems only as have been, at least relatively, isolated, and the parameters of which, defining their state, are known. Hence it appears more reasonable not to start any study of „Universe thermodynamics" until after cosmological of the Universe have been apprehended as kind of system, i. e., within the framework of a concrete model.Such a method has been exemplarily applied to some relativistic models and to the steady state model of the Universe.It seems that, in relativistic cosmology, since the evaluation of the four-vector momentum for the ęntire space of a finished model results in the banal identity 0 : 0, the question of the maximal entropy characteristic of the „thermic death", is devoid of any physical sense.The excellent cosmological principle, assumed by the steady state model, prescribes to extend the lack of thermic equilibrium, observed in our immediate astronomic vicinity, to all cosmic spaces and to arbitrary periods, past or future. Thus, according to the steady state model, the „thermic death" will never happen.Modern cosmology knows observation tests permitting to envision a possible determination of which of the various models of the Universe corresponds the most to reality. That is why, to link the question of „thermic death" with a cosmological model is not only more correct from the point of view of thermodynamics itself, but appears also as a step forwards in a discussion that has been kept so far at a deadlock.
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dyskusje |
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Stanisław Adamczyk
Stanisław Adamczyk
Struktura bytu przygodnego według Arystotelesa
Struktura bytu przygodnego według Arystotelesa
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recenzje |
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Leopold Regner
Leopold Regner
Creation and Evolution
Creation and Evolution
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Issue: 3
Leopold Regner
Leopold Regner
Kosmologia
Kosmologia
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rozprawy |
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Józef Majka
Józef Majka
Problem źródeł katolickiej etyki życia gospodarczego:
(Analiza zagadnienia na przykładzie nauki o lichwie)
Le Probléme des Sources de la Morale Économique Catholique
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Le point de départ des considérations est fourni par le syllogisme pratique d’Aristote, bien connu. Les motivations éthiques particulières se concentrent autour de la mineure de ce syllogisme, constituée par l’appréciation d’une categorie donnée d’actions. L’auteur s’intéresse surtout au problème des sources de ces motivations en ce qui concerne les catégories particulieres de la vie économique.II divise les sources en question en deux groupes: 1° immuables et fondamentales; 2° changeantes et subsidiaires. Les premières constituent pour ainsi dire des critères immédiats de l'appréciation. Les autres par contre fournissent des informations sur la réalité, dans le cas ici étudié — sur les institutions particulières de la vie économique. Au nombre des premières il met le droit naturel et le droit révélé (l’Écriture Sainte ainsi que l’enseignement des Pères et des théologiens), parmi les secondes il range la science des institutions juridico-sociales et les théories économiques.L’auteur analyse l'ensemble du problème sur l'exemple de la doctrine de l’usure, ceci à cause de sa riche histoire et des changements dans l'appréciation de ce phénomène, intervenus en fonction de l’évolution de restitution elle-même. C’est précisément ce développement qui montre particulièrement bien le rôle que les catégories de sources mentionnées ci-dessus jouent dans cette évolution.
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Issue: 2
Czesław Strzeszewski
Czesław Strzeszewski
Praca ludzka w Piśmie świętym Starego Testamentu
Le Travail Humain dans L’Ancien Testament
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L’enseignement sur le travail humain, tel qu’il se dégage des livres de l’Ancien Testament, constitue ie sujet de l’article. L’auteur met surtout en relief le problème du devoir de travailler et celui du droit au travail. Le cosmos a été donné à l’usage de l'homme non pas au sens absolu de ce terme, mais sculement au sens facultatif: ce n’est que par son travail que l’homme parvient à jouir des biens matériels.Cette obligation de travailler se trouve à la base même de la vie humaine et c’est pourquoi elle est tellement importante. Elle a été formulée comme un devoir personnel de l’homme. Le fait cependant qu’elle a été imposée par Dieu à nos premiers parents, l’étend sur l’humanité entière en lui conférant par cela même un caractere social.II y a lieu également de noter le caractère éminemment social des autres éléments de l’enseignement scripturaire sur le travail. Le droit au travail peut être réalisé uniquement par la société. Le respect de la dignité du travail est fonction de l'attitude de la société à l’égard de l’effort que le travail exige. Le juste salaire enfin, encore que fondé sur la justice commutative, ne saurait se concevoir sans la coopération de la justice distributive et. sociale.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 2
Władysław Piwowarski
Władysław Piwowarski
Osoba ludzka a społeczność
La Personne Humaine et la Communaute
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L’auteur analyse sur le plan philosophico-sociai le problème des rapports mutuels entre la personne humaine et la communauté. Il constate d’abord que dans la philosophie sociale thomiste on peut relever plusieurs points de vue pour ce qui est de ce problème. II en choisit quatre pour les soumettre à une analyse critique: 1° la conception du „droit de l’ensemble communautaire”, 2° la conception du „principe de subsidiarité”, 3° la distinction de l’individualité et de la personnalité dans l’homme, 4° la conception de la „loi du milieu interpolate”. Tout en admettant qu’elles représentent des vues partiellement justes, l’auteur est d’avis qu’elles ne sont pas à même de constituer une base suffisante pour la solution du problème des rapports mutuels entre la personne humaine et la communauté.En second lieu, l’auteur se prononce pour une autre conception, plus intégrale. A partir de l’analyse de la conception thomiste de la personne humaine et de la communauté, il procède à la solution du problème en question. C’est qu’il y a deux principes sociaux fondamentaux du droit naturel, à savoir le principe du bien commun et celui de subsidiarité. Ces deux principes ont leur fondement métaphysique dans la personne humaine et, plus précisément, dans la nature sociale de l’homme, dans ses capacités et besoins de prêter un concours complémentaire. lis sont également ancrés dans l’essence de tonte communauté humaine. En tant que principes sociaux ils forment une norme d’existence et de fonctionnement de la communauté en même temps qu’une base des droits et des devoirs sociaux. Selon l’auteur, la prise en considération des principes que ci-dessus rend possible la solution du problème des rapports entre la personne humaine et la communauté non seulement en théorie, mais aussi dans la pratique.L’auteur démontre ensuite que les deux principes fonctionnent dans toute communauté humaine et c’est pourquoi le fait de s’appuyer sur eux, assure des bases solides à la sauvegarde et au développement du bien commun de la communauté aussi bien que de la personnalité humaine. Le principe du bien commun règle les rapports sociaux „de bas en haut” — de la personne humaine au bien commun, en définissant les droits de la communauté et les devoirs de l’individu humain. Le principe de subsidiarité règle les rapports sociaux dans le sens inverse, „de haut en bas” — du bien commun à la personne humaine, en définissant les droits de l’individu et les devoirs de la communauté.Enfin, à partir des deux principes en cause, l’auteur analyse en détail les rapports mutuels entre la personne humaine et la communauté. A la suite de cette analyse, il se voit amené à conclure qu’entre la personne humaine et la communauté il existe un rapport de coordination mutuelle, avec cette réserve que la communauté aussi bien que le bien humain existent, en fin de compte, pour l’homme.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 2
Miriam Hildegarda Szymeczko
Miriam Hildegarda Szymeczko
Koncepcja wartości u Dietricha von Hildebrand
La Conception de la Valeur Chez Dietrich von Hildebrand
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Les présentes considérations ont pour but la définition de la notion de valeur chez D. v. Hildebrand représentant de la phénoménologie contemporaine. Les vues de von Hildebrand s’approchent considérablement des conceptions rencontrées dans la phiiosophie traditionnelle, surtout chez S. Augustin et S. Thomas d’Aquin. L’auteur insiste fortement sur le lien métaphysique étroit entre la valeur et l’être L’article se propose de montrer comment v. Hildebrand conçoit l’essence de la valeur, c’est-à-dire quel est le contenu de la notion de valeur et quelle en est la structure ontique.Dans la première partie l'on constate que l’élément essentiel de la notion de valeur chez D. v. Hildebrand est la „signification’'' que les êtres particuliers possédent en eux-mêmes, „signification” grâce à laquelle ils peuvent mouvoir (motiver) la volonté ou la sphère émotionnelle du sujet connaissant. La valeur est done, selon v. Hildebrand, une propriété de l’être, une propriété qui confère à celui-ci le caractère de bien, une propriété objective, subjectivisée dans l’essence d’un être donné, ayant un caractère entièrement objectif et autonome en ce qui concerne le mode d’être.Dans la deuxième partie, l’auteur analyse la valeur hildebrandienne du côté de sa structure ontique ainsi que ses liens avec l’être. A la suite de cette analyse il constate que la valeur constitue seulement le contenu de la conscience. Le principe relevant de la théorie de la connaissance admis par le penseur — à savoir l’intuition intellectuelle conçue d’une façon spécifique, recormue comme unique méthode valable de la connaissance philosophique, le fait ensuite de réduire l’idéal de la connaissance philosophique à la seule perception de l’essence des choses ainsi que la méconnaissance de l’existence dans le processus de la connaissance — ne permettent pas à Hildebrand de pénétrer jusqu’à l’être réel, à la valeur en tant, qu’élément réel de la réalité. De l’avis de v. Hildebrand, la valeur constitue eine echte Wesenheit, eile a une existence idéale comparable à celle des idées platoniciennes subsistant dans le Plérome. Pour sauvegarder le réalisme des valeurs et de leurs liens avec l’être, v. Hildebrand les situe en Dieu, dans la réalité existant le plus réellement et le plus actuellement. L’analyse des preuves rationnelles de l’existence de Dieu admises par v. Hildebrand (la preuve tirée de la contingence des êtres et des degrés de perfection), effectuée à la lumière de ses principes relevant de la théorie de la connaissance, montre que ies preuves en cause ne peuvent point menar à la constatation de l’existence de Dieu en tant qu’être existant réellement et actuellement. Le Dieu ainsi conçu ne trouve pas de justification dans la phiiosophie de v. Hildebrand. De même que la valeur, il n’y apparaît que comme matière de connaissance, done comme une sorte d’être possible. Par conséquent v. Hildebrand ne réussit pas à sauvegarder le réalisme des valeurs ni leurs liens internes, ontiques avec l’être qui, de la même façon que la valeur, peut se présenter uniquement comme matière de connaissance, comme un être possible. Ainsi done entre la valeur et l’être tels que les conçoit v. Hildebrand, il peut y être question seulement d’un lien logique, d’une relation de non-contradiction qui peut se produire entre des matières de connaissance.Les présentes considérations montrent que les thèses de v. Hildebrand, proches des conceptions réalistes de la philosophie traditionnelle et semblables dans leurs formulation, cachent un contenu entièrement différent. Il appert ainsi que B. Schwarz n’a pas raison lorsqu’il proclame l’harmonie entre les conceptions de v. Hildebrand et celles de S. Thomas d’Aquin.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 2
Tadeusz Ślipko
Tadeusz Ślipko
Pojęcie samobojstwa bezpośredniego i pośredniego w świetle wspołczesnych dyskusji
Quid de Traditionalibus Definitonibus Suicidii Directi et Indirecti Sentjendum?
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In parte introductoria articuli duae concepti ones suicidii radicaliter sibi oppo- sitae delineantur, quarum una, scholastica, suicidium absolute prohibendum esse pronuntiat, altera vero, laica, exceptionalem eius liceitatem defendit.Deinceps explanantur summa capita doctrinae scholasticae de suicidio, prae- cipue eius nota distinctio inter s. d. suicidium directum et indirectum. Huic expositioni adiungitur opinio D. Van Vyve, qui definitionem traditionalem reicien- dam esse putat eique propriam opponit in sola intentione agentis fundatam, ex qua liceitatem s. d. suicidii-sacrificii ultimatim deducit.Crisis sententiae Van Vyve d'emonstrare conatur illam principiis a philosophia scholastica penitus alienis inniti, quapropter subiectivismo ac relativismo doctri- nam de suicidio inficere potest. Concedendum est tarnen huic auctori nonnullas notiones theoriae traditionalis corrigendas esse, praeprimis duo conceptus: actionis ex natura sua occisivae et actionis indirecte occisivae. In articulo conamen adhi- betur consilium hoc perficiendi. Elementum constitutivum actionis ex natura occisivae in finali et activa ex parte agentis ordinatione suae operationis ad mortem sibi inferendam reponitur, occisio vero indirecta non per duplicem effectum, sed per concurrentiam indifferentis operationis agentis cum mortiferä actione causae concomitantis explicari tentatur. His notionibus suppositis diversae a tra- ditionalibus statuuntur definitiones suicidii directi, indirecti et expositions vitae mortis periculo, quorum primum solum intrinsece et absolute illicitum censeri potest, alterum vero ex sola prava intentione agentis, expositio autem vitae periculo mortis debitis sub conditionibus moraliter honesta evadit.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 2
Witold Zdaniewicz
Witold Zdaniewicz
Analiza czynności społecznej w systemie religijnym według teorii F. Znanieckiego
Analyse de L’Action Sociale dans le Systeme de Religion
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Le but de l'étude est Tanalyse des actions sociales dans le système catholique de religion. II est ici question d’une structure générale des actions sociales servant de moyen de la transmission de valeurs et d’attitudes religieuses. Les éléments de l'action sociale sont empruntes la théorie sociologique de F. Znaniecki. A côté du sujet agissant, Znaniecki distingue quatre éléments de l'action sociale: 1° l'objet, 2° les moyens, 3° la méthode, 4° la réaction sociale, L’application de ce schéma aux actions sociales dans, le système de religion se présente comme suit: 1. La partie directrice de l'Église, les ordres, les congrégations de fidèles, constituent le sujet de l'action sociale. 2. Un système approprié de valeurs naturelles et surnaturelles constitue l'objet de l'action. 3. La réaction sociale, dans son sens plein, consiste dans une parfaite communauté de la participation au Bien commun. 4. Les moyens d’agir relèvent du domaine sacré, ascétique, de celui du „verbe” et de celui des soi-disant moyens auxiliaires. La méthode, ce sont différentes façons de transmettre des valeurs ou attitudes religieuses. Ce schéma général des actions sociales dans le système de religion doit subir des modifications dépendamment des conditions changeantes. Sinon, les actions sociales de ce genre risquent de ne pas remplir leur devoir.
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sprawozdania |
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Władysław Piwowarski
Władysław Piwowarski
Interpretacje zasady pomocniczości w literaturze współczesnej
Interpretacje zasady pomocniczości w literaturze współczesnej
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 2
Adam Rodziński
Adam Rodziński
Czego usiłuje dowieść Józef Keller?
Czego usiłuje dowieść Józef Keller?
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Adam Rodziński
Adam Rodziński
Etyka katolicka a miłość bliźniego
Etyka katolicka a miłość bliźniego
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