rozprawy |
1.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Antoni B. Stępień
Antoni B. Stępień
Uwagi o Ingardenowej koncepcji ontologii
Considerations sur la Conception de la Philosophie de Roman Ingarden
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Une des caractéristiąues particulières de la conception de la philosophie ingardenienne est le rôle primordial qu'il reserve à l’ontologie. Toutefois sa façon de concevoir l’ontologie fait naître quelques questions et doutes qui concement: 1) le caractère de la perception eidétique (Wesenschau) constituant la source de la connaissance ontologique, 2) la nature des thèses de l'ontologie, science qui ne devrait pas poser pour principe l’existence de quoi que ce soit, 3) le principe de l’applicabilité de l’ontologie, sur le terrain de la métaphysique, à l’être effectivement existant. II semble que, tout particulièrement, l’applicabilité de l’ontologie à la métaphysique ne saurait être autorisée que par la métaphysique elle-même; pourtant, si elle le faisait, la métaphysique remdrait l’ontologie sinon inutile du moins non indispensable. Si l'on admet — comme Husserl et Ingarden — la diichotomie entre ce qui est individuel et réel et ce qui est général et nécessaïre, eomme entre les savoirs correspondant a ces deux ordres, la métaphysique s’avere incapable de vaincre cette dichotomic.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Stanisław Kamiński
Stanisław Kamiński
O logice jako narzędziu filozoficznym u B. Russella
De la Logique Comme Instrument de Philosopher Chez Bertrand Russell
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Depuis David Hume la discussion sur la rationnalité des methodes de la philosophie classique est ce qua décide en dernier lieu de la valeur de cette philosophie. Observant les défauts du penser philosophique au Congrès International de Philosophie à Paris et constatant en même temps d’intéressants résultats de la logique nouvelle, B. Russell décida de „logiciser” la Philosophie (faire de la logique l'instrurnent de la Philosophie).II tenta tout d’abord de refaire la structure du langage philosophique. En fait, ce n’est pas tant le vocabulaire philosophique qui faisait naïtre des objections mais la syntaxe et les règles décidant de l’aoceptation des thèses. C’est pourquoi il développa la théorie de la déduction et créa la théorie de la description et la théorie des définitions contextuelles. Partant de la conception du langage des faits élémentaires de L. Wittgenstein, il créa par la suite une ontologie qu’il appela l’atomisme logical. La structure ontologique de la réalité s’y exprime par le langage logique des concrets: Les thèses atomiques sont liées entre elles par des foncteurs logiques.Ces démarches s’avérèrent ou bien difficiles à réaliser ou bien insuffisantes pour rationaliser la philosophie, Russell atoamdonna par conséquent la méthode de l'analyse réductive comme instrument de philosopher. Après la première guerre mondiale, s’efforçant de simplifier la conception de la réalité (monisme neutre), il oommença à se servir d’instruments logiques moins directement. Ses argumentations prirent le caractère persuasif. Toutefois, l’idée même de logiciser la Philosophie reste toujours aotuelle dans les milieux proches du néopositivisme.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Leopold Regner
Leopold Regner
Krytyka tezy o rożnicy między umysłem czynnym a umysłem biernym
Kritik des Lehrsatzes von dem Unterschied Zwischen der Aktiven und Passiven Vernunft
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Eine der Hauptfragen der aristotelischen Lehre von Seele ist der Unterschied zwischen der aktiven und der passiven Vernunft als der Erkenntnispotenzen der Seele. Der Text von Aristoteles (De anima, III, 5, 430 a 10-25), dessen Sinn wir zu betrachten haben, ist ziemlich unklar, und gab darum den Anlaß zu den verschiedenen Auslegungen seiner Lehre. Der vorliegende Artikel stellt eine Kritik einer der Hauptthesen dieser Lehre vor, und zwar der These von der Unterschied zwischen der aktiven und der passiven Vernunft. Der Verfasser unterscheidet zwischen zwei Weisen der Interpretation der Lehre von der aktiven und der passiven Vernunft: die erste Interpretation, derern gemäß das Verhältnis der aktiven zur passiven Vernunft ein Verhältnis von Akt und Potenz (actus et potentia) sei; die zweite Interpretation, deren gemäß das genannte Verhältnis ein von Erzeugungskraft und Stoff (ars et materia) bilde. Der Verfasser weist darauf hin, daß die erste Interpretation ungereimt ist, darum weil eine Akt-Potenz-Struktur der Vernunft verschiedene Widersprüche enthält. Die zweite Ansicht dagegen, deren Anspruch den Übergang von der Sinnzur Vernunfterkenntnis zu erklären ist, auf grundloser Annahme von dem zwischen dem Sinn- und dem Vernunfterkenntnisinhalt wesentlichen Unterschied begründet und daher rundweg entbehrlich ist. In Beweis verfahren ieser Betrachtung bestrebt der Verfasser in der Argumentation möglicherweise nur die scholastische Begriffe und Grundsätze in Betracht zu nehmen, um die in Rede tehende These auf ihrem eigenen Bode anzugreifen.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Stanisław Kowalczyk
Stanisław Kowalczyk
Charakter teizmu Gabriela Marcela
Caractere du Theisme de Gabriel Marcel
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L’article se compose de quatre parties. La première presente la conception de la „Philosophie concrète” de Marcel: ses méthodes (expérience intérieure) et son objet (l’homme, le sens de sa vie et de sa mort). L’anthropocentrisme épistémologique et ontoiogique déterminait le caractère de la Philosophie de Dieu. La deuxième partie analyse l’appréciation, le plus souvent négative, des arguments classiques prouvant l’existence de l’Absolu. Influencé par l'irrationalisme et l’agnosticisme, l’existentialiste français mettait en doute l’utilité du principe de la causalité pour les besoins de la théodicée. En même temps, il demontrait la nécessité de l’existence de Dieu comme fondement de la personne humaine: de son existence reelle et de sa vie spirituelle; ces considérations sont l’objet de la troisième partie de l’article. La quatrième et la demière partie apporte une appréciation critique de la philosophie marcelienne de Dieu. A juste titre il mit l’accent sur le rôle des conditions anthropologiques dans l’affirmation de Dieu (Son existence est mystère et non seulement problème). Quant aux aspects nègatifs de sa conception, ils sont les suivants: le subjectivisme excessif, l’irrationalisme et une façon caricaturale de comprendre le principe de la causalité.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Jerzy W. Gałkowski
Jerzy W. Gałkowski
Problem Boga u J. P. Sartre’a
Probleme de Dieu Chez Jean-Paul Sartre
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La négation de Dieu s’exprime chez Sartre sur trois plans: le premier est sa propre attitude dans la vie présentée dans Les Mots, le second — son anthropologie, le troisième — son antologie. Son attitude personnelle fut façonnée par le milieu familial qui, bien que Chrétien, ne sut lui montrer une véritable image de Dieu. Dans l’anthropologie, Sartre arriva à l’athéisme — ou plus exactement à l’antithéisme — comme à une conception non contradictoire avec sa façon de comprendre la liberté. Dans l’ontologie enfin, l’atheisme est le résultat des analyses de l’être-en-soi et de l’être-pour-soi rapportées à la conception de Dieu admise quelque peu arbitrairement. Les deux sphères, leur structure, l’existence et les motifs de l’existence sont pour Sartre absurdes, il affirme toutefois leur existence. Néanmoins il nie l’existence de Dieu en tant que synthèse de l'être-en-soi et de l’être-pour-soi, en tant qu’être absurde et contradictoire. Si pour Sartre le rnonde adnsi que Dieu sont absurdes, Taffirmation de l’un d’eux et la négation de l’autre s’avère arbitraire. En maintenant les principes de sa Philosophie dont découle l’absurde général, il faudrait ou bien l’admettre pleinement ou bien le rejetter complètement. Seule la structure psychique de Sartre, l’éducation qu’il reçut et le parti pris dans sa façon de vodr le monde, seraient en mesure d’expliquer ce défaut de conséquence.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Elżbieta Wolicka
Elżbieta Wolicka
Implikacje filozoficzne symbolicznej interpretacji zjawisk kulturowy
Implications Philosophiques de L'Interpretation Symrolique des Phenomenes Culturaux
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Le présent article se pose pour but d’arriver à une explication systématique de la notion du symbole en tant qu’objet de culture, dans son sens large ou étroit. Cette notion se trouve de plus en plus utilisée et ceci aussi bien sur le terrain des théories générales, philosophiques de la culture que dans le domaine des sciences humaines, dans la théorie et la critique de l’art notamment, et tout particulièrement dans les lettres.Comme point de départ, l’article entreprend l’analyse de quelques-unes des conceptions théoriques du symbole qui semblent avoir influencé l’emploi courant de cette notion à notre époque ou en sont l’exemple type. Ce sont notamment: celle d’E. Cassirer et celles de certains analyticiens anglosaxons qui s’en inspirerent (S. K. Langer surtout).Ces considérations n’ont point le caractère méthodologique, eiles visent en définitive à dénoter les prémisses philosophiques de caractère général: épistémologiques et ontologiques (ou métaphysiques) qui déterminent le sens théorique de la notion du symbole sur l'exemple des auteurs choisis. La première partie de i’article cherche à définir les caracteristiques de la notion du symbole qui désignerait l’objet, l'état de choses ou le processus de caractere culturel, du point de vue de la sémiotique c’est-à-dire en tenant compte des conditions syntaxiques, sémantiques et pragmatiques de cette notion. La deuxième partie entreprend l’analyse de certains problèmes épistémologiques et ontologiques impliqués par l’interprétation symbolique des ob jets de culture chez Cassirer et certains analyticiens en attirant tout particulièrement l’attention sur le probléme de la manière et l’objet de la connaissance symbolique comme type de la création culturelle.Les conclusions auxquelles amènent ces considérations révèlent le caractère partiel et inadequat des conceptions théoriques du symbole soumises à l’analyse, aussi bien du point de vue sémiotique que — et même surtout — philosophique; eiles suggèrent, dans une esquisse de projet, une explication philosophique des symboles culturaux par la théorie des relations se basant sur les premisses theoriques prises dans la tradition de la métaphysique classique.
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dyskusje |
7.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Andrzej Bronk
Andrzej Bronk
Strukturalizm: moda, metoda czy ideologia?
Strukturalizm: moda, metoda czy ideologia?
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8.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 1
Antoni B. Stępień
Antoni B. Stępień
Utwór filmowy a Ingardenowa teoria warstw:
(W związku z książką A. Helrnan O dziele filmowym)
Utwór filmowy a Ingardenowa teoria warstw
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9.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 1
Mieczysław Gogacz
Mieczysław Gogacz
Próba poszukiwania koncepcji filozofii redaktorów Słownika filozofow
Próba poszukiwania koncepcji filozofii redaktorów Słownika filozofow
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recenzje |
10.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Zenon Kałuża
Zenon Kałuża
Homélie sur le Prologue de Jean
Homélie sur le Prologue de Jean
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11.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Zenon Kałuża
Zenon Kałuża
La philosophie au XIVe siecle. Six etudes
La philosophie au XIVe siecle. Six etudes
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12.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Zenon Kałuża
Zenon Kałuża
Bulletin de l'Association „Les Amis de Monseigneur Andre Combes”
Bulletin de l'Association „Les Amis de Monseigneur Andre Combes”
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13.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Andrzej Bronk
Andrzej Bronk
Einführung in die Wissenschaftstheorie; Geisteswissenschaftliche Methoden: Phänomenologie — Hermeneutik and historische Methode — Dialektik
Einführung in die Wissenschaftstheorie; Geisteswissenschaftliche Methoden: Phänomenologie — Hermeneutik and historische Methode — Dialektik
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14.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Mieczysław Gogacz
Mieczysław Gogacz
Dalszych dwanaście tomów informacji o polskiej filozofii średniowiecznej
Dalszych dwanaście tomów informacji o polskiej filozofii średniowiecznej
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15.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Antoni B. Stąpień
Antoni B. Stąpień
Filozofia w Polsce. Słownik pisarzy
Filozofia w Polsce. Słownik pisarzy
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sprawozdania |
16.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Red.
Red.
Dwudziestopięciolecie Wydziału Filozoficznego KUL
Dwudziestopięciolecie Wydziału Filozoficznego KUL
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17.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Stefan Swieżawski
Stefan Swieżawski
Przemówienie na uroczystym posiedzeniu Rady Wydziału Filozofii Chrześcijańskiej KUL z okazji 25-lecia Wydziału (18 XII1971 r.)
Przemówienie na uroczystym posiedzeniu Rady Wydziału Filozofii Chrześcijańskiej KUL z okazji 25-lecia Wydziału (18 XII1971 r.)
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18.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Stanisław Kamiński
Stanisław Kamiński
Funkcja filozofii w naukach kościelnych
Funkcja filozofii w naukach kościelnych
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19.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Zenomena Płużek
Zenomena Płużek
Specjalizacja filozoficzno-psychologiczna na 25-lecie Wydziału Filozofii Chrześcijańskiej KUL
Specjalizacja filozoficzno-psychologiczna na 25-lecie Wydziału Filozofii Chrześcijańskiej KUL
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20.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
20 >
Issue: 1
Hanna Waśkiewicz
Hanna Waśkiewicz
Specjalizacja filozofii praktycznej — osiągnięcia i potrzeby
Specjalizacja filozofii praktycznej — osiągnięcia i potrzeby
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