recenzje i sprawozdania |
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 3
Mieczysław Lubański
Mieczysław Lubańshi
Miry i antimiry, Kosmołogija i antimatierija, pieriewod so szwedskogo J. K. Ziemcowa
Miry i antimiry, Kosmołogija i antimatierija, pieriewod so szwedskogo J. K. Ziemcowa
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22.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 3
Antoni Klein
Antoni Klein
Podstawy nauk przyrodniczych
Podstawy nauk przyrodniczych
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 3
Czesław Biedulski
Czesław Biedulski
Kinetyczny i teleologiczny dowod na istnienie Boga. Sympozjum Filozofow Przyrody
Kinetyczny i teleologiczny dowod na istnienie Boga. Sympozjum Filozofow Przyrody
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24.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Bolesław Kominek
Bolesław Kominek
Homilia na rozpoczęcie Sympozjum o Prawie Naturalnym (10—12 IV 1969)
Homilia na rozpoczęcie Sympozjum o Prawie Naturalnym (10—12 IV 1969)
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25.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Hanna Waśkiewicz
Hanna Waśkiewicz
Słowo wstępne
Słowo wstępne
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referaty i dyskusje |
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Hanna Waśkiewicz
Hanna Waśkiewicz
Prawo naturalne — prawo czy norma moralna?
Natural Law — A Legal or a Moral Norm
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Natural law plays an important role not only in contemporary scholarly discussions but also lin legal, social and political life. Thus the results of research on natural law do influence social life and, on the other hand, the various forms and manifestations of life in society make their own demands on this research.One such demand asks whether natural law is a legal norm or a moral norm? During the 19th century, under the influence of Kant, moral and legal norms were distinguished. At the same time, the concept of law was limited by J. Austin and his analytical school exclusively to positive law established and sanctioned by the state. Austin’s concept of law was universally accepted in the 19th century. Both the supporters of natural law and those opponents who did not quite dare deny its existence — especially at the time of „The First Revival of Natural Law” — negated its legal character. It was neither created nor sanctioned by the state and therefore it was considered a moral norm.At present there are advocates of natural law as law (assuming a broader concept of law than did Austin) and advocates who defend natural law as a moral norm. There are also those who held a less extreme position and assume that some norms of natural law are law, while others are only moral norms. There is also a fourth position held by a few, which considers the norms of natural law as something special differing both from law and from moral norms. For these natural law norms above both law and moral norms and provide a criiteriium for their evaluation.Contemporary supporters of natural law such as Radbruch, J. Leclercq, Veit consider it to be law and introduce natural law directly into legal life. This does creat a number of problems both for the lawyer and statesman who wish to apply natural law to social life and for the scholar whose primary interest is to investigate. The two- most important questions involved are: 1. who is to clarify and state the content of natural law norms; and 2. can natural law nullify a contradictory positive law.Contemporary literature on natural law distinguishes as many as five different attitudes. Some consider legislative organs as competent to establish the content of natural law norms, others defend the executive organs or the courts. A third group belive only „the scholar” to be capable of determining the content of natural law norms. And in opposition, there is the opinion that every man can make up his own mind with regard to the content of natural law.There are also five different answers to the second question: the determining factons would be legislative organs, executive organs, courts, iseihoiLairis, or Every man.In this factual review of the status of natural law thinking, the author has attempted to evaluate the various positions without defending any of them or injecting her own preference.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Józef Majka
Józef Majka
Prawo naturalne w ostatnich dokumentach społecznych Kościoła
Le Droit Naturel Dans Les Derniers Documents Sociaux De L’Église
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L’auteur commence ses réflexions en partant de la proposition., qui se répète souvent dans les documents de l’Église, qu’elle est la gardienne et l’interprète du droit naturel. Cependant comme la conception même du droit naturel suscite de sérieuses controverses, on se pose la question quelle est la position de l’Église en cette matière. Il s’agit de donner la réponse à la question si, et dans quelle mesure, l’évolution des opinions relatives au droit naturel a trouvé un écho dans la doctrine de l’Église concernant ce sujet. L’auteur examine avant tout l’enseignement de deux derniers souverains pontifs et du Concile, mais, en voulant monter si, et dans quelle mesure, il subit une évolution, il présente aussi les opinions des autres papes, surtout de Pie XII. Après avoir analysé la doctrine de Jean XXIII, surtout celle qui est contenue dans l’encyclique Pacem in terris, et les opinions du Concile, en particulier de la constitution Gaudium et spes, comme aussi celles de Paul VI dans ses deux encycliques Populorum progressio et Humanae vitae, l’auteur aboutit à la conclusion que dans la période qu’il examine se manifeste un développement très net de la doctrine de l’Égliisie relative au droit naturel. Ce développement progresse des conceptions statiques aux conceptions dynamiques, d’une position naturaliste à une position personnaliste. On accorde surtout l’attention à ceci, que la fonction du droit est de montrer à l’homme la voie de son perfectionnement, qui à son tour conditionne l’accomplissement de la fin dernière.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Karol Kardynał Wojtyła
Karol Kardynał Wojtyła
Osoba ludzka a prawo naturalne
La Personne et le Droit Naturel
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On entend parler souvent du conflit entre le droit naturel et la personne. Ceci est le résultat de la prise d’une certaine position, sous l’influence des analyses faites par les phénoménalistes comme aussi par les phénoménologues. La nature humaine est le plus souvent conçue par eux comme le sujet d’une actualisation in- stinctuelle, opposée à l’actualisation du m o i proprement dit. C’est ici qu’on trouve aussi la source de l’opposition que l’on fait entre les droits de ces deux sujets. Dans la philosophie traditionnelle, entre autres dans la philosophie thomiste, ce conflit ne peut pas se manifester, car la nature y est considérée comme le sujet de toute actualisation, la nature eislt un „élément” intégral de la nature humaine. Aussi le conflit sur ce terrain n’est qu’un conflit apparent. Toutefois il existe un conflit réel, et même très grave, mais sur un autre plan — celui de la détermination du caractère essentiel de l’être humain. Si l’on conçoit l’homme comme une sorte d’une conscience pure ou une volonté pure, c’est-à-dire comme une sorte d’absolu, on crée alors comme automatiquement une situation de conflit entre l’homme et une tentative de déterminer un droit naturel quelconque, si Ton peut encore parler dans cette situation d’un tel droit.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Czesław Strzeszewski
Czesław Strzeszewski
Źrodła naturalno-prawne harmonii rozwoju gospodarczego
Le Droit Naturel Comme la Source de L’Harmonie du Développement Économique
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La personne humaine, par des contacts à trois niveaux: avec le cosmos, avec sa conscience propre et avec la communauté humaine, est sujette à trois sphères du droit naturel. Ce sont: la loi naturelle (de la nature), c’est-à-dire les lois régissant la nature, l’ordre interne de la nature de l’homme qui lui fait paraître les buts et l’incite à l’action — c’est-à-dire le droit naturel proprement dit, et l’ordre social, déterminé par la nature sociale de l’homme, qui lui désigne le but social de son activité — le bien commun. Ces trois sphères du droit naturel décident du degré de la détermination juridico-naturelle de la personne humaine.L’auteur considère le droit de l’homme et de l’humanité au développement, comme une des conséquences du droit naturel, et trouve la confirmation de cette thèse dans l’encyclique de Paul VI Populorum progressio. En se basant sur une analyse des idées contenues dans cette encyclique, il constate que le développement personnel et social constitue un devoir naturel de chaque homme et de l’humanité entière et que le développement économique en est une partie intégrale.L’auteur démontre que le développement économique est un devoir qui résulte du droit naturel, et en trouve l’argument aussi bien dans la philosophie sociale que dans la théologie sociale. Ce raisonnement l’autorise à poser la thèse d’un développement relativement illimité de l’humanité, aussi bien personnel que social et économique, — d’un développement relativement illimité de la culture humaine.L’homme est l’auteur autonome de la culture. Dans le domaine économique, il ne peut pas baser le développement sur les lois du marché, mais sur une planification économique consciente et orientée vers un but. De par le droit naturel, le principe directeur d’un développement planifié est de satisfaire les besoins économiques de itouis les hommes et, en premier lieu, leurs besoins de baise.Les postulations du Concile du Vatican II, relatives au développement économique: harmonie, multilatéralité, continuité, équilibre, certain nivellement à l’échelle sociale, ne peuvent être réalisés que dans le cadre de la conception d’un développement économique, harmonisé, intégral.Parallèlement au développement économique, s’élargit léchelle des possibilités du choix des besoins et des moyens nécessaires à les satisfaire, ce qui augmente la liberté huimiaine. L’homme s’aff raine hit pour ainsi dire de sa dépendance de la loi naturelle, mais la liberté et la multiplicité du choix l’oblige à un effort toujours plus grand pour perfectionner sa raison et sa volonté, augmente sa responsabilité à l’égard du droit naturel, du bien commun, — à l’égard de la dignité de sa propre nature.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Jan Krucina
Jan Krucina
Czy Kościoł podlega prawu naturalnemu?
Czy Kościoł podlega prawu naturalnemu?
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Adam Rodziński
Adam Rodziński
Personalistyczna koncepcja kultury a prawo naturalne
La Conception Personnaliste de la Culture et le Droit Naturel
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A notre époque, où la culture ne se forme qu’à un certain point seulement d’une façon spontanée, et qu’elle est dans une large mesure planifiée consciemment, on peut parler — et même on le doit — d’une telle conception de la culture qui puisse obvier aux menaces des transformations historiques qui surviennent, bien entendu de celles du moins qui se laissent, avec une certaine — et même avec une grande probabilité — prévoir et évaluer. En construisant une telle conception de la culture, considérée comme une sorte d’ensemble des modèles harmonisés de la vie, et d’une vie en commun, de la réalisation et du développement des valeurs, de l’accumulation et de la transmission des acquis humanistes et techniques, un rôle particulièrement important devrait revenir à ce qui dans la culture humaine se révèle fondamentalement et absolument valable par rapport au comportement. C’est la valeur durable et inaliénable que représente tout individu humain, sans aucune exception de la même manière et tout également, en tant qu’il reflète une dignité absolue d’i i Créateur par excellence personnel.Le fait qu’on cènt compte de cette valeur, qu’on l’apprécie, est non seulement un phénomène qui se laisse constater à toutes les époques et dans toutes les cultures, mais il amorce le processus de la formation du droit au sens strict. Cette valeur notamment — la valeur de la personne en tant que personne — étant dès le début inhérente aux coutumes et aux moeurs caractérisant les cultures primitives, s’explicite avec le temps et est exprimée dans un système de règles générales et particulières, juridiques (au sens strict) et extra-juridiques.Le droit naturel, conçu de cette manière, c’est avant tout le principe personnaliste de respecter d’une façon absolue les droits élémentaires de la personne, et ce n’est que lui qui peut imprégner les styles de penser et de sentir, différenciés par le milieu, de l’esprit d’une tolérance prudente et raisonnable, qui peut, autrement dit, créer une atmosphère favorable au développement, non seulement de ce qui est commun aux hommes, mais aussi de ce en quoi nous sommes différents, et devons être différents entre nous, dans la sphère des moyens de satisfaire les besoins matériels ou bien encore les aspirations supérieures — spirituelles.Une juste appréciation de la dignité de la personne — à mesure qu’elle sera de plus en plus conceptuelle et qu’elle revêtira la forme des règles formulées d’une façon aissez précise, et assez générale en même temps, pour qu’elles puissent être considérées comme absolument obligatoires — elle anime, et elle animera dans l’avenir, et régénérera non seulement les différentes cultures des milieux particuliers, mais elle fortifiera le lien fonctionnel qui les unit avec la culture intérieure des individus. Au sein de cette culture intérieure — une culture de l’esprit — dans son orbite, le droit naturel exprime surtout ses impératifs et ses postulations, à la lumière desquels — suivant qu’ils sont observés ou non — se manifeste la valeur morale, non seulement des individus particuliers, mais aussi des différentes formations (structures) culturelles.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Władysław Piwowarski
Władysław Piwowarski
Socjologia moralności a „prawo naturalne“
La Sociologie de la Vie Morale et „Le Droit Naturel"
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Le but de cet article est de trouver la réponse à la question si, et dans quelle mesure, la sociologie de la vie morale peut s’intéresser au „droit naturel”. La solution de ce problème est précédée d’un examen de la relation entre la sociologie de la vie morale et l’éthique normative. L’auteur s’est efforcé de dissiper les préventions accumulées contre la sociologie de la vie morale, surtout dans les milieux ecclésiastiques, en montrant en même temps que la sociologie de la vie morale non seulement ne se propose pas de remplacer l’éthique normative, mais au contraire qu’elle veut contribuer à la formation d’un système convenable de l’éthique normative de même qu’à sa réalisation parfaite dans la société.En abordant la solution du problème posé, l’auteur montre dans la perspective d’une collaboration entre la sociologie de la vie morale et de l’éthique normative, les possibilités des recherches sociologiques relatives au „droit naturel”. Jusqu’à présent, on résolvait théoriquement le problème des normes et des appréciations morales généralement reçues, — soit en se référant à l’universalité des besoins humains, soit en se fondant sur le principe d’évidence. Une analyse plus exacte des deux orientations a montré qu’elles sont sujettes à caution. „Le droit naturel” ne peut être étudié que par la méthode empirique. De telles études sont poursuivies par les ethnologues et par les sociologues. Les premiers, en évitant les vices de méthode des anciens chercheurs, sont arrivés à l’opinion qu’il existe certaines normes et appréciations morales, communes à tout le genre humain. Les autres, conscients des difficultés de méthode, admettent la possibilité d’une étude du „droit naturel”, bien qu’ils ne veuillent pas employer ce terme. En Pologne, Mme M. Ossowska panie de ces tentatives dans la seconde édition de son étude La sociologie de la vie morale (Warszawa 1969). Une autre conception — non moins intéressante — d’études sur „le droit naturel”, est présentée par J. Leclercq, dans son article bien connu Natural Law the Unknown (1962). Les ethnologues et les sociologues montrent la seule voie convenable par laquelle on doit chercher la solution de la problématique si difficile du „droit naturel”.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Joachim Kondziela
Joachim Kondziela
Prawo naturalne jako podstawa teorii społeczności międzynarodowej
Le Droit Naturel Considéré Comme la Base de la Théorie de la Communauté Internationale
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Dans les sciences sociologiques en général, de même que dans la philosophie de la vie sociale, toutes les généralisations devraient tenir compte de faits sociaux. Le contexte historique et sociologique au sein duquel les hommes concrets sont obligés de vivre et d’agir, n’est indifférent ni au comportement de ces hommes, ni à une compréhension plus complète de leurs actes, dans lesquels leur comportement moral est inclus. C’est en accord avec cette constatation qu’on a essayé dans cet article, de découvrir les principes sociologiques du droit naturel en examinant le contexte historique et sociologique de la communauté internationale contemporaine.C’est une proposition élémentaire de la philosophie et de la sociologie du droit, qu’aucune communauté ne peut exister sans droit. Selon l’opinion de l’auteur, le système dit du droit des gens, n’est pas un droit sur lequel pourrait se fonder la communauté internationale, car les règles de ce droit procèdent de la décision arbitraire des Etats. Le principe pacta sunt servanda, considéré comme une norme fondamentale du droit des gens, n’est pas susceptible de justifier le caractère obligatoire de ce droit, car en sa qualité de règle formelle, il a besoin lui-même d’une motivation, et ne possède un sens complet — comme l’affirme del Vecchio — que relativement à la dignité de la personne humaine. Dans la perspective du pluralisme de conceptions du monde actuellement existant et du pluralisme moral qui l’accompagne, il est impossible de trouver des normes morales et sociales qui seraient obligatoires à priori. Une affirmation universelle de telles normes avait fait place à une „construction inférieure de ces normes, fondée non plus sur une idéologie commune, mais sur l’expérience quotidienne de la vie sociale. Par conséquent, la question relative aux normes sociales du droit naturel régissant la communauté internationale, réclame une réponse qui serait obtenue par la voie d’une sorte d’induction. C’est la sociologie des relations internationales qui est un instrument utile pour arriver à une telle réponse. Elle constate notamment que dans la communauté internationale contemporaine se fait jour de plus en plus nettement la subjectivité de la personne humaine, et ce qui is’ensuilt, la protection des droits de l’homme est devenue un élément essentiel de la collaboration internationale. L’État n’est plus le facteur unique de décision (decision maker) sur l’arène internationale, mais aussi, dans une lange mesure, l’individu humain'. La sociologie des relations internationales a aussi constaté un changement important dans la structure des groupes constituant la communauté internationale: 1. le groupe dominant n’est plus l’État, mais le bloc social et culturel ou idéologique, 2. sans cesse s’accroît le noiihbre et la portée dels organisations internationales dont une très grande majorité esit composée d’organisations extra-civiles dans lesquelles les sujets ne sont plus les Etats, mais les personnes humaines. Les blocs existants se sont polarisés d’après le principe idéologique. Toutefois aussi bien la' loi de la dynamique des groupes, que les règles du comportement (behavioral rules) des blocs idéologiques actuellement en vigueur, indiquent la possibilité d’une coexistence pacifique. Le niveau de cette coexistence a un caractère extra-idéologique. D’un point de vue purement sociologique, il existe donc un terrain possible d’un dialogue méta-idéologique. Dans la situation internationale actuelle, un tel dialogue est une nécessité morale accompagnée d’un impératif éthique. On peut donc parler, dans la perspective de la situation internationale actuelle, d’un dialogue considéré comme un principe sociologique du droit naturel.
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rozprawy |
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Jerzy Gałkowski
Jerzy Gałkowski
Uwagi o koncepcji prawa naturalnego Jana Dunsa Szkota
Remarques sur la Conception de la Loi Naturelle Chez Jean Duns Scot
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L’article concerne la dépendance de la conception de loi naturelle de l’anthro- pologie dans le système de Duns Scot. Malgré les déclarations de Duns Scot affirmant l’indépendance de la conception de la loi naturelle vis à vis de la conception de l’homme, on peut retrouver cette dépendance aussi bien dans le contenu de la loi (surtout de la loi naturelle au sens large) que dans la manière de connaître cette loi. Le problème est analysé sur le fond de l’analyse des „pures possibilités” de l’existence, de la structure et de la connaissance de la loi naturelle.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 2
Halina Wistuba
Halina Wistuba
Popęd naturalny i refleksja jako podstawowe czynniki działania kulturotworczego
L’Instinct Naturel et la Réflexion Considérés Comme les Facteurs Fondamentaux du Développement de la Culture
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L’auteur essaye de montrer la portée de l’instinct cognitif et volitif et de la réflexion dans la formation de la culture. Si l’on nomme l’effort humain pour construire la culture l’activité de l’homme en tant qu’homme, qui tend directement ou indirectement au développement le plus complet possible de la personne humaine, alors l’instinct cognitif et volitif naturel amorce une telle activité. D’autre part, la réflexion, qui est une possibilité de „regard” des facultés spirituelles sur leurs propres activités et sur leur fondement qu’est la substance simple de l’âme, elle rend possibles des opérations telles que: la vérification du caractère raisonnable des objectifs cognitifs et volitif s, de la justesse du choix, l’action d’orienter les activités vers le but choisi, la correction de la collaboration de l’intellect et de la volonté. La réflexion esit une source du progrès aiccompli par l’homme dans sa recherche du plein développement de l’homme, sans quoi, sans doute il est impossible de créer et de développer une culture.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 1
Zofia J. Zdybicka
Zofia J. Zdybicka
Analiza pojęcia partycypacji występującego w filozofii klasyczne
L’Analyse de la Notion de Participation Dans la Philosophie Classique
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Les recherches historiques et systématiques sur le thomisme proposent la théorie de la participation cornme la doctrine qui explique les relations entre l’Absolu et les êtres composes. La théorie de la participation est origine platonicienne. Dans le systeme de Thomas d’Aquin l’intuition de Platon fut enrichie d’expérience des siècles, mals avant tout eile fut essentiellem ent transformée grâce à sa propre et originale conception de l'être. A l'appui de la conception de l'être de Thomas — ou l'être est un concret existant — la théorie de la participation devient une tentative justifiée et actuellement intéressant d’expliquer la réalité de manière la plus générale: la pluralité des êtres, leur unité analogique, la singularité et la particularité de l'Absolu ainsi que les relations mutuelles entre l'Absolu et les êtres dérivés.La reprise dans le présent article, après les travaux de plusieurs auteurs, surtout de Geiger et de Fabro, du problème de participation dans la philosophie de l'être, se justifie par d’assez sérieuses divergences dans interprétation de cette théorie, divergences liées avec des particularités dans la manière de concevoir les principaux problèmes de nature cognitive et ontique. Discuter avec les opinions des théoriciens contemporains de la participation, faire apparaitre la nature de la participation à l'appui de la conception de l’être existentielle et de la conception „judiciaire” de la connaissance de l’être — tel sera le principal but d’un travail ultérieur initié par cet article. Ici l'on a analysé les significations du terme de participation apparaissant dans la langue courante et surtout du terme technique propre à la philosophie classique, en tenant plus particulièrement compte de la théorie de l’être de Thomas d’Aquin. Dans las analyses effectuées il ne is’agissait pas tant de siuivre les influences historiques ou son évolution chez Thomas lui-même, que de tenir compte de sa pensée dans sa période la plus mûre et de l’harmoniser avec la totalité de sa théorie de l’être. On a aussi presenté les idées des interprétateurs contemporains de la pensée de Thomas (Geiger, Fabro, Montagnes, Nicolas, Hayen) con- cernant la place et la nature de la participation dans la Philosophie thomiste.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 1
Stanisław Kamiński
Stanisław Kamiński
Zdania praktyczne a zdania teoretyczne
Propositions Pratiques et Propositions Theoriques
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Les relations entre les propositions théoriques et pratiques n’ont pas été déterminées d’une manière universellement reconnue, malgré le développement de la sémiotique. L’auteur entreprend de préciser ces relations, non seulement du côté sémiotique, mais encore ein tenant compte de conditionnements philosophiques et surtout en fonction de besoins de la métaéthique.Les propositions théoriques isoint des émoncés indicatifs dans lesquels on prend en consideration exclusivement leur fonction informationnelle. Les propositions pratiques par contre (appréciatives, normatives et impératives) samt des propositions dornt te contenu lui-même comporte un élément de recommandatiom. Ces propositions se rapporteint à quelque chose qui n’est pas indifférent à quelqu’un au point de vue de son action ou de son attitude. Les appréciations par exemple indiquent la raison de l’attrait d’un objet (action ou produit) par rapport aux émotions ou aspirations du sujet. Cette raison constitue la fin ou bien un moyen menant à cette fin (fin indirecte) pour un sujet. Ainsli done une décision relativement à la valeur loigique des appréciations doit se fonder sur une théorie des aspirations naturelles de tous les êtres et sur leur ordre. Le problème est pareil en ce qui con- cerne les normes et les ordres.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 1
Tadeusz Styczeń
Tadeusz Styczeń
Empiryczność i apodyktyczność etyki u pozytywistow
Le Caractere Empirique et Apodictique de L’Ethique Chez des Positivstes Contemporains
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L’article constitue une tentative d'apréciation des vues métaéthiques chez les positivistes contemporains. Le point de départ de l'analyse est la constatatiom de ce fait singulier que dans le cadre de l’attitude de l'empirisme logical, attitude exceptionnellement homogène en ce qui concerne la théorie de la connaissance, se sont dégagées deux façons, diamétralement opposées, de concevoir le caractère épistémologique de l'éthique: le naturalisme éthique representé par M. Schlick, et l'émotivisme représenté par A. J. Ayer et Ch. Stevenson. L’auteur morntre que la source de l'opposition de ces conceptions est à chercher dans le désir de rendre compte du caractère épistémologique de la connaissaince morale: empirique et apodictique. Cependant, ayant adopté une vue étroite de l'expérience, les positivistes se voient obligés à briser la conjonction des caractères épistémologiques mentionnés. Le naturalisme, s’efforçant de sauver le caractere empirique de l’ethique, est réduit à refuser son aspect apodictique, tandis que l'émotivisme éthique, désireux de isauver à sa façon l'aspect apodictique, est rédult à en nier l'aspect empirique. Dans les deus cas, il ne s’agit en effet que d’une différence de forme pour liquider l’éthique. Mais les arguments que ces deux courants mettent en avant pour se combattre mutuellement, incitent plutôt à rejeter tous les deux points de vue — en montrant à l'oocasion que la voie menant à une solution de problemes méthodologiques de l'éthique doit être cherchee dans la révision de la notion positiviste de l'expérience.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
18 >
Issue: 1
Stanisław Majdański
Stanisław Majdański
Z zagadnień pragmatycznej charakterystyki fenomenu dyskusji (szkice semiotyczno-filozoficzne)
Autour Des Problemes D’Une Caracterisation Fragmatiquk Du Phenomene De La Discussion
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Le present essai iremonte ä une etude redigee il y a quelques annees et inseree ensuite dams un ensemble plus vaste (en train d’etre prepare pour rimpressiom): „Problemes de rassertiom propositionnelle”.Des differentes manieres possibles d’envisager le phenomene de la discussion, nous avoms retenu calle qui nous apparait comrne la plus valable, ä isavoir semio- tico-pragmatique et philosophico-pragmatique. D’une faęon generale, nous nous situoms sur le plan de diverses tendances de ce qu’om appellle logique philoisophique, principalement pragmatique (en premiere ligne K. Ajdukiewicz et la* tradition pragma tico-analytique anglo-saxonne) et „epistemique” (entre autres J. Himtikka, R. M. Chisholm — aujourd’hui, on ajouterait les travaux de N. Rescher) ainsi que „rhetorique” (vues anglo-saxonnes et celles de Ch. Perelman) ou dialectique (vues elaborees ä partir de la Philosophie hegelo-marxiste), tandis que dans le domaine proprement phiiloisojphique mous faisons appel — ä cote de la tradition de la Philosophie classique — ä plusieurs courants contemporains tels que le personnalisme ou la itendance amthropologique et meme ä un pragmatisime modere. Pour les details, nous nous ad reasons ä la litterature claissique et actuelle, polonaise et etrangere. En outre, ,nous poison's une desabsolutisation — ä partir d’une theorie dynamique du savoir et en vue d’une logique pragmatique — de tous les deux termes de l’opposition: psychologisme-antipsychologisme (a ce dernier il arrive d’etre crypto- pragmatique ou bien pragmatisable!).Le but que nous poursuivons ici est de caracteriser l’activiite diiscussioninelile (acte, moment, modalites, attitude, done, le plus generalement: le phenomene de la discussion) — dans la rnesure, ou cela peut se faire par vole d’analyses „defini- tionnelles-contextuelles” de ses verbalisations, e’est-a-dire de predicats (Operateurs, foncteurs, formateurs) pragmatiques ou epistemiques de la discussion. II s’agil de telles determinations definitionnelles de l’activite ainsi conęue qui soient ä meme de foumir une sorte de coupe pragmatique de la dynamique du discours discus- si onnel en tant que processus d’argumentation. Nous abordons dans cette optique une serie de predicats (activites) pragmatico-epistemiques (et, eventuellement,autres) pretendant au nom d’elements determinants. Nouis avons egalement tenu compte de leurs conditionnements contextuels, sans negliger la problematique methodologico-philosophique en rapport avec ces analyses.Les facteurs centraux generant et determinant la discussion, ce sont les acti- vites (et, evidemmant, les predicate respectifs) de l’assertion avant tout. La discussion est un phenomene de toute premiere importance du point de vue de l’asser- tion; ce sont des assertions determinees qui le constituent. Ceci appert au debut meme des analyses lorsque, en nous en referamt ä certaines formulas de J. Łoś (indirectement aussi ä celles de S. Jaśkowski), nous adoptons, provisoirement, la definition de depart du foncteur de discussionnalite (donnee dans son calcul cara- cterisant la reconnaissance, mais dans les presentes considerations prise dans un sens plus large, conformement au profil de l’artiele): est discutable que p, ce qui revient ä dire qu’il y a deux tels individus x et y dont x admet p et y admet non-p (ou ,,p” est variable propositionnelle).Les considerations qui constituent cette etude emergent ä l’oocasion de certaines modifications de cette definition. Dans les cas de caracterisations elargissant ou retrecissant le sens du analysandum ceci nous amene ä proposer de plus en plus de notions nouvelles (varietes, genres etc.) de la discutabilite ou de la discussion ce qui fait apparaitre toute une „familie de significations” du predicat discussionnel „Sp” defini. Ces complications analytiques sont le fait de divers criteres: application empirique ou sentiment du sens, principes methodologico-philosophiques pre- ferant telle ou autre notion de la discussion, voire meme certaines commodites purem ent logiques des solutions. Ces dernieres ont ä Tordinaire une valeur d’alterna- tive, une valeur hypofhetique ou provisoire ce qui resulte du caractere de l’ensem- ble des considerations qui posent des problemes.Entre autres, nous avons cherche ä montrer que c’est quelque opposition qui constitue l’essence meme de la discussion conęue de faęon pragmatique. D’oü la notion du modele fondamental de la discussion „dialogalement oppositionnelle”. Cette opposition peut etre (la discussion qu’elle genere s’en ressent) differente quant au degre ou la force. Elle apparait en outre soit comme objective — (primordiale- ment) entre propositions, „objets” de la discussion, les deux adversaires adoptant en principe la meme attitude mentale, soit comme subjective — (plutöt) entre assertions des adversaires, portant en principe sur le meme „sujet”.Ce subjectivisme ou objectivisme de l’activite discussionnelle se definit avant tout par la nature de 1’assertion generatrice de discussion et par la nature de ses conditionnements (qui concernent par-la meme la discussion), d’habitude plus ou moins pragmatico-subjectifs et exprimes par des relativisations adequates contex- tuelles-personnelles des predicats de l’assertion ou de la discussion. L’assertion est habituellement (si l’on fait abstraction de l’aspect syntaxique) soit liee etroite- ment ä la realite, ä la notion de la verite (tendance classique, J. De la Harpe,J. Lukasiewicz), soit — nommons-la alors „acceptation” — eile rend compte de 1’ hiatus subjectivo-objectif (tendances modernes subjectivistes de meme que certaines tendances dans la methodologie des sciences contemporaine). Dans la discussion dite objectivo-rationnelle la part de facteurs pragmatiques (surtout fortement subjectivises) est reduilte au maximum ou bien donnee tres exterieurement, d’une faęon motorique, instrumentale, avec une visee transsubjective du vrai. Ils existent teanmoins et ils sont generateurs de discussion, ä mesure que la discussion possedeun statut pragmatique d’„etre semiotique”. Le trait specifique de la discussion ainsi caracterisee, c’est preoisement son caractere dialectiquement paradoxal se manifestant dans le jeu souvent „pervers” de facteurs surtout (quasi-)psychologi- ques (nous aimerions les appeler plutöt pragmatico-subjectifs) et objectivo-sernan- tiques, II se peut que le statut aussi complexe de la discussion s’avere pragmati- quement plus comprehensible sur le fond de l’invasion du subjectivisme moderne (souvent absolutist et idealisant) que dans le contexte de tendances realistes et rationalistes souvent trop etroites de la Philosophie d’inspiration classique.En ce qui concerne les notions, predicats, problemes,. activites etc., auxquels id a ete fait appel dans ces analyses, nous aimerions signaller ä titre d’exeimple: la notion de la discussion dans raspect de la notion du probleme, le role de la rela- tivisation personnelle des contextes discussionnels, la notion du refus, la question de la dualite des partenaires de la discussion ainsi que celle de la simultaneite des opposants ou des oppositions dans la discussion, le probleme de la valeur methodo- logique des demarches analytiques caracterisant le predicat discussionnel (pas „discutable”, car ceci suggererait que c’est le predicat lui-meme qui est r„objet” de la discussion), le predicat de la connaissance (principalement assertivement importante) mutuelle des opposants relativement ä leurs assertions respectives, de meme que certains autres determinateurs de la discussion, p. ex. les predicats pratiques accouples ä ^assertion (p. ex. ,,x desire que y adopte la meme attitude d’assertion que x ä l’egard de x en ce qui concerne la proposition discutable p”; ceci vaut egalement pour la supposition de y ä regard de x), le prediicat de doute; c’est ici egalement que se pose le probleme de la signification et de l’equivalence ainsi que eelui de la comprehension des expressions adoperees dans la discussion, que surgit la tres importante question de la relation comprehension — reconnaissance, et celle de la discussion dans raspect du probleme de la solubilite (formelle ou non).Finalement, nous avons insiste sur le röle de la discussion pour la connaissance dans les sciences humaines et dans la Philosophie ouverte sur l’horane — en tant qu’instrument singulierement universel („logique humanistę”) s’il s’agit de ces domaines. La genese discussionnelle, pour ne pas dire „agoreenne” de la logique et, dans une certaine rnesure, de la Philosophie, est ici particulierement eloquente Le röle de la discussion dans les disciplines et les demarches susmentionnees cadre actuellement avec les tendances anthropologisantes et personnalistes dans la Philosophie (aves, en tete, la theorie de l’etre envisagee dans cette optique). Si le phe- nomene ne se ramene pas ä quelque chose de fortuit ou simplement ä l’expression d’une mode, il faudra chercher la raison de cette attitude probalblement dans l’orien- tation pragmatique metascientifique. Par-la meme se trouve partiellement expli- que ou justifie le role de discipline-pilote qui incombe ä cette semiotique, bien qu’il ne faille pas lui attribuer une valeur pansemiotique, une valeur de pariacee. Le present essai suppose d’ailleurs une preference pour I’attitude semiotique sur le plan de la logique elle-meme et pragmatique dans le cadre de la semiotique (avec la perspective de „pragmatisation” de certains elements de la psychologie et de la sociologie de la connaissance). II apprecie done a leur juste valeur les tendances et les conceptions semiotisantes-pragmatisantes dans le domaine de la logique des sciences. Ceci n’exclut evidemment pas l’utilite de demarches syntacti- co-formelles (dans le cadre des limitations formelles connues) qui dans certaines disciplines somt tout simplement indispensables, la theorie de la discussion y comprise.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Stanislaw Kamiński
Stanislaw Kamiński
Wissenschaftliche Erklärung und Begründung
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