rozprawy |
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
6 >
Issue: 2
Czeslaw Strzeszewski
Czeslaw Strzeszewski
Praca jako źrodło szczęścia w nauce św. Tomasza z Akwinu
Le Travail Comme Source du Bonheur Chez Saint Thomas D'aquin
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Le problème du travail est traité par le tomisme ainsi que tous les problèmes économiques et sociaux accidentellement, d’ou vient la difficulté de construire une synthèse élargie et approfondie.La vie selon saint Thomas c’est le mouvement. L’activité est le synonyme du mouvement. Chaque activité de l’homme peut être traité comme travail si sa connaissance y est engagée.Chaque travail exige de l’homme l'engagement aussi corporel que spirituel, mais l’intelligence en est le facteur primordial.C'est par son caractère libre, spirituel et personnel que le travail humain diffère de l'activité des autres organismes vivants. Le trait unique du travail humain c’est que son but n’est pas seulement la satisfaction des besoins actuels mais aussi de ceux de l’avenir.L’homme est créé pour bonheur. Le travail est son activité naturelle, i! doit y trouver son bonheur II s’agit bien sur du bonheur imparfait seulement (beatitudo imperfecta), car le bonheur parfait c’est Dieu lui-même.L’auteur examine les textes de la Somme Théologique se rapportant à ce problème et en conclut que selon saint Thomas on peut envisager le travail et le travail manuel même comme source du bonheur imparfait de l'homme. Tout de même la valeur du travail, sa perfection, le bonheur qu’elle rapporte depend non pas de son efficacité extérieure, mais de son but et de son effet intérieur.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Karol Wojtyła
Karol Wojtyła
O kierowniczej lub służebnej roli rozumu w etyce
Sur le Role Dirigeant ou Bien Dependant de la Raison Dans la Philosophie Morale
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Le problème esquissé ici touche un autre problème plus général c.-à-d. le problème de la norme dans la philosophie morale. On peut parler de fonctions normatives de la raison, si on suppose sa puissance de diriger les actions humaines. Or, chez Thomas d’Aquin cette puissance de la raison se manifeste surtout par cela, que la raison détermine le bien honnête (bonum honestum) ’comme le but de l'action. C’est le bien qui per se mérite de constituer l’objet de désir d'un être raisonnable. Le bien qui constitue un moyen pour obtenir le bonum honestum c’est, d’après S. Thomas, le bien utile. Le bien utile peut aussi être un moyen pour n’obtenir qu’un plaisir (bonum delectabile) — c-à-d. un bien subjectif. Dans ce cas la raison devient un serviteur dépendant des sentiments sensibles.Le rôle dépendant de la raison est accepté par Hume dans son Treatise of human nature (livre II et III). La raison orientée vers les idées abstraites n’est pas capable de diriger la volonté et les sentiments, desquels dépend toute l'opération de l'homme. Le rôle de la raison n’est qu' accidentel et coopératif. Le jugement sur le bien et le mal moral n’appartient pas à lui, mais à un spécial sens moral. Cette conception de Hume est sûrement aussi une conséquence de ses présuppositions noetiques. Kant, qui s’oppose à l’utilitarisme eudemonistique de Hume, ne pouvait néanmoins assurer le rôle dirigeant de la raison pratique. La raison selon Kant est seulement indépendante des sentiments et du déterminisme du monde extérieur. Mais l’indépendance de la raison n’est pas la même chose que son rôle dirigeant dans l’action.On voit mieux par cela l’importance de bonum honestum dans la philosophie morale.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Józef Majka
Józef Majka
Encyklika Vix pervertit i jej wpływ na rozwoj katolickiej nauki o lichwie
The Encyclic „Vix Pervenit“ and its Influence on the Development of the Catholic Doctrine on Usury
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The author considers the Encyclic of Pope Benedict XIV, devoted to the problem of interest, as the first modern social Encyclic. He analyses it against the background of the state of Catholic doctrine on usury at that time. He takes also in account its social and economic relations.Having given a general sketch of the problem the author proceeds to represent in details the direct circumstances of the appearance of the Encyclic. He also devotes much attention to S. Maffei’s book, as well as to the discussion it evoked.The minute analysis of the text of the Encyebc has a retrospective as well as a prospective character. On the one hand the author tries to investigate the connection of the theses of the Encyclic with the Catholic doctrine as it was before the Encyclic — on the other hand he points to the relation between the declarations of the Encyclic and later bolder statements of some Catholic writers. As the result of the analysis the author comes to the conclusion, that although formally the Encyclic poses the problem in a traditional manner, yet opens possibilities of further scientific research. The Encyclic at the same time gives directions to this research and stresses the necessity of continuing it according to the Cathollic doctrine, which should be its base.The author attemps to trace the influence of the Encyclic on the further research of Catholic moralists in this matter and comes to the conclusion, that this research was not guided by the spirit of the Encyclic, but by the formulae used in it: The research was continued analysing the titles of interest as well as contracts approaching the loan of „mutuum“.This had been the reason, why these investigations lost themselves in vain efforts to find arguments for interest, instead of reaching a full and universal analysis of the question based on the Christian doctrine.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Tadeusz Ślipko
Tadeusz Ślipko
Kłamstwo a słuszna obrona sekretu
Kłamstwo a słuszna obrona sekretu
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Die Arbeit bespricht das Problem, welche Mittel zur Verteidigung des Geheimnisses ethisch berechtigt sind. Nach der Erklärung einer zweifachen Möglichkeit der Geheimnissbedrohung durch unverantwortliche Eindringlichkeit (interrogatio importuna) und ungerechten directen Angriff (miusta aggressio) folgt die Darlegung der betreffenden Situation entsprechenden Verteindigungsmittel Im ersten Fail genügen allgemein angewandte Zweideutigkeiten (aequivocatio conventionalis), im zweiten aber sind zu diesem Ziele unwahre Aussprachen notwendig. Im Beweis ihrer .Zulässigkeit stützt sich der Autor auf die Theorien des P. Vermeersch. Ei ergänzt sie aber durch eine Analyse: 1. der im formalen und materialer» Sinn genommener Sprache, 2. des Verhältnisses der material genommener Sprache zur Aussprache welche im Falle der Geheimnissverteidigung angewandt wird, und welche er defensive Rede (locutio defensiva) nennt, sowie 3. des Begriffes von Handlungen welche von ihrer Natur aus gut oder böse sind.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Karoliną Maria Kasperkiewicz
Karoliną Maria Kasperkiewicz
Stałość w świetle nauki św. Tomasza z Akwinu
La Constance a la Lumière de la Doctrine de Saint Thomas d’Aquin
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En sa qualité d’élément essentiel du caractère moral la constance avait déjà été analysée, dans une certaine mesure, du point de vue de l-i psychologie et de la pédagogie. L’aspect éthique du problème par contre n’a pas suscité la curiosité des chercheurs. Dans les plus récents manuels de philosophie et de théologie il n’y a d’autres mentions relatives à la constance que celles que nous avait léguées le plus grand penseur médiéval — saint Thomas d’Aquin.En se basant sur la doctrine du Docteur Angélique on peut distinguer trois sens du terme constance: constance comme élément de toute habitude morale, constance en tant disposition à la vertu, constance en tant qu’une vertu morale à part. La constance en tant qu élément nécessaire de chaque vertu est une conséquence de la consolidation d'une habitude morale donnée dans le sujet que lui est propre. Elle consiste à entretenir la tension de la volonté depuis la décision jusqu’au moment d’accomplissement de l’acte de la vertu.En revanche la constance en tant que disposition à la vertu n’est pas un caractère statique; c’est un facteur dynamique. Elle aide la volonté à s’opposer aux impulsions encore indomptées qui s'efforcent d'empêcher l’homme dans la réalisation des décisions raisonnables. La constance en tant que disposition constitue le commencement de la vertu de la constance. Grâce à une répétition fréquente des actes accomplis avec le concours de cette disposition, dans la nature raisonnable de l’homme se dévelope la constance comme une vertu spéciale.Saint Thomas d’Aquin définit la vertu de la constance comme une habitude morale qui affermit l’homme jusqu’à un tel point, que celui-ci persévère dans le bien malgré de différentes difficultés extérieures. Il en résulte que l’objet formel de la constance en tant que vertu est la persévérance dans un bien difficile tandis que son objet matériel dans éloigné constituent des difficultés d’ordre extérieur. En tonnant compte de la doctrine du Docteur Angélique relative à la constance et aux autres vertus nous sommes amenés à conclure que la constance on tant que vertu est une perfection de l’impulsion au combat et son objet matériel plus proche est le découragement Si nous tenons compte des éléments particuliers de la vertu de la constance nous pouvons en donner la définition suivante: la constance est une vertu momie qui affermît l’homme accomplissant des devoirs moraux pour qu'il ne tombe pas dans le découragement dû aux difficultés extérieures mais afin qu’il realise ce qu’il avait décidé sous l'influence de la raison droite.La constance est le juste milieu entre deux extremes: l’inconstance et l'obstination. Un homme constant est fidèle à ses décisions portant sur un bien vrai. Cependant au cas ou il s’agirait des choses mauvaises, indifférentes ou insignifiantes, il ne s'obstine pas dans ses décisions antérieures. C’est qu'il se rend compte que dans des cas pareils l’obstination cause plus de mal que de bien.La vertu de la constance a une grande impoi tance cans la vie morale de l’homme; elle constitue le facteur fondamental du caractère moral qui est le plus grand des biens temporels auxquels l’homme puisse aspirer dans cette vie-ci.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Adam Rodziński
Adam Rodziński
Sprawiedliwość i miłosierdzie w dysponowaniu dobrem materialnym
Justitia et Misericordia in Dispensatione
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Justitia (sicut habitus, actio, qualités operationis, neenon sicut relatio personarum ad personas) cerium modum agendi significat vel expostulat, iegi nempe conformera vol aliène juri. Ilinc prqvenit differentia inter ju- stitiam legalem et debdorialem. Gemmae hae loi mas suas —- satis generales — dant omni operi bono, proinde etiam s.d. „operibus justitiae et misericordiae” ad satisfaciendum indigentiae alienae.Justitia particularly tarnen vertit se ad aequaJitatem rei, tendit ad minimam partem praestandorum. Cuius in ambiiu distinquendae sunt: justitia naturalis, commutativa et socialis (contributiva et distributiva) — très ergo — resp. quattuor — species distinctae (non tarnen totaliter di- versae) quae indigent hic aliqua explicatione. Cum justitia naturalis na- turam habet radicem ordinemque custodit naturalem ad vitam ipsam ho- minum praesertim salvandam, tum justitia commutativa ex contractu quodam libero vim suam et vigorem haurit. Duobus hisee ex fontibus (naturali nempe et conventionali) justitia effluit socialis, quae ordinal omnes relationes sensu stricto sociales in societate ecclesiastica et civili. Limes qui obligationes quantitative mensurabiles ab obligationibus ad quoddam „optimum“ spectantibus secernit, est limes inter justitiam particularem et misericordiam in eleemosynis distribuendis.Misericordia (non affective, sed effective sumpta) est manifestatio caritatis in ordine ad miseriam proximi sublevandam, non tarnen omni in situatione, sed ubi abest stricta, mensurata obligatio e.g. „restituendi“ superflua Deo in pauperibus. Agitur de superfluis statui. Superflua enim vitae non sunt reddenda, nisi ad vitam egestosorum salvandam in necessitate eorum extrema. Justitia naturalis ~ pondéré casus diminuto — ri- gorosam suam faciem abiicit et confunditur cum justitia sociali, quae materialem miseriam civium per aptarum legum lationem atque executionem tollere vel saltem diminuere studet actione charitativa adiuvante. In casu verae necessitatis socialis (si e.g. imminet bellum vel rebellio) cum libera magnanimitas civium deficiat, potestas publica juste utitur omnibus eorum divitiis, quae eis ad vitam humanam agendam non sunt necessaria, ut videlicet bonum procuret commune, non autem ut ipsa ditescat subversione rei familiaris.
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materiały |
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Issue: 2
Krzysztof Kozłowski
Krzysztof Kozłowski
Problem filozofii prawa
Problem filozofii prawa
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8.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Bibliografia wybrana prac z zakresu etyki społecznej i zagadnień pokrewnych za lata 1950—1957
Bibliografia wybrana prac z zakresu etyki społecznej i zagadnień pokrewnych za lata 1950—1957
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recenzje |
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Issue: 2
Czeslaw Strzeszewski
Czeslaw Strzeszewski
Science économique et travail
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10.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Karol Wojty·a
Karol Wojty·a
Przedmiot etyki w świetle zasad św. Tomasza z Akwinu
Przedmiot etyki w świetle zasad św. Tomasza z Akwinu
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11.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
6 >
Issue: 2
Tadeusz Zembrzuski
Tadeusz Zembrzuski
Socjologia katolicka
Socjologia katolicka
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