rozprawy |
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
7 >
Issue: 2
Feliks W. Bednarski
Feliks W. Bednarski
Zagadnienie ambicji według św. Tomasza z Akwińu
L’Ambition d’Aprés Saint Thomas d’Aquin
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L’ambition, selon la conception de s. Thomas d'Aquin, constitue un vice s’opposant à la magnanimité par excès; elle implique en effet un désir désordonné des honneurs, en ce sens que l'on attend d’autrui des marques de considération pour une excellence que l'on ne posséde pas, ou que l'on ne destine pas à la gloire de Dieu et au service des autres. De nos jours, toutefois, la philosophie contemporaine emploie le terme d’„ambition“ non seulement pour désigner ce défaut, mais aussi pour signifier la tendance à l’acquisition d'un bien ardu, encore à venir, d'accès difficile, quoique possible; en somme, on retrouve là la notion thomiste de l’espoir qui, chez Aristote déjà. faisait partie de l’objet matériel de la magnanimité. Les Stoïciens par la suite, offrirent une interprétation pragmatique des notions de magnanimité et d'ambition. De même Abélard, qui s’opposait ainsi à s. Bernard. S. Albert et s. Thomas d’Aquin élaborèrent une remarquable synthèse des aspects aristotéliciens, stoïciens et chrétiens de la notion du désir de grandeur et de choses difficiles, ouvrant ainsi la voie aux applications de cette doctrine en pédagogie. On ne peut que reconnaitre la parfaite actualité de la doctrine de s. Thomas concernant le désir sainement compris des valeurs difficiles à atteindre; doctrine dont ont si grand besoin les jeunes surtout, trop souvent minés par le manque d'enthousiasme et l’inertie dans la poursuite des valeurs spirituelles, à cause des mirages trompeurs d’une philosophic existentialiste et athée, ou par suite des difficultés de la vie d’aujourd’hui.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
7 >
Issue: 2
Czesław Strzeszewski
Czesław Strzeszewski
Z problematyki jałmużny u św. Tomasza z Akwinu
Quelques remarques sur le probleme de l’aumône chez Saint Thomas d’Aquin
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Cet article conti ent seulement une partie d’un chapitre d’un plus grand ouvrage.L'auteur nous y présente le problème de l'aumône chez saint Thomas d’Aquin du point de vue du devoir qu’a le propriétaire de rendre aux pauvres le superflu de ses biens (bona superflua). II y discute avec la thèse d’un des commentateurs thomistes R. Brunet qui soutenait que saint Thomas avait changé plus tard son premier point de vue sur le devoir moral strict du proprietaire de rendre son superflu en aumônes.C’est que ce malentendu pent être expliqué facilement si l'on distingue le devoir de l'aumône du point de vue de celui qui la donne et du point de vue de celui qui la reçoit. Cette même distinction explique la controverse qui existe entre certains commentateurs thomistes: les uns liant le devoir de l'aumône à la justice les autres la liant à la charité.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 2
Ignacy Czuma
Ignacy Czuma
Preliminaria do rozważań o stosunku etyki do nauk praktycznych
Considérations Préliminaires sur le Rapport Existant Entre l'Éthique et les Disciplines Pratiques
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L’auteur est d’avis que l’analyse du rapport existant entre l'éthique el les disciplines pratiques impose le besoin de formuler-à partir de plu- sieurs ensembles de problèmes seientifiques-quelques données fondamentales, à savoir: une définition élémentaire de l'essence de la morale et de la science, l’analyse du problème des jugements constatants et appréciants àinsi que celle de leurs rapports dans les mathématiques, le passage — dans la science — de l'ordre théorique à l’ordre pratique, l’analyse de l'ordre pratique dans la science, le rôle de la sagesse, le caractère auxiliaire des sciences (question de leur objet formel et de leurs interdépendances).
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Tadeusz Ślipko
Tadeusz Ślipko
Spór o naturalną funkcję słowa
De naturali verborum functione controversia
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Axioma scholasticum „verba sunt signa naturalia veritatis“ a plu- ribus auctoribus modernis in dubium vocatur, ut solu ti oni problemat is de secreto efficaciter tuendo facilior via stematur. Quorum difficultates demonstrare intendunt, nexurn inter verbum et mentem non in natura verbi, sed in libera hominum conventione fundari. Praecipuae rationes haec adducuntur: diversatas linguarum, pluralitas functionum, et applicationum loquelae, ac demum subordinatio loquelae bono communitatis.Solutioni harum difficultatum analysis naturae verbi praemittitur. Et quidem in verbi obiectiva realitate distinguendum est inter eius a) con- cretam individualitatem, quae cum varia in variis linguis verborum appa- rentda phonetica sive graphica identificatur, et b) verbi significativam specificationem, quae in artificiosa et soli homini propria verbi articulata formatione comsistit, ac simul elementum commune omnibus verbis constituit. In hac praecise specificatione fundatur interna verbi finalitas, vi cuius verbum medium aptum ad mentem alii homini exprimendam efficitur. Praeter specificationem tarnen ad finalitatem verbi plene consti- tuendam concurrunt adhuc externa adiuncta, a quibus dependet, utrum verba ad propriam mentem loquentis aperiendam inserviant, — et tunc habetur locutio formalis, — an vero aliis hominum utilitatibus applicentur, — et tunc habetur locutio materialis. Necessitatibus vitae humanae rite perpensis statuitur finis locutionis formalis primarius, fines vero loeutionis materialis secundarii et primario subordinati sunt censendi. Ideo propria locutioni ordinatio moralis ex obiectiva verbi finalitate complete spectata exigit, ut in locutione formali verba semper menti conformentur, quod probat nexurn inter verba et mentem naturalem esse et in obiectiva verbi natura, non vero in libera hominum conventione, f imdatum.Ad propositas difficultytes respondetur:Diversitas linguarum respicit concretam verborum individualitatem, nexus vero inter verbum et mentem in communi omnibus verbis interna eorum finalitate fundatur. Pluralitas functionum loquelae negari nequit, attamen criteria adsunt ad unam prae caeteris fundamentalem, primariam et locutioni essentialem assignandam. Socialis vero aspectus loquelae in eo consistit, quod loquela semper ad aliam personam tendit eique mentem loquentis detegit, ex quo facto ad eius Subordinationen! bono societatis, nisi indirectam et mediatam, concludere non licet.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Adam Rodziński
Adam Rodziński
Własność w pierwszej gminie chrześcijańskiej
La propriété dans la première communauté chrétienne
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Comment interpréter les informations,’ extrêmement laconiques, que nous transmettent les „Actes des Apôtres" au sujet de la propriété commune des premiers membres de l’Eglise? Le problème est d’une importance capitate non seulement pour l’historien des moeurs chrétiennes, rnais encore pour le moraliste. Ce dernier s’intéresse surtout à la question de savoir si cet état de choses particulier que nous observons dans la communauté chrétienne primitive pouvait découler des principes mémes de la morale prêchée par le Christ ou bien si c’était la prudence et les circonstances qui l’imposaient.En partant des données relatives à la situation sociale et économique de la Judée d'alors, l’analyse du problème de la propriété dans la première communauté chrétienne amène hauteur à la conclusion que les premiers partisans du Christ s'étaient probablement décidés à renoncer tous, ou presque, à leurs propres „champs et maisons“. C'était une nécessité qu'imposaient les circonstances exceptionnelles: le nornbre relativement grand d’indigents (surtout parmi les coreligionnaires), le boycottage et les chicanes de la part des juifs orthodoxes (le plus souvent pharisiens) qui dominaient le marché, l’annonce de la ruine proehaine de Jerusalem... Grâce à ce caractère momentané et local des motifs, le renoncement aux immeubles, au profit de la communauté, était toujours considéré comme une obligation morale provisoire que ne sanctionnait aucune loi écrite, aucun droit coutumier.Ce caractère „communioniste“ de la première communauté avait cependant aussi un fondement plus profond dans les traditions quasifamiliales et quasimonastiques du cercie d’Apôtres et de disciples accompagnant Jésus-Christ, c’est-à-dire dans les actes et l'enseignement de Celui qui est venu „parfaire la Loi" aussi en ce qui concerne la richesse et la pauvreté: II y a fait régner l’esprit de l’amour charitable et sans bornes.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Witold Zdaniewicz
Witold Zdaniewicz
Znaczenie augustyńskiej filozofii pracy
La philosophie Augustienne du travail
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C’est l'interprétation erronée de l’enseignement de l'Eglise au sujet du travail, proposée par un groupe de religieux, qui décide saint Augustin à reprendre la question. Pour bien comprendre sa solution, il faut prendre en considération certains principes de la philosophie augustinienne, à savoir la notion de Dieu-créateur, le processus du perfectionnement continu des créatures, la conception de l'homme de même que celle de la fin dernière.Saint Augustin est d’avis que le travail n’est pas en contradiction avec la nature humaine. Loin d’être une conséquence du péché, le travail permet à l'homme d’atteindre la plénitude de sa perfection. C’est pourquoi aucun travail ne dégrade l'homme. Chaque travail peut mener l‘homme à son Bien Suprême. Certaines professions (le commerce) offrent à l'homme plus d’occasions de s’éloigner de cette fin. Saint Augustin apprécie beaucoup l'agriculture. En fin de compte c’est à l'homme de faire bon ou mauvais usage de son travail. Le saint auteur souligne l'importance du travail physique en le mettant sur le même niveau que le travail mental. Tout homme doit s’adonner au travail manuel, à moins que le bien commun ne lui ordonne de consacrer son temps à d'autres occupations. Etant donné la nature psychophysique de l’homme, celui-ci doit associer le travail mental au travail manuel.La doctrine augustinienne en ce qui concerne le travail, exerce une influence considérable sur la pratique de la vie monastique (les règles bénédictine et franciscaine). Ses plus importants éléments sont assimilés par la doctrine de saint Thomas.II faut done constater que la doctrine augustinienne du travail est profondément enracinée dans l’Evangile et eile constitue une acquisition durable de la doctrine sociale chrétienne. C’est pourquoi il convient de réfuter les opinions de ceux qui donnent une appréciation négative de cette oeuvre de même que celles des auteurs qui y aperçoivent des influences des classes possédantes.
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materiały |
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Roczniki Filozoficzne:
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7 >
Issue: 2
Władysław Kamil Szymański
Władysław Kamil Szymański
Zestawienie i treściowa analiza tekstów z dziel św. Tomasza z Akwinu jako podstawa do interpretacji pojęcia pogańskiej i chrześcijańskiej świętości
Confrontation et Analyse des Passages de Saint Thomas d'Aquin Relatifs à la Notion de Sainteté Paîenne de Chrétienne
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L’auteur divise les textes en question en trois groupes: 1° textes ay ant trait à la conception néoplatonieienne de la pureté; 2° textes coneernant ia sainteté paîenne, mise en rapport avec le culte divin; 3° textes touchant la sainteté chrétienne de la grâce.Ces passages permettent d’entrevoir, d’un côté, la difference qui existe entre la notion de la sainteté paînne du culte, au caraetère naturel, et la notion de la sainteté chrétienne au caraetère surnaturel, fonction de la grâce sanctifiante. D'autre côté ces textes-là semblant rapprocher de quelque façon ces deux notions en mettant en relief des traits communs, traits de.toute première importance: la pureté et la constance.Les énonciations de St. Thomas pourraient constituer la base d’une étude à venir, à savoir de celle d'une interprétation detaillée de ces deux notions.
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recenzje |
8.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Ignacy Czuma
Ignacy Czuma
Moralna strona deformacji ekonomicznych pochodzenia fiskalnego
Moralna strona deformacji ekonomicznych pochodzenia fiskalnego
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9.
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Roczniki Filozoficzne:
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7 >
Issue: 2
Ignacy Czuma
Ignacy Czuma
Moralne podstawy filozofii traktatu Bodina
Moralne podstawy filozofii traktatu Bodina
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