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Travaux du IXe Congrès International de Philosophie

Volume 4, 1937
L'Unité de la Science: la Méthode et les méthodes I

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l’unité de la science
21. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
Adolfo Levi I rapporti tra la filosofia e la scienza nel pensiero contemporaneo
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L’auteur, après avoir brièvement examiné et discuté le néo-réalisme américain, qui subordonne la philosophie à la science, le logicisme de l’école de Marburg, et l’idéalisme critique de Brunschvicg qui la réduisent à une gnoséologie de la pensée scientifique, et l'idéalisme historiciste de Croce et de Gentile, qui déyalue la science, conclut que la philosophie peut enseigner à la science si eile a la possibilté de saisir la réalité objective, mais qu’elle doit apprendre d’elle à critiquer les principes ou propositions acceptés sans examen suffisant.
22. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
G. Malfitano, A. Bollengier, A. Honnelaitre La méthode de simplification complexive et l’unité des sciences
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Le Programme de cе Congrès, pour unifier la diversité des communications, propose six problèmes et six thèmes, formant un tout cohérent. Tout ensemble compliqué, étant dénombré, est réductible en un complexe qui d’autant mieux qu’il est plus ordonné, forme une simple unité. Discernons dans chacune et dans l’ensemble des notions, les trois acceptions les plus antinomiques, partant complémentaires, réunissons-les moyennant une plus générale, les autres seront coordonnées entre ces quatre, formant un complexe tétra-univoque. La coordination unitaire-trinitaire, la seule complète, est la plus simple méthode des méthodes.
23. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
L. Rieger Esquisse d’une noétique générale
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Méthode : la noétique générale procède, par réflexion critique, à l’analyse et reconstruction logique de toute connaissance, comme activité déterminant de pures différences de formes (sans l'inconséquence dualiste « forme-matière » indépendante, ou activité-réceptivité) et trouve le fondement dernier de toute connaissance dans le sens de valeur objective (Geltung), qui est norme autonome logique.C'est une théorie radicale d’activité constructive-formelle (symbolique, représentative), de connaissance objectivante fondée sur l’autonomie normative logique.
l’unité de la méthode
24. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
A. Mansion Nécessité et faillites de la méthode et des méthodes
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Méthodes d’invention et méthodes de démonstration. Comment les grands penseurs ont cru que la méthode de démonstration dont ils ont usé dans les sujets qu’ils ont traités était une méthode universelle d’invention, applicable à tout sujet (Platon, Aristote, Descartes, Kant, Bacon). L’affirmation qu’une pareille méthode d’invention est possible repose sur le postulat de la similitude entre les objets connus effectivement par eile et tous les autres objets. Pourquoi une pareille extension est imprévisible : l’efficacité d’une méthode n’apparaît que dans les vérités une fois découvertes.
25. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
Paul Hofmann Der korrelative Gegensatz von Sach-Erkenntnis und Sinn-Erkenntnis
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Le sens désigne la subjectivité du sujet. II n’est pas seulement une disposition effective de l'âme, de lui il у a aussi un savoir. Le savoir du sens appartient à la connaissance, et il s’oriente vers une verité ou exactitude qui lui sont particulières. La connaissance de la chose et la connaissance du sens se distinguent par le sens différent qui anime et forme l'une et l'autre. La connaissance de la chose s’accomplit par la transcendance, par l’addition de l'autre à la conscience qui se connaît elle-même. La connaissance du sens s’accomplit comme « Introscendance concentrique » ; eile veut approfondir le sens à chercher, en l’exposant dans l’image des expériences diverses, que le sens rend possible. La connaissance de la chose et celle du sens tombent sous deux logiques de pôle opposé ; ces deux logiques répondent à la différence corrélative de l’altérité des choses et de l’identité du sens.
26. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
Tadeusz Kotarbiński Idee de la methodologie generale Praxeologie
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1. Directives méthodologiques de Descartes. — 2. Définition de la méthodologie générale. Trois sections de la praxéologie : détermination des notions, typologie et critique des notions, partie normative. — 3. Détermination des notions praxéologiques. — 4. Typologie et critique des actions : a) Description et enregistrement des diverses formes de l’action ; b) exemples de progrés pratique ; c) exemples de pathologie de l’action. — 5. Normes de la méthodologie générale. — 6. Élements praxéologiques des autres sciences. — 7. Ce qu’on peut encore faire dans ce domaine. — 8. Rapport de la praxéologie à l’éthique.
27. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
P. Jurevičs Le sens de la méthode intuitive
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Le véritable sens de l'intuitivisme est l’aspiration à une connaissance absolument complète et intégrale qui s’identifierait avec l’être. Cet idéal, suggéré à la fois par le caractère incomplet de la connaissance intellectuelle et par certains besoins sentimentaux de l'homme, est comme tel irréalisable et ne permet ou’on s’en approche que faiblement. Mais, souvent présent dans l'arne des philosophes, son examen peut par là contribuer beaucoup à l'explication de certains faits de l'histoire de la philosophie : des traits qui apparentent la philosophie à la religion et à l’art, des paradoxes des doctrines idéalistes, des intuitions partielles d’un Descartes, d’un Husserl, etc.
28. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
Marin Stefanesco L’unité dans la diversité des méthodes
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En me posant le probleme de la méthode, je constate une diversité de solutions, et énetudiant cette diversité, je suis conduit à examiner, entre autres, la doctrine chrétienne.Mais pour comprendre cette doctrine, il faut que nous commencions par la priere, c’est-à-dire par la purification. Car c’est ainsi qu’en fait le christianisme commence toute action. Et alors, nous pouvons voir que la méthode cherchée est la croyance, mais sous des formes différentes : instinct, sensibilité, expérience, raison, pensée, esprit.Il у a donc plusieurs méthodes, mais en toutes, il у a en une seule ; il у a une méthode, mais sous des formes différentes.
29. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
Julius Kraft Ueber den Begriff der Wahrheit und das Grundlagenproblem der Erkenntnis
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L’état présent de la philosophie est la contre-partie vivante de la recherche cartésienne de la vérité : la philosophie actuelle cherche а éliminer la notion de vérité. Afin d’éviter ce scepticisme, on déteгmine d’abord la notion de vérité d’après la formule classique : adaequatio rei et intellectus. Puis on introduit le probleme des fondements de la connaissanec en distinguant la notion de vérité et le critère de la vérité, en montrant que la confusion entre les deux amène à la mystique de la connaissance ou au relativisme. On limite l’exigence d’un critère de la vérité aux «aperceptions réductibles», et l'оп montre comment les « aperceptions irréductibles » s’ordonnent en rapport aux aperceptions réductibles.
30. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
H. Rudy Zur Methodologie des Streites zwischen Vitalismus und Mechanismus
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D’une recherche méthodologique plus fournie du conflit entre vitalisme et mécanisme résulterait que la réduction des lois physiologiques et biologiques aux lois physico-chimiques est aussi philosophiquement intenable que la réduction des concepts biologiques aux concepts physico-chimiques. De l’as- sertion qu’il n’y a pas de lien de causalité entre phénomènes organiques et phénomenes inorganiques, ou entre faits psychiques et faits physiques résulte cette conséquence que les faits organiques ne s’expliquent que grâce à des méthodes de recherche biologiques, et les faits inorganiques grâce à des méthodes de recherche physico-chimiques. Pourtant, dans les deux, il s’agit non de choses assurées qui se présenteraient comme des connaissances, mais seulement de procédés et de conventions proposés.