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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
11 >
Issue: 4
Zofia Sękowska
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Psychologia w rewalidacji inwalidów
Psychologia w rewalidacji inwalidów
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 4
Zdzisław Papierkowski
Zdzisław Papierkowski
Osobowość przestępcy
La Personnalité Du Criminel
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Le point de départ de ces considérations sur la personnalité du criminel, c'est la constatation que le droit criminel en tant qu'un ensemble de normes (quel que puisse être leur base éthique), n'est pas à même de résoudre convenablement toute une série de problèmes ayant trait à la responsabilité de l'auteur du crime. Le droit criminel a besoin du concours de différentes disciplines parmi lesquelles il importe de souligner la psychologie criminelle. Avant de s'être imposée, la psychologie criminelle a dû combattre la fréno- logie (Gall) ainsi que l'interprétation somatologico-criminelle de la personne du criminel, interprétation appliquée par l'école italienne d'anthropologie criminelle (Lombroso et nombre de ses partisans). La conception du criminel né a lait faillite, mais elle a joué un rôle en lin de compte positif: c'est grâce à elle qu'on s'est mis à tenir davantage compte de la personne du criminel en tant qu'homme vivant, soumis à toutes les lois physiques et psychiques de l'homme, à tenir davantage compte de cette personne qui n'agit pas toujours comme homo sapiens, mais dont le comportement contraire aux prescriptions du droit criminel, n'est parfois que le résultat d'un concours de circonstances et de situations.L'auteur étudie ensuite les types criminels du point de vue de l'analyse psychologique. En ce qui concerne les deux types principaux (criminel occasionnel, criminel par inclination), il attire l'attention sur le fait que ces deux types ne sauraient être considérés comme pures. Dans chaque cas, il doit y avoir des stimulants extérieurs et une disposition psychique. Une fois domine l'élément extérieur, une autre fois prévaut l'inclination et c'est en fonction de ces prédominances que se constitue un type criminel ou l'autre.Dans le chapitre concernant la caractérologie criminelle, l'auteur insiste sur le rôle très important que jouent dans la genèse du crime les traits du caractère de son auteur et les dispositions affectives qui les conditionnent. C'est pourquoi il est important de compléter l'analyse du „contenu'' de la personnalité du criminel par la prise en considération des affections ayant accompagné l'accomplissement du crime ainsi que leurs rapports mutuels. Ceci permet justement d’apprécier cette personnalité non seulement du point de vue physiologique et psychologique, mais encore du point de vue de la liaison étroite oui existe entre les sentiments et les mobiles du comportement; on dégage ainsi l'aspect moral de la personnalité en question.Après avoir analysé les éléments de base de la personnalité criminelle, l'auteur présente tout en respectant le point de vue de psychologie différentielle — la personnalité du criminel; femme, mineur et vieillard. Pour ce qui est de la femme, l'auteur envisage sa part dans la délinquance (à peu près cinq fois plus petite que celle de l'homme) de même que la délinquance spécifiquement féminine. Quant au mineur, l'auteur insiste sur la nécessité de l'élever et de le corriger au lieu de le punir, à moins cru'il ne s'agisse de sujets particulièrement méchants et corrompus. Ceux-ci doivent être traités avec la plus grande sévérité. En ce qui concerne le vieillard (il s'agit ici de la vieillesse physiologique), il est objet d'une appréciation psychologique, morale et juridique le plus souvent fort négative. La perversité sexuelle est chez lui un phénomène fréquent. L'égoïsme du vieillard va souvent augmentant ce qui — le sens moral diminué aidant — le conduit au crime (usure, escroquerie, faux témoignage, et même homicide, le plus souvent à l’aide du poison).Pour compléter l'image de la personnalité criminelle, l'auteur analyse, dans le dernier chapitre de l'article, les traits caractéristiques de certains criminels (voleurs, bandits, escrocs de toute sorte: faussaires, usuriers, tricheurs; délinquants sexuels, assassins, criminels politiques).
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Roczniki Filozoficzne:
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11 >
Issue: 4
Zdzisław Chlewiński
Zdzisław Chlewiński
Wprowadzenie do teorii osobowości H. J. Eysencka
Wprowadzenie do teorii osobowości H. J. Eysencka
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Roczniki Filozoficzne:
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11 >
Issue: 4
Józef Pastuszka
Józef Pastuszka
Psychologia w duszpasterstwie
Psychologia w duszpasterstwie
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 4
Stanisław Trębaczkiewicz
Stanisław Trębaczkiewicz
Psychologia w szkole
Psychologia w szkole
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 4
Józef Pastuszka
Józef Pastuszka
Filozoficzne i empiryczne pojęcie osoby ludzkiej
Filozoficzne i empiryczne pojęcie osoby ludzkiej
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 4
M. Łobocki
M. Łobocki
Z kroniki Koła Studentów Psychologii KUL
Z kroniki Koła Studentów Psychologii KUL
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
11 >
Issue: 4
Kazimier Zwitecki
Kazimier Zwitecki
Zagadnienie zainteresowań dzieci w świetle badań nad procesami pamięci
Zagadnienie zainteresowań dzieci w świetle badań nad procesami pamięci
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Antoni Siemianowski
Antoni Siemianowski
Poglądy Henryka z Gandawy w nowym oświetleniu
Poglądy Henryka z Gandawy w nowym oświetleniu
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Andrzej Wawrzyniak
Andrzej Wawrzyniak
Koncepcja stosunku przyczynowego według Dawida Hume'a
Hume's Idea of Causal Relation
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Hume's analysis of the causal relation is the first serious attempt to characterize its modern acceptation. The author studies Hume's analysis of the causal relation and the definitions of cause given by the Scottish philosopher, in the context of his whole system, taking into account later presentations of the latter (works by J. Laird, N. K. Smith, A. Leroy, J. Passmore and others).The essential theses of the article can be summarized as follows:1. Hume analysed the causal relation from the standpoint of a theoretician of knowledge. Doing so, he made no metaphysical statements; thus he did not deny the existence of real causal relations, he only denied their cognoscibility.2. He considered the element of necessity as essential to the causal relation. Following the distinction between philosophical and natural causal relation, he differentiated necessity, seen as regular succession of phenomena (objective aspect of necessity) from necessity as psychic compulsion, due to the association of perceptions (subjective aspect of necessity). His efforts to reduce the latter to the former appear unjustified, even unnecessary, on the basis of the argumentation provided by his system.3. The cause has been defined by Hume as a necessary and sufficient condition for the occurrence of the consequence. The causal relation can be expressed in the formula: if C occurs, then and only then E always occurs, in which C and E mean variables running through a set of phenomena remaining in such a relation of reciprocal dependence.4. In Hume's definition of cause, the term „object" means „phenomenon"; this is due to the unsubstantial character of the being considered as cause, as well as to its mood of existence as happening or process.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 1
S. J. Z. Zdybicka
S. J. Z. Zdybicka
O intuicji w filozofii
O intuicji w filozofii
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Witold Michałowski
Witold Michałowski
Koncepcja, problematyka i aspekty logiczne tomistycznej teorii poznania w ujęciu ks. St. Adamczyka
Koncepcja, problematyka i aspekty logiczne tomistycznej teorii poznania w ujęciu ks. St. Adamczyka
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Stanisław Kaminski
Stanisław Kaminski
Co daje stosowanie logiki formalnej do metafizyki klasycznej?
Co daje stosowanie logiki formalnej do metafizyki klasycznej?
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Władysław Augustyn
Władysław Augustyn
O wierny obraz filozofii Malebranche'a
O wierny obraz filozofii Malebranche'a
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Mieczysław Gogacz
Mieczysław Gogacz
Zagadnienie wolności woli w marksizmie
Liberté de la Volonte dans le Marxisme
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La liberté de la volonté, teile que l'entendent Engels, Marx, Lénine, Fritzhand, Schaff, Cornforth, Jankowski, Krajewski, est liée dans cet article au problème du déterminisme et à la thése de l'unité matérielle du monde. A l'encontre de cette thèse, exposée d'apres Lénine, Amsterdamski et Eilstein, Particie formule des objections du point de vue du marxiste qui analyserait les propositions de sa propre Philosophie.La liberté consiste, selon Engels, en „le pouvoir que nous avons sur nous-mêmes et sur la nature extérieure, pouvoir appuyé sur l'intelligence des nécessités naturelles." Lénine, interprétant Engels, affirme que la liberté consiste pour l'homme à se rendre indépendant de la nécessité naturelle par la connaissance des lois qui régissent la nature et les hommes, connaissance exprimé dans l'expérience de l'humanité, dont l'homme acquiert conscience. Pour Marx, l'homme agit de telle sorte qu'il se rend sciemment maître de la nature et devient par là libre, c’est-à-dire indépendant de la nature dans ce qu'il crée. „Le déterminisme marxiste, dans la conception de Schaff, voit la nécessité historique comme une force agissant non en dehors des hommes et indépendamment d'eux, mais, bien au contraire, par les actions humaines elles-mêmes". Être libre en vue de quelque chose, c'est être libre d'agir. Être libéré de quelque chose, „c'est l'état dans lequel certains determinants agissent sur la volonté, d'autres non" (Jankowski).La liberté est done pour l'homme la possibilité d'un développement universel de ses puissances et d'une satisfaction totale des besoins; c’est aussi „la maîtrise du monde de la nature et de la société et, en même temps, de soi-même et de son destin" (Fritzhand). La volonté naît et devient réalité au cours des longues années de l'activité sociale de l'homme (Cornforth).L'homme est partie de la nature mais, grâce à la conscience, reflet cognitii de la réalité, il connaît la nature et influe sur eile. Cette affirmation se lie à la thèse que la réalité est purement materielle.Pour Lénine, notre domination de la nature est signe que la connaissance que nous en avons par les facultés dès sens est correcte des la première aperception de cette réalité comme matière. Selon Amsterdamski et Eilstein, la nature est objet de connaissance des sciences particulières qui la conçoivent comme matérielle. Le philosophe, s'appuyant sur les théses de la physique affirme que la réalité est toute matérielle, puisque c'est ainsi que la conçoivent les sciences particulières. La pratique, entendue comme un savoir, pennet de vérifier la validité des propositions philosophiques généralisantes.Objections. Le philosophe n'entre pas en contact avec la réalité comme telle, mais avec les vues des physiciens. Sur le terrain de la philosophie il ignore quelle est la réalité, il connaît simplement comment la conçoit la physique. Les opinions du philosophe ne portent pas directement sur la réalité, elles ne sont qu'opinions touchant les assertions des physiciens. Les thèses de la philosophie ont donc la même porté d'obligation que les affirmations de la physique. L’homme devient homme grâce à la conscience qui se développe en lui et qui le rend indépendant de la nature. En quoi consiste done la différence entre „ètre quelque chose" et „faire quel- que chose"? En quoi la liberté se distingue-t-elle des puissances et talents qui se développent en l'homme?
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 1
Tadeusz Żeleźnik
Tadeusz Żeleźnik
O właściwą interpretację finalizmu tomistycznego
O właściwą interpretację finalizmu tomistycznego
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Marian Borzyszkowski
Marian Borzyszkowski
Suarez a św. Tomasz z Akwinu — przegląd literatury filozoficznej
Suarez a św. Tomasz z Akwinu — przegląd literatury filozoficznej
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Roczniki Filozoficzne:
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12 >
Issue: 1
A. M. Krąpiec
A. M. Krąpiec
Zagadnienie przedmiotu Metafizyki Arystotelesa
Zagadnienie przedmiotu Metafizyki Arystotelesa
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 1
Kazimierz Kłósak
Kazimierz Kłósak
„Fenomenologia” ks. P. Teilharda de Chardin w ramowej analizie epistemologicznej i metodologicznej
La „Phénoménologie” du Père P. Teilhard de Chardin au Point de Vue Epistémologique et Méthodologique
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La „phénoménologie” du Père Pierre Teilhard de Chardin S. J. est parfois comprise d'une façon peu satisfaisante. Et ainsi, on ne peut pas admettre avec le Père C. d'Armagnac et Jean Onimus que la méthode de Teilhard en discipline indiquée est trés voisine de celle des phénoménologues. Et a fortiori nous ne pouvons accepter l'affirmation de Claude Tresmontant d'après qui la méthode des écrits de la maturité du Père Teilhard fut l'epochê phénoménologique.La méthode du jésuite français différe de la façon la plus radicale de celle que nous trouvons dans Logische Untersuchungen d'Edmund Husserl, dans cet oeuvre du penseur allemand où eile n'est pas encore liée avec l'idéalisme transcendantal. Le Père Teilhard adopta une méthode de la description empirique dans le sens des sciences de la nature qui conduit à une sorte de phénoménologie empirique ayant pour but l'expression synthétique, au plan des apparences „phénoménales” bien accentuées, des résultats des sciences de la nature relatifs à l'évolution de l'univers. Par contre, la méthode de Logische Untersuchungen est la méthode de la description „pure” qui conduit à une phénoménologie pure comme le soutenait, non sans raisons, Husserl en écrivant son premier livre célèbre.La méthode du Père Teilhard est également différente, bien que moins radicalement, de la méthode de Maurice Merleau-Ponty. II est vrai que celui-ci présenta aussi une phénoménologie empirique, mais sa phénoménologie en revenant au monde dans le cogito préréflexif, dans la conscience non-thétique, l'envisage, indépendamment de l'élaboration théorique, du point de vue des sciences de la nature qui étaient le matériel principal pour la „phénoménologie” du jesuite français.On ne peut pas dire non plus comme le fait le Père D. Dubarle O. P., que cette dernière soit très proche de la „phénoménologie de l'Esprit” de Georg W. F. Hegel. Teilhard ne songeait jamais à la phénoménologie qui indiquerait la route vers la vérite absolue à travers des formes de la science apparente et fausse (sich volbrin- gender Skeptizismus).La phénoménologie empirique du Père Teilhard se présente dans une large me- sure comme une phénoménologie scientifique. Elle n'est pas une philosophie de la biologie ou plus généralement, une philosophie des sciences, comme veut le Père Olivier A. Rabut O. P. Elle n'est pas non plus une métaphysique comme le suggère Paul-Bernard Grenet. On peut seulement se demander si la thèse du „dedans" des choses appartient au domaine des sciences ou à la philosophie de la nature. Mais quand le jésuite français nous développe l'argumentation pour l'existence de Dieu-„Oméga”, l'argumentation d'ailleurs invalide, il est évident qu'elle est de nature métaphysique.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 1
Stanisław Ziemiański
Stanisław Ziemiański
Rola przyczyny w poznaniu naukowym u Arystotelesa
Le Róle de la Cause Dans la Connaissance Scientifique Chez Aristote
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La science, selon la conception aristotelicienne, héritée dans ses grands traits de Platon, c'est une connaissance par causes. Cette conception, à première vue, semble d'étre simple et claire, mais eile devient plus compliquée, quand nous essayons préciser, à quel point ce qu'Aristote entend par le mot ή αἰτία (la cause) est lie avec ce qu'il nomme ή ὲπιστήμη (la science).Dans cet article, nous nous intéressons en particulier aux problèmes suivants: Est-ce que toutes les quatre causes aristotéliciennes peuvent servir à l'explication scientifique ou quelques-unes seulement? Avec quels éléments de la science et ä quel point sont-elles liées?II y a deux les plus importants modi seiendi dans la conception aristotélicienne de la science: la définition et le syllogisme. Le lien entre la cause et la définition peut être considéré comme une base à la classification des définitions. A partir de ce lien, on peut diviser les définitions err nominales et réelles, et ensuite, ces dernières — en définitions des êtres qui ont leurs causes en eux-mêmes (les substances et les propriétés considérées comme indépendant à leurs sujets) et en définitions des êtres qui ont leurs causes hors eux-mêmes (les événements et les proprietes comme telles).La définition vise au premier lieu la cause formelle, bien qu'Aristote ne veuille pas excluer totalement de la définition la cause matérielle conçue le plus généralement et les causes extérieures.S'il s'agit de la relation de la cause au syllogisme, on doit constater qu'il y a des syllogismes correctement formulés qui cependant ne réclament pas la cause comme le moyen-terme — le pivot du syllogisme. Mais, ce ne sont pas les syllogismes scientifiques. Quant au genre des causes qui jouent quelque rôle dans les syllogismes, ici, comme dans le cas de la définition, il y a toujours la cause formelle qui tient le premier rang. Si Aristote pourtant tient compte des autres causes aussi, en vue de les appliquer comme des moyen-termes des syllogismes, on constate que les relations dans lesquelles les termes du syllogisme sont impliqués ne correspondent pas aux relations réelles.Le problème du lien de la cause et de la science nous montre qu'il est difficile d'adapter une conception héritée de la science à un contenu nouveau.
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