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121. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 1
Joëlle Proust Le langage forme-t-il une condition nécessaire de la rationalité?
122. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 1
Yvon LaFrance Charmide/Lysis
123. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 1
Benoît Castelnérac Langage, vie politique et mouvement des animaux. Etudes aristoteliciennes
124. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 1
Frédéric Charbonneau L’abbé Grégoire apologète de la République
125. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 1
Frédéric Bouchard Rationalité et néo-darwinisme: l’origine de la pensée selon de Sousa
126. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 2
Michel Bourdeau Alain, le premier intellectuel
127. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 2
Valéria Buffon Sur le bonheur
128. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 2
Laurent Fedi Les trois états. Science, théologie et métaphysique chez Auguste Comte
129. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 2
Ernesto Perini-Santos Intuition et abstraction
130. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 2
Sophie Audidière Réforme politique et éducation: un dialogue Godwin-Helvétius sur la perfectibilité
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ABSTRACT: This article analyzes the relation between Godwin (1756-1836), Republican and author of Politcal lustice (1793), and French philosophers, particularly Helvetius. Both Godwin and Helvetius were in favour of a political understanding of the theory of knowledge as opposed to an intellectual treatment of policy. They continually questioned the links between policy, history of the human understanding, and moral science from the perspective of the question of education. After the September Massacres (1792), Godwin’s thought changed radically and began to revolve around the notion of perfectibility. The final disagreement marked a distinction between French reformers, who advocated state control, and English writers, influenced by dissent and reformation, who held the idea of perfectibility.RÉSUMÉ: Cet article examine le rapport de Godwin (1756-1836), écrivain anglais «jacobin», auteur de Political Justice (1793), aux philosophes français, Helvétius en particulier. Partisans d’une politisation de la théorie de la connaissance plutôt que d’une intellectualisation de la politique, ils interrogent sans cesse, via la question de l’education, les liens du pouvoir politique, de l’histoire de l’entendement humain etde la science morale. Après les massacres de septembre (1792), la position de Godwin évolue considérablement et met en scène la perfectibilité. Le différend final marque la distinction entre un courant des Lumières françaises, réformatrices et étatistes, et un courant des Lumières anglaises, aux sources religieuses dissidentes ou réformées, porteuses, elles, de l’idée de perfectibilité.
131. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 2
Fulcran Teisserenc Consonnes et voyelles: les fonctions de l’Être et de l’Autre dans le Sophiste de Platon (251 a-25ge)
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RÉSUMÉ: Le but de cet article est de comprendre les fonctions que dans le Sophiste l’Étranger attribue à la forme de l’Être et à celle de l’Autre. À la différence d’une interprétation de type linguistique, qui vise à déceler dans le texte une distinction entre les emplois du verbe «être», nous mettons en évidence le rôle ontologique assigné aux très grands genres dans l’entrelacement des formes. Exploitant l’analogiedes voyelles, nous montrons que l’Être est un connecteur, qui rend actuelles les participations entre formes, tandis que l’Autre est un séparateur, qui rend actuelles leurs différences. Cette analyse permet d’eclairer les procédés dialectiques décrits dans le dialogue en termes très abstraits et de résoudre le problème controversé de l’auto-prédication sans avoir besoin de recourir à l’auto-participation.ABSTRACT: This article aims at understanding the functions of the forms of Being and the Other in Plato’s Sophist. In contrast with a linguistic interpretation purporting to draw a distinction between uses of the verb “to be,” I shed light on the ontological role ascribed to “the great genus” in the interweaving of forms. Focusing on the vowel analogy, I argue that the roles of Being and the Other respectively are that of a connector and aseparator actualizing the participations and the differences between the forms. The outcome of this analysis is to offer an explanation of the dialectical methods described in that dialogue in a rather obscure, abstract way; the much-debated question of self-predication can be settled without recourse to self-participation.
132. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 2
Pierre Poirier, Martin Ratte Et pourquoi pas une explication non représentationnelle de l’action motrice?: Considérations neurophénoménologiques
133. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 3
Jérémie Griard Guerre et paix selon Leibniz
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RÉSUMÉ: En excluant le monopole juridictionnel de la souveraineté afin de préserver une autorité supérieure aux souverains, Leibniz réduit celle-ci au seul monopole de la coercition. Cependant, cette redéfinition de la souveraineté place la guerre au cœur des relations internationales. Elle est, en tant que faculté, la condition de participation pour les souverains au «droit des gens», droit qui lui-même doit éviter de tellesguerres. La paix n’est donc pour Leibniz qu’au prix de l’établissement d’un équilibre entre forces contraires qui, en s’opposant et si elles sont de même intensité, annulent réciproquement leurs effets. C’est cette conception dynamique de l’ordre politique que cet article se propose de traiter.ABSTRACT: This article deals with Leibniz’s dynamic conception of political order. Leibniz reduces the sovereignty of States to the monopoly of coercion by setting apart jurisdictional monopoly and sovereignty. With this new definition of sovereignty however, war becomes the core of international relations. The sovereigns’ ability to make war is the condition to take part in law of nations, whose precise aim is to prevent wars. Peace can only exist if there is a balance between opposite forces of similar magnitude that cancel each other.
134. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 3
Raphaël Arteau Mcneil Platon, critique du materialisme: le cas de l’Hippias majeur
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RÉSUMÉ: Cet article poursuit un double objectif: premièrement, de montrer que, dans I’Hippias majeur de Platon, Hippias défend une ontologie matérialiste, et, deuxièmement, de définir la critique de cette ontologie matérialiste. Cette démonstration repose sur l’interprétation du passage qui se trouve en 300b4-301e3. Nous présenterons d’abord les limites des interprétations qu’en font P. Woodruff et I. Ludiam, pour ensuite définir le concept de matérialisme dans le contexte de la pensée ancienne (Démocrite) afin de dégager les traits spécifiques du matérialisme que Platon prête aHippias. L’opposition entre Hippias et Socrate est enfait une opposition ontologique entre deux conceptions de l’unité : les unités corporelles élémentaires (Hippias) et l’«unité formelle» (Socrate).ABSTRACT: The aim of this article is twofold: first, to show that, in Plato’s Hippias Major, Hippias is the mouthpiece of a materialist ontology; second, to discuss the critique of this ontology. My argument is based on an interpretation of Hippias Major 300b4-301e3. I begin by revealing the shortcomings of P. Woodruff’s and I. Ludlam’s interpretations. Next, I define the concept of materialism as it was understood in ancient Greece (Democritus) in order to outline the specificity of Hippias’ materialism. Finally, I argue that the opposition between the two characters of the Hippias Major represents in fact an ontological opposition between two conceptions of what a unity is, i. e., Hippias’ elementary corporal unities and Socrates’ “formal unity.”
135. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 3
Yvon LaFrance Les lois
136. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 3
Michel Bourdeau Philosophie française contemporaine: Comte redivivus
137. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
André Lebel Les mathématiques, les idées et le réel physique
138. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Franz-Emmanuel Schürch Heidegger et la destruction du scepticisme
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RÉSUMÉ: Cet article analyse le traitement du problème du scepticisme qui est mené au §43 d’Être et temps afin de proposer une nouvelle interprétation de la position philosophique de Heidegger par rapport au conflit entre le réalisme et l’idéalisme. La position heideggérienne à l’égard du scepticisme a souvent été négligée par les commentateurs comme s’il s’agissait d’une question subsidiaire ou d’un fauxproblème, attitude qui est peut-être responsable d’une perception assez répandue dans le monde philosophique qui verrait précisément s’exprimer chez Heidegger une forme de scepticisme. En soulignant certaines ambiguïtés du §43, je soutiens que Heidegger, dans Être et temps, s’attache à l’élaboration d’une réfutation du scepticisme radicale et authentique, bien que celle-ci n’ait été entièrement complétée que plus tard, dans les Beiträge zur Philosophie.ABSTRACT: In this article, I wish to shed a new light on Heidegger’s philosophical position toward idealism and realism. This will be accomplished through an analysis of Heidegger’s account of the problem of scepticism in §43 of Sein und Zeit. Heidegger’s position toward scepticism has often been overlooked or treated candidly by scholars and, as a result, misunderstood in the larger philosophical world, who frequently equated Heidegger’s philosophy with some form of scepticism. By highlighting some crucial ambiguities in the unfolding of §43, I show that in Sein und Zeit Heidegger is elaborating a radical refutation of scepticism even though it will ultimately only be accomplished in the Beiträge zur Philosophie.
139. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Yvon LaFrance Traites 30-37
140. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Benoît Castelnérac Introduction à la «philosophie presocratique»