Narrow search


By category:

By publication type:

By language:

By journals:

By document type:


Displaying: 301-320 of 1067 documents

0.041 sec

301. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Andries Sternheim Problemen der Demokratie
302. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
W. Grundal The Intelligent Man's Review of Europe To-Day
303. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Karl Korsch Aufbau der Staatsgewalt im fascistischen Italien
304. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Paul Siegrist Die Erziehung im nationalsozialistischen Staat
305. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Erich Trier Theologische Existenz heute!
306. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Emil Grünberg Zur Soziologie des Unternehmertums
307. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
W. Grundal Crime for Profit
308. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
K. A. Wittfogel La Chine
309. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
K. A. Wittfogel The Great Tradition
310. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Adolf Löwe Grundprobleme der Nationalökonomie
311. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Kurt Mandelbaum Grundzüge der Konjunkturtheorie
312. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Henryk Grossmann La loi de Marx sur les capitaux à la lumière des événements contemporains
313. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Gerhard Meyer La crise du capitalisme
314. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Gerhard Meyer Pour un Plan d’Action
315. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
E. Neumark Grundriss der Statistik, II
316. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Hans Baumann Kartelle und Konjunkturbewegung
317. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
Leo Löwenthal Die Auffassung Dostojewskis im Vorkriegsdeutschland
abstract | view |  rights & permissions
Le travail s'efforce de dégager la signification sociale de la diffusion de Dostojewski. Cette réception s'accomplit en première ligne dans la petite et dans la moyenne bourgeoisie et exerce une fonction idéologique déterminée dans ces couches de la population. La situation relativement sans espoir de ces classes coincées entre les groupes sociaux véritablement influents et le prolétariat est transfigurée dans l'oeuvre de Dostojewski. Celle-ci est comprise comme une idéalisation et une interprétation pleine de signification de l'existence même de ces classes. Le mythe qui sortait comme une vision des romans de Dostojewski prend aux yeux de cette bourgeoisie les formes les plus diverses, depuis l'hymne nationaliste jusqu'à la divinisation la plus universelle du monde. Le fait de pénétrer profondément dans l'univers de Dostojewski contribue par suite d'une manière particulière à apaiser l'inquiétude de ceux qui sont placés dans ces situations sociales. L'effort des critiques pour interpréter les figures de Dostojewski dans le sens d'une réconciliation de toutes les contradictions a un caractère idéologique et spécifique. L'article met finalement en lumière les facteurs de psychologie sociale qui ont rendu possible la fonction sociale des oeuvres de Dostojewski en Allemagne.The article attempts to bring out the social significance of the widespread reception given to Dostoevski's writings. They took hold especially among the lower strata of the middle classes, serving witnin them a certain ideological function. It was this group in society, cramped between the powerful upper class and the proletariat, with relatively no prospects for the future, that Dostoevski glorified : he idealized them and gave meaning to their existence in his works.The vision projected in Dostoevski's novels takes on the most different forms in the eyes of these groups, — from a nationalistic paeon to a general deification of the world. Submerging themselves in the world of Dostoevski gave them a certain feeling of reassurance. There was a specific ideological trend in the attempt of critics to interpret Dostoevski's characters as a merging of all differences and contradictions. Furthermore, the article points out the social-psychological factors which made it possible for Dostoevski's works to serve a social function in Germany.
318. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
Max Horkheimer Zu Bergsons Metaphysik der Zeit
abstract | view |  rights & permissions
Bergson develops, along with his metaphysic, a positivist theory of science. That both are strongly interrelated in his works is a demonstration of their close relationship, which also is characteristic of the present philosophical situation. Bergson has in general accentuated those problems of methodology and matter that had been neglected by contemporary science. He has contributed in an important way to the development of psychology and biology, and his central theme, — the problem of time in its reality — is a focal category of every theory of history. Bergson has paid special attention to the difference between time that is lived and that abstract time that dominates in the natural sciences. Frequently his discussions approximate a dialectic approach. H. stresses these tendencies in his discussion of the new book. The subordination of Bergson’s thought to his metaphysical ends, however, has interfered with those parts of his works that might have otherwise borne fruit. Instead of using his psychological analyses to penetrate more clearly into historical relationships, he uses them as supports for his vision of „creative development”. The contradiction that pervades Bergson’s entire philosophy manifests itself in the unhistorical character of this thought and the attempt to define the function of time in its theoretical implications. H. demonstrates that Bergson is led to negate time because he elevates the concept to a metaphysical principle. Bergson développe en même temps que sa métaphysique une théorie positiviste de la science. Dans la mesure où ces deux aspects de son oeuvre sont manifestement en relation étroite, ils s’appuient et se conditionnent. Ce n’est pas seulement par là que l’oeuvre de Bergson est caractéristique pour la situation actuelle du mouvement des idées. La philosophie de Bergson a rempli dans une mesure particulièrement grande la tâche qui consistait à faire progresser de manière indépendante des problèmes méthodologiques et matériels que le travail scientifique contemporain négligeait. Psychologie et biologie lui doivent d’importantes contributions et se sont engagées en partie sous son influence dans des voies nouvelles. Son thème fondamental : le temps réel est une catégorie centrale de toute théorie de l'histoire, bien plus encore de toute pensée théorique qui cherche à embrasser l’ensemble. Bergson a distingué le temps vécu du temps abstrait des sciences de la nature et il en a fait l’objet de ses recherches personnelles. Souvent ainsi il a été conduit jusqu’au seuil de la dialectique. A l’occasion de son nouveau livre, H. met en lumière quelques-uns des passages où pointe la dialectique. La subordination de la pensée bergsonienne à une intention métaphysique ultime a cependant porté grand préjudice aux parties fécondes de son oeuvre. Au lieu de mettre ses analyses psychologiques au service d’une connaissance de l’ensemble historique différenciée et toujours consciente de ses propres hypothèses, ces analyses psychologiques chez Bergson lui-même ne sont destinées qu’à introduire et assurer son mythe de „L’Évolution créatrice“. La contradiction qui traverse toute la philosophie de Bergson réside dans l’opposition de sa pensée princi-piellement non historique et de l’effort pour saisir le rôle du temps. H. montre que Bergson doit nier le temps lorsqu’il l’érige en principe métaphysique
319. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
Herbert Marcuse Pädagogik: Geschichte und Grundlinien des Systems
320. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
Herbert Marcuse Verhandlungen des dritten Hegelkongresses vom 19. bis 23. April 1933 in Rom