Narrow search


By category:

By publication type:

By language:

By journals:

By document type:


Displaying: 241-255 of 255 documents

0.054 sec

241. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Louis Lavelle Principes généraux de toute philosophie de la participation
242. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Mathieu Gr. Peucesco Une nouvelle conception de monisme spiritualiste
abstract | view |  rights & permissions
Les données de la science contemporaine nous permettent d’énoncer une nouvelle interprétation moniste des phénomènes de l’univers, qui serait constituée par la conception du mouvement. Car le mouvement vibratoire de l’éther constitue la matière physique ; le mouvement organique réalise la vie. De plus, nos travaux nous ont permis d’affirmer, que les terminaisons libres des cellules nerveuses sont, elles aussi, animées d’un mouvement de vibration et d’ondulation. D’où il est permis d’inférer que le mouvement comporte une signification spirituelle dans le cerveau humain. Or, si le mouvement perçu en nous est spirituel, nous inférons aussi qu’il possède des caractères spirituels, partout où il existe.
243. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Othmar Reich Das psycho-physische Problem der Wahrnehmungspsychologie im Lichte biologischer Betrachtungweise
abstract | view |  rights & permissions
La présente communication critique l’hypothèse psychologique de l’ancienne psychologie des sensations (parallélisme psychophysique strict des sensations : Stumpf, Brentano) qui, bien à tort, est considérée comme une solution idéale et inattaquable, et, insérée dans toutes les psychologies de la perception comme un dogme, arrête le progrès de la science. Un autre rapport psychophysique, du type « qualité sonore pure - excitation physique » se montre comme le rapport fondamental, biologiquement premier et commun à toutes les impressions issues d’une excitation (sensations ou perceptions de la forme). Il y aurait à donner une interprétation nouvelle et non prévenue du matériel des faits, en s’appuyant sur ces connaissances.
244. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Blaise Romeyer L’âme et Dieu
abstract | view |  rights & permissions
Le moi humain dure en s’usant, comme un organisme, mais aussi sans s’user, d’une durée spirituelle.A un niveau déjà profond de cette durée consciente apparaissent les jugements de valeur, immanents et transcendants.Nourrie des valeurs intellectuelles et morales, l’âme participe à leur pérennité ; elle est naturellement immortelle.Mais il faut à l’action moralisatrice des valeurs un principe réel, souverainement réalisateur, Dieu. Plénitude ou sommet des valeurs, Dieu est personnel à la perfection, et le mal ne témoigne pas contre son existence.
245. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Maurice Pradines Exclusion et inclusion mutuelles des idées d’âme et de corps
abstract | view |  rights & permissions
Qu’on la conçoive comme pensée, conscience ou volonté, l’âme semble évidemment irréductible en essence au corps. La physique rejette l’action d’une âme sur un corps comme contraire au principe d’inertie, l’épistémologie comme entachée de magie. On montre que, sous un autre aspect, cette évidence apparaît entièrement retournée et que les deux concepts s’impliquent manifestement. Que deux intelligibilités différentes sont ici en cause et que l’âme peut être la raison du corps.
246. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Domenico Antonio Cardone L’anima e il corpo e il problema dell’individualità
abstract | view |  rights & permissions
Le problème du rapport de l’âme et du corps appelle celui de la genèse des deux formes hypothétiques de vie, et il ne peut aujourd’hui avoir de solution cohérente qu’en ayant égard à la matérialité comme rythme de fréquence, constituant le comportement actuel et possible de la volonté de vie dans ses déterminations multiples et dans son ascension à travers leurs séries variées. Dans les séries «psychiques » se détermine peu à peu une « division du travail ». Puisque l’individualité est l’initiative, tour à tour répétition et écart, qui réalise tous les types de vie, elle apparaît liée à la réalité concrète qui se scande comme matérialité.
247. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
P. Dale L’âme et la conscience
abstract | view |  rights & permissions
1. Le terme âme exprime trois aspects de la réalité psychique :a) Le contenu concret de la conscience actuelle.b) L’ensemble de tous les états, actes et dispositions psychiques.c) Le centre constant de toute la vie psychique consciente et inconsciente, le « moi » réel qui est le sujet d’expérience et la substance immanente et créatrice.2. Ce n’est que par la liaison des deux premiers aspects (a et b) de la réalité de l’âme avec le principe de la substance ainsi compris que nous obtenons une notion synthétique et féconde de l’âme comme monade spirituelle.3. La psychologie empirique comme science explicative ne peut pas se passer de cette notion substantielle et actualiste de l’âme.
248. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Erwin Straus Descartes’ Bedeutung für die moderne Psychologie
abstract | view |  rights & permissions
Descartes dont la psychologie traite de l’homme qui peut se tromper fournit dans ses Passions de Vâme l’explication la plus radicale de la possibilité de cette erreur : c’est justement par les passions que se manifeste la nature humaine inévitablement su jette à l’erreur. Bien que la psychologie de Descartes se serve de notions à la fois anthropologiques et mécaniques, et bien qu’elle soit fondée ainsi sur une combinaison fondamentale de ces deux manières de voir, c’est néanmoins l’interprétation mécanique qui depuis, seule, a fait école. La psychologie anthropologique moderne traite, elle aussi, de l’homme qui peut se tromper ; elle se rapproche donc, dans une certaine mesure, de la pensée cartésienne, sans cependant y revenir.
249. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Har Dayal Personality and super-personality
abstract | view |  rights & permissions
La conscience, qui est un attribut de tous les êtres vivants, se développe, chez l’homme, en conscience de soi et personnalité. Dans le sommeil, l’hypnose et l’évanouissement reste seule la subconscience. Mais la conscience de soi disparaît aussi dans l’activité créatrice artistique, dans la contemplation du grand art, dans la concentration de la recherche scientifique, dans l’expérience émotionnelle de l’accroissement de pouvoir et dans la psychologie des foules. Dans des cas de ce genre, la connaissance de soi et la dualité du sujet et de l’objet disparaissent, mais la personnalité humaine est plus harmonieuse et intégrée. Cette superconscience ou superpersonnalité supérieure est une et indivisible pour toute la race humaine : c’est le Moi social, dans lequel plongent nos moi séparés.
250. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
V. Subrahmanya Iyer Pure philosophy in India
abstract | view |  rights & permissions
La philosophie hindoue repose sur une vérité impossible à contredire, au-dessus de tout doute et de toute discussion, sur la connaissance de toute existence par laquelle celui qui l’atteint atteint chaque chose. Elle vise l’identité du moi individuel avec le tout.Son unité : elle repose sur la totalité de l’expérience en coordonnant les trois états de veille, de songe et de sommeil, — et non sur la veille seulement comme les autres philosophies, arts ou religions. Elle ne fait appel ni à l’intuition ni à l’intellect, mais à la raison, absolument.Son témoignage : elle cherche non la satisfaction des races, nations ou individus humains, mais le bonheur de tous les êtres.
251. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
E. Minkowski L’âme et les phénomènes psychiques
abstract | view |  rights & permissions
La psychologie sans âme mène à l’atomisme psychologique. Mais l’âme échappe aux investigations ayant pour objet l’immédiat. Le problème psychophénoménologique se situe entre ces deux alternatives. L’habituelle classification tripartite des « éléments » psychiques est sous-tendue par les trois « directions » essentielles de la vie spirituelle : l’élévation, la profondeur et la largeur. Loin d’être des métaphores d’ordre spatial, ces directions déterminent le sens de la vie. Elles constituent une triade essentielle de cette vie et s’apparentent ainsi aux autres triades de même nature. Elles donnent naissance aux éléments en suivant la voie naturelle de l’expression ou de l’extériorisation. D’autre part, ces éléments, de même que le monde extérieur, peuvent s’animer devant nous. Contrairement à l’âme et aux éléments isolés, « animer », ou « s’animer », est, comme « exprimer » ou « s’exprimer », un phénomène vital et traduit une relation essentielle de la vie.
252. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Stefan von Boda Leben, Seele, Geist und die Einheit der Wissenschaften
abstract | view |  rights & permissions
1-2. Analyse des diverses sphères « spirituelles », d’après Yidéalisme immanent. — 3. Relations entre Vordre spirituel dernier (absolu) et Vesprit du temps, toujours modifiable (esprit de communauté, etc.), ainsi qu’entre l’esprit du temps et les individus vivant dans le temps. — 4. Puisque la raison est « une projection de l’âme qui connaît et qui explique, sous tel ou tel mode intellectuel », on examine de plus près les relations entre âme, vie et esprit (Définition des mouvements vitaux ; comment ils se distinguent des mouvements mécaniques ; début du mouvement spécifiquement psychique). — 5. Unité dernière des sciences. Leur division : a) Sciences des relations dernières immuables des choses (de la physique à la psychologie) ; b) sciences de l’ordre, changeant dans le temps, de la vie commune des hommes dans l’histoire ; c) sciences des systèmes possibles de connaissance, d’intuition et d’évaluation de l’âme humaine. L’habituelle séparation stricte en « sciences de la nature » et « sciences de l’esprit » n’est pas justifiée. Les diverses manières (nombreuses) de mettre les choses en rapport dans les sciences (enchaînement des déterminations). Position et tâche de la philosophie.
253. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Louis Lapicque Sur un mécanisme nerveux impliqué dans le mouvement volontaire
abstract | view |  rights & permissions
L’excitabilité du système nerveux volontaire, moelle épinière et nerfs moteurs jusqu’à leur extrémité, est soumise d’une façon permanente à un réglage exercé par un centre situé dans le plancher du mésencéphale. Ce réglage préalable, appelé subordination, est nécessaire à l’exécution correcte des mouvements volontaires. La subordination est, au point de vue fonctionnel comme au point de vue organique, distincte de la commande cérébrale, mais il est évident qu’elle doit lui être coordonnée ; en effet, diverses expériences montrent qu’elle est influencée par l’imagination et l’attention.
254. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Rodolphe Soucek La conscience suppose-t-elle un sujet?
abstract | view |  rights & permissions
Le moi psychologique est, pour certains philosophes, un arrière- plan permanent de la vie mentale ; d’autres, ne le voient, selon l’observation intérieure, qu’apparaissant par intermittence, comme un visiteur fortuit. Il en est de même du sujet de la conscience : tels philosophes ne peuvent concevoir la conscience sans la relation sujet-objet, d’autres considèrent la notion du sujet comme superflue. La raison de ces différences doit se trouver dans la constitution mentale de chaque observateur.
255. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Charles Werner Le désir comme base organique des êtres
abstract | view |  rights & permissions
Descartes a bien reconnu que les passions de l’ame manifestent l’union de l’âme et du corps. Mais on peut regretter qu’il ait réduit les passions à des perceptions confuses, et qu’il n’ait pas indiqué qu’elles supposent toutes la force primordiale du désir. C’est le désir qui façonne la matière et l’organise en un corps vivant. Les êtres particuliers sont constitués par le désir en tant qu’il poursuit un but extérieur, et c’est pourquoi leur existence s’écoule dans le temps. Mais chez l’homme, le désir peut s’affranchir de l’immédiate sollicitation des objets, et trouver un accomplissement plus intérieur et plus profond.