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1. Fichte-Studien: Volume > 1
Thérèse Pentzopoulou-Valalas Fichte et Husserl: A la recherche de l’intentionnalité
2. Fichte-Studien: Volume > 11
Jean Christophe Goddard La Destination religieuse de l’homme
3. Fichte-Studien: Volume > 12
Miklos Vetö Etre et Apparition selon la doctrine de la science de 1812
4. Fichte-Studien: Volume > 16
Alain Perrinjaquet Intuition intellectuelle et conscience morale dans la phase de la WL nova methodo
5. Fichte-Studien: Volume > 16
Giuseppe Duso La philosophie politique de Fichte: de la forme juridique à la pensée de la pratique
6. Fichte-Studien: Volume > 29
Claude Piché L’instauration d’un ordre juridique juste d’après Fichte (1812–1813)
7. Fichte-Studien: Volume > 29
Max Marcuzzi La ligne morale
8. Fichte-Studien: Volume > 31
Marc Maesschalck Attention et réflexivité dans la Logique de 1812 et la dernière philosophie de Fichte
9. Fichte-Studien: Volume > 38
Sylvie Robin Martial Guéroult, lecteur de Fichte et de Spinoza
10. Fichte-Studien: Volume > 38
Emmanuelle Paré Le renouvellement du marxisme à travers la lecture fichtéenne de Jaurès
11. Fichte-Studien: Volume > 41
Giorgia Cecchinato Le problème d’une esthétique chez Fichte
12. Fichte-Studien: Volume > 41
Ives Radrizzani Art et philosophie chez Fichte
13. Fichte-Studien: Volume > 41
Alessandro Bertinetto »Die absolute Kraft des Bildens« Image et conscience de soi dans la Doctrine de la Science de Fichte
14. Fichte-Studien: Volume > 41
Laure Cahen-Maurel Fichte et Caspar David Friedrich sur l’esprit et la lettre en peinture
15. Fichte-Studien: Volume > 41
Manuel Ramos Valera La Doctrine de la Science et l’Esthétique
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Fichte réserve à l’esthétique un lieu privilégié au sein de son système, non pas qu’il lui consacre un large développement, mais parce qu’il se sert d’elle pour éclairer la nature de l’activité philosophique, après l’instauration kantienne de l’idéalisme transcendantal. En accordant à l’art une place dans la genèse de la spéculation philosophique, Fichte nous offre en même temps l’ébauche d’une esthétique originale, se démarquant de celles de Kant et de Schiller.
16. Fichte-Studien: Volume > 42
Laurent Guyot Le rôle de l’imagination productrice dans la genèse de la conscience de soi
17. Fichte-Studien: Volume > 42
Max Marcuzzi L’image morale chez Fichte, entre esthétique et religion
18. Fichte-Studien: Volume > 42
Marco Rampazzo Bazzan La Doctrine de la science comme pratique réflexive de production d’images: Une relecture du Gesicht dans la Doctrine de la science et la Destination du savant de 1811 à partir de Michel Foucault et Louis Althusser
19. Fichte-Studien: Volume > 43
Marco Rampazzo Bazzan Les enjeux stratégiques de la critique de Fichte à Rousseau dans la cinquième leçon des Conférences sur la destination du savant (1794)
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This paper aims at criticizing a dominant approach adopted in order to studying the relationship between Fichte and Rousseau. It concerns the tendency to reduce their relationship to the critic that Fichte delivered to Rousseau in the famous fifth lesson of Vocation of the scholar in 1794, and to transform it into its key of exhaustive reading. In our opinion, this hermeneutic approach produces some significant effects of misunderstanding of this problem, for instance the tendency to underline the features of Fichte’s break with the philosophy of the 18th century. The main goal of this contribution is then to understand that critics by the presentation of the strategic challenges of this conference, and thus to show the complexity of Rousseau’s influence on Fichte for the elaboration of his own philosophy in particular for the Vocation of the scholar in 1794.Le but de cet article est de problématiser une approche dominante dans la façon de traiter le rapport entre Fichte et Rousseau. Il s’agit de la tendance à réduire ce rapport à la critique que Fichte livre à Rousseau dans la cinquième conférence de la Destination du savant de 1794 en le transformant en sa clé de lecture exhaustive. De cette approche herméneutique découlent à notre avis des effets significatifs de mésentente, parmi lesquels une emphatisation des traits de rupture de la philosophie de Fichte avec la philosophie du 18ème siècle. Proposant de lire la critique de Rousseau à partir des enjeux stratégiques de cette conférence cet article veut relativiser la portée scientifique de cette critique afin de dégager la richesse et la complexité de l’influence exercée par les différents écrits de Rousseau sur Fichte dans l’élaboration de sa propre philosophie et en particulier en 1794.
20. Fichte-Studien: Volume > 43
Manuel Roy Fichte et Schiller: La fonction de l’art dans la pensée de Fichte à la lumière de la querelle des Heures
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In June 1795, Fichte sent his second contribution to Schiller’s journal, The Hours : his article, Concerning the Spirit and the Letter within Philosophy, where he explains his views on the relation between aesthetic experience and virtue. Schiller, who had until then been rather well-disposed toward Fichte, violently and categorically rejected the article, thus putting an end to their friendship. Scholars commonly understand this conflict as a predictable confrontation between two irreconcilable conceptions of the moral ideal : that of the cold philosopher, personified by Fichte, aiming to repress sensibility, and that of the warm-blooded artist, personified by Schiller, advocating for it. I shall argue that this interpretation is untenable, since Fichte and Schiller not only shared the same conception of virtue, but also agreed concerning the function assumed by the artist in mankind’s moral education. Rather, the conflict arose because Schiller could not bear the idealistic conception of nature – as pure representational activity – which Fichte thought was implied by these views.En juin 1795, Fichte fit parvenir à Schiller sa deuxième contribution destinée aux Heures : l’article Sur l’esprit et la lettre dans la philosophie, où il expose ses idées sur le rapport entre l’expérience esthétique et la vertu. Schiller, jusque-là plutôt bien disposé envers Fichte, lui opposa un refus de publication violent et catégorique, mettant ainsi un terme à leur amitié. On interprète habituellement cette rupture comme la conséquence prévisible d’une rencontre opposant deux conceptions irréconciliables de l’idéal moral : celle du froid philosophe, incarné par Fichte, visant à réprimer la sensibilité, et celle de l’artiste brûlant de passion, incarné par Schiller, souhaitant la glorifier. Je conteste pour ma part cette interprétation, Fichte et Schiller s’accordant non seulement sur la manière dont la vertu devait être conçue, mais également sur la fonction assumée par l’artiste dans l’éducation morale de l’être humain. À l’origine du conflit se trouve plutôt l’aversion de Schiller pour la conception idéaliste de la nature (comme activité purement représentative) qui, selon Fichte, était impliquée par ces idées.