121.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 1
Stanisław Ziemiański
Stanisław Ziemiański
Rola przyczyny w poznaniu naukowym u Arystotelesa
Le Róle de la Cause Dans la Connaissance Scientifique Chez Aristote
view |
rights & permissions
La science, selon la conception aristotelicienne, héritée dans ses grands traits de Platon, c'est une connaissance par causes. Cette conception, à première vue, semble d'étre simple et claire, mais eile devient plus compliquée, quand nous essayons préciser, à quel point ce qu'Aristote entend par le mot ή αἰτία (la cause) est lie avec ce qu'il nomme ή ὲπιστήμη (la science).Dans cet article, nous nous intéressons en particulier aux problèmes suivants: Est-ce que toutes les quatre causes aristotéliciennes peuvent servir à l'explication scientifique ou quelques-unes seulement? Avec quels éléments de la science et ä quel point sont-elles liées?II y a deux les plus importants modi seiendi dans la conception aristotélicienne de la science: la définition et le syllogisme. Le lien entre la cause et la définition peut être considéré comme une base à la classification des définitions. A partir de ce lien, on peut diviser les définitions err nominales et réelles, et ensuite, ces dernières — en définitions des êtres qui ont leurs causes en eux-mêmes (les substances et les propriétés considérées comme indépendant à leurs sujets) et en définitions des êtres qui ont leurs causes hors eux-mêmes (les événements et les proprietes comme telles).La définition vise au premier lieu la cause formelle, bien qu'Aristote ne veuille pas excluer totalement de la définition la cause matérielle conçue le plus généralement et les causes extérieures.S'il s'agit de la relation de la cause au syllogisme, on doit constater qu'il y a des syllogismes correctement formulés qui cependant ne réclament pas la cause comme le moyen-terme — le pivot du syllogisme. Mais, ce ne sont pas les syllogismes scientifiques. Quant au genre des causes qui jouent quelque rôle dans les syllogismes, ici, comme dans le cas de la définition, il y a toujours la cause formelle qui tient le premier rang. Si Aristote pourtant tient compte des autres causes aussi, en vue de les appliquer comme des moyen-termes des syllogismes, on constate que les relations dans lesquelles les termes du syllogisme sont impliqués ne correspondent pas aux relations réelles.Le problème du lien de la cause et de la science nous montre qu'il est difficile d'adapter une conception héritée de la science à un contenu nouveau.
|
|
|
122.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 1
Mieczysław Gogacz
Mieczysław Gogacz
O pierwszych czterech zeszytach Studiów Mediewistycznych
O pierwszych czterech zeszytach Studiów Mediewistycznych
|
|
|
123.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 1
Stanisław Kamiński
Stanisław Kamiński
Typy filozofii
Types of Philosophy
view |
rights & permissions
The author presents a systematic and synthetic typology of the various conceptions of philosophy. Philosophy is given here a fairly wide meaning, i. e. as the knowledge tending to the final (deepest) explanation of the whole universe, but in its fundamental aspects. The typification proceeds as follows: first, large divisions are determined among the different conceptions of philosophy, then, within these frames, such conceptions are pointed out as are the most representative models of each particular approach to philosophy. The types chosen are those that possess the best the most characteristic features of the group considered.The distinction between the particular types and groups of types has been made according to the following principles: 1) Epistemological viewpoint (including the relation of philosophy to apriorism and empiricism, as well as to rationalism and irrationalism) 2) The attitude of philosophy towards other kinds of knowledge (especially towards scientific and religious knowledge, and to the Weltanschauung and wisdom) 3) The definition itself of the proper object and aim of philosophy (and, consequently, of the methods of philosophical cognition).The author suggests the following concrete syslematics of the conceptions of philosophy distinguished:I. Extra-rational philosophy (not subject to empirical and rational intersubjec- tive determinability): 1. The contemplation, akin to aesthetic and religious, of the deepest nature of the world and of the sense of human life. 2. Extra-scientific specific knowledge of the most essential truths, a) philosophy as wisdom, Weltanschauung; b) Conceptions such as W. James's, H. Bergson's,* c) Conceptions such as W. Dilthey's. G. Simmel's;II. Speculative (a priori, constructive) philosophy: 1. Theory of the relationship between ideas: a) Plato's dialectics; b) Conceptions of the German idealists. 2. Theory of the development of the ideas: a) Neoplatonic ideas; b) Hegel's conception. 3. Formal theory of objects: a) Theory of a priori determined contents, b) ontological hypothetic-deductive interpretation of logical calculus (e. g. H. Scholz).III. Classical philosophy: 1. Conception of ,,essential" philosophy (theory ol the essence of things): a) Conceptions of Aristotle, Duns Scot, Chr. Wolff...; b) Phenomenology. 2. Conception of existential philosophy (theory of being). 3. Neo-scholastic conceptions (of the type represented by the Louvain School).IV. Scientific philosophy: 1. Synthesis completing the results of Sciences, achieved through the creative intuition of the philosopher (e. g. in Brentano, Jeans, Eddington, Cawecki). 2. Inductive generalisation of sciences: a) Marxist ideas; b) positivistic ideas. 3. Philosophy as system of sciences: a) e. g. in Descartes, b) e. g. in cyclopaedic approaches to philosophy.V. Philosophy as meta-knowledge: 1. Meta-science: a) logico-critical science of sciences (Mill, neo-positivists), b) epistemology (some analytical schools). 3. Interpretation of extra-scientific knowledge: a) history and theory of philosophical problematics, b) rational explanation of religio-theological questions.
|
|
|
124.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 1
Antoni Stępień
Antoni Stępień
Ingardenowska koncepcja teorii poznania:
Próba oceny
Ingarden's Idea of the Theory of Knowledge
view |
rights & permissions
R. Ingarden has formulated the most serious conception of the theory of knowledge in phenomenology. The present article, following the suggestions contained in Ingarden's writings, studies in turn the sources of epistemological problematics, the aim and possibility of the theory of knowledge, the criticism of the so-called psychophysiological epistemology, the consequences of the application of the so-called transcendental method, together with Ingarden's statements regarding the character and method of the theory of knowledge. According to the latter, the theory of knowledge is a philosophical science studying knowledge with a view to achieve a final assessment of the value (genuineness) of the cognitive results actually obtained. The theory of knowledge does not found any knowledge examined, it provides no premiss for any science, it simply ascertains, recognises value. It comprises essentially the ontology of knowledge and the metaphysics of knowledge.Ingarden has aptly perceived the tasks of the theory of knowledge and the conditions to cultivate it. The doubts refer, above all, to the applicability of the results of the ontology of knowledge: how can knowledge relative to the ideal sphere and dealing with pure possibilities apply to what has real existence, e. g., to actual results of human cognition? Moreover, Ingarden's analysis seems to have demonstrated the necessity of a radical modification if not discarding of Husserl's conception of the „transcendental reduction".
|
|
|
125.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Adam Rodziński
Adam Rodziński
Czego usiłuje dowieść Józef Keller?
Czego usiłuje dowieść Józef Keller?
|
|
|
126.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Władysław Piwowarski
Władysław Piwowarski
Osoba ludzka a społeczność
La Personne Humaine et la Communaute
view |
rights & permissions
L’auteur analyse sur le plan philosophico-sociai le problème des rapports mutuels entre la personne humaine et la communauté. Il constate d’abord que dans la philosophie sociale thomiste on peut relever plusieurs points de vue pour ce qui est de ce problème. II en choisit quatre pour les soumettre à une analyse critique: 1° la conception du „droit de l’ensemble communautaire”, 2° la conception du „principe de subsidiarité”, 3° la distinction de l’individualité et de la personnalité dans l’homme, 4° la conception de la „loi du milieu interpolate”. Tout en admettant qu’elles représentent des vues partiellement justes, l’auteur est d’avis qu’elles ne sont pas à même de constituer une base suffisante pour la solution du problème des rapports mutuels entre la personne humaine et la communauté.En second lieu, l’auteur se prononce pour une autre conception, plus intégrale. A partir de l’analyse de la conception thomiste de la personne humaine et de la communauté, il procède à la solution du problème en question. C’est qu’il y a deux principes sociaux fondamentaux du droit naturel, à savoir le principe du bien commun et celui de subsidiarité. Ces deux principes ont leur fondement métaphysique dans la personne humaine et, plus précisément, dans la nature sociale de l’homme, dans ses capacités et besoins de prêter un concours complémentaire. lis sont également ancrés dans l’essence de tonte communauté humaine. En tant que principes sociaux ils forment une norme d’existence et de fonctionnement de la communauté en même temps qu’une base des droits et des devoirs sociaux. Selon l’auteur, la prise en considération des principes que ci-dessus rend possible la solution du problème des rapports entre la personne humaine et la communauté non seulement en théorie, mais aussi dans la pratique.L’auteur démontre ensuite que les deux principes fonctionnent dans toute communauté humaine et c’est pourquoi le fait de s’appuyer sur eux, assure des bases solides à la sauvegarde et au développement du bien commun de la communauté aussi bien que de la personnalité humaine. Le principe du bien commun règle les rapports sociaux „de bas en haut” — de la personne humaine au bien commun, en définissant les droits de la communauté et les devoirs de l’individu humain. Le principe de subsidiarité règle les rapports sociaux dans le sens inverse, „de haut en bas” — du bien commun à la personne humaine, en définissant les droits de l’individu et les devoirs de la communauté.Enfin, à partir des deux principes en cause, l’auteur analyse en détail les rapports mutuels entre la personne humaine et la communauté. A la suite de cette analyse, il se voit amené à conclure qu’entre la personne humaine et la communauté il existe un rapport de coordination mutuelle, avec cette réserve que la communauté aussi bien que le bien humain existent, en fin de compte, pour l’homme.
|
|
|
127.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Miriam Hildegarda Szymeczko
Miriam Hildegarda Szymeczko
Koncepcja wartości u Dietricha von Hildebrand
La Conception de la Valeur Chez Dietrich von Hildebrand
view |
rights & permissions
Les présentes considérations ont pour but la définition de la notion de valeur chez D. v. Hildebrand représentant de la phénoménologie contemporaine. Les vues de von Hildebrand s’approchent considérablement des conceptions rencontrées dans la phiiosophie traditionnelle, surtout chez S. Augustin et S. Thomas d’Aquin. L’auteur insiste fortement sur le lien métaphysique étroit entre la valeur et l’être L’article se propose de montrer comment v. Hildebrand conçoit l’essence de la valeur, c’est-à-dire quel est le contenu de la notion de valeur et quelle en est la structure ontique.Dans la première partie l'on constate que l’élément essentiel de la notion de valeur chez D. v. Hildebrand est la „signification’'' que les êtres particuliers possédent en eux-mêmes, „signification” grâce à laquelle ils peuvent mouvoir (motiver) la volonté ou la sphère émotionnelle du sujet connaissant. La valeur est done, selon v. Hildebrand, une propriété de l’être, une propriété qui confère à celui-ci le caractère de bien, une propriété objective, subjectivisée dans l’essence d’un être donné, ayant un caractère entièrement objectif et autonome en ce qui concerne le mode d’être.Dans la deuxième partie, l’auteur analyse la valeur hildebrandienne du côté de sa structure ontique ainsi que ses liens avec l’être. A la suite de cette analyse il constate que la valeur constitue seulement le contenu de la conscience. Le principe relevant de la théorie de la connaissance admis par le penseur — à savoir l’intuition intellectuelle conçue d’une façon spécifique, recormue comme unique méthode valable de la connaissance philosophique, le fait ensuite de réduire l’idéal de la connaissance philosophique à la seule perception de l’essence des choses ainsi que la méconnaissance de l’existence dans le processus de la connaissance — ne permettent pas à Hildebrand de pénétrer jusqu’à l’être réel, à la valeur en tant, qu’élément réel de la réalité. De l’avis de v. Hildebrand, la valeur constitue eine echte Wesenheit, eile a une existence idéale comparable à celle des idées platoniciennes subsistant dans le Plérome. Pour sauvegarder le réalisme des valeurs et de leurs liens avec l’être, v. Hildebrand les situe en Dieu, dans la réalité existant le plus réellement et le plus actuellement. L’analyse des preuves rationnelles de l’existence de Dieu admises par v. Hildebrand (la preuve tirée de la contingence des êtres et des degrés de perfection), effectuée à la lumière de ses principes relevant de la théorie de la connaissance, montre que ies preuves en cause ne peuvent point menar à la constatation de l’existence de Dieu en tant qu’être existant réellement et actuellement. Le Dieu ainsi conçu ne trouve pas de justification dans la phiiosophie de v. Hildebrand. De même que la valeur, il n’y apparaît que comme matière de connaissance, done comme une sorte d’être possible. Par conséquent v. Hildebrand ne réussit pas à sauvegarder le réalisme des valeurs ni leurs liens internes, ontiques avec l’être qui, de la même façon que la valeur, peut se présenter uniquement comme matière de connaissance, comme un être possible. Ainsi done entre la valeur et l’être tels que les conçoit v. Hildebrand, il peut y être question seulement d’un lien logique, d’une relation de non-contradiction qui peut se produire entre des matières de connaissance.Les présentes considérations montrent que les thèses de v. Hildebrand, proches des conceptions réalistes de la philosophie traditionnelle et semblables dans leurs formulation, cachent un contenu entièrement différent. Il appert ainsi que B. Schwarz n’a pas raison lorsqu’il proclame l’harmonie entre les conceptions de v. Hildebrand et celles de S. Thomas d’Aquin.
|
|
|
128.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Władysław Piwowarski
Władysław Piwowarski
Interpretacje zasady pomocniczości w literaturze współczesnej
Interpretacje zasady pomocniczości w literaturze współczesnej
|
|
|
129.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Adam Rodziński
Adam Rodziński
Etyka katolicka a miłość bliźniego
Etyka katolicka a miłość bliźniego
|
|
|
130.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Józef Majka
Józef Majka
Problem źródeł katolickiej etyki życia gospodarczego:
(Analiza zagadnienia na przykładzie nauki o lichwie)
Le Probléme des Sources de la Morale Économique Catholique
view |
rights & permissions
Le point de départ des considérations est fourni par le syllogisme pratique d’Aristote, bien connu. Les motivations éthiques particulières se concentrent autour de la mineure de ce syllogisme, constituée par l’appréciation d’une categorie donnée d’actions. L’auteur s’intéresse surtout au problème des sources de ces motivations en ce qui concerne les catégories particulieres de la vie économique.II divise les sources en question en deux groupes: 1° immuables et fondamentales; 2° changeantes et subsidiaires. Les premières constituent pour ainsi dire des critères immédiats de l'appréciation. Les autres par contre fournissent des informations sur la réalité, dans le cas ici étudié — sur les institutions particulières de la vie économique. Au nombre des premières il met le droit naturel et le droit révélé (l’Écriture Sainte ainsi que l’enseignement des Pères et des théologiens), parmi les secondes il range la science des institutions juridico-sociales et les théories économiques.L’auteur analyse l'ensemble du problème sur l'exemple de la doctrine de l’usure, ceci à cause de sa riche histoire et des changements dans l'appréciation de ce phénomène, intervenus en fonction de l’évolution de restitution elle-même. C’est précisément ce développement qui montre particulièrement bien le rôle que les catégories de sources mentionnées ci-dessus jouent dans cette évolution.
|
|
|
131.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Tadeusz Ślipko
Tadeusz Ślipko
Pojęcie samobojstwa bezpośredniego i pośredniego w świetle wspołczesnych dyskusji
Quid de Traditionalibus Definitonibus Suicidii Directi et Indirecti Sentjendum?
view |
rights & permissions
In parte introductoria articuli duae concepti ones suicidii radicaliter sibi oppo- sitae delineantur, quarum una, scholastica, suicidium absolute prohibendum esse pronuntiat, altera vero, laica, exceptionalem eius liceitatem defendit.Deinceps explanantur summa capita doctrinae scholasticae de suicidio, prae- cipue eius nota distinctio inter s. d. suicidium directum et indirectum. Huic expositioni adiungitur opinio D. Van Vyve, qui definitionem traditionalem reicien- dam esse putat eique propriam opponit in sola intentione agentis fundatam, ex qua liceitatem s. d. suicidii-sacrificii ultimatim deducit.Crisis sententiae Van Vyve d'emonstrare conatur illam principiis a philosophia scholastica penitus alienis inniti, quapropter subiectivismo ac relativismo doctri- nam de suicidio inficere potest. Concedendum est tarnen huic auctori nonnullas notiones theoriae traditionalis corrigendas esse, praeprimis duo conceptus: actionis ex natura sua occisivae et actionis indirecte occisivae. In articulo conamen adhi- betur consilium hoc perficiendi. Elementum constitutivum actionis ex natura occisivae in finali et activa ex parte agentis ordinatione suae operationis ad mortem sibi inferendam reponitur, occisio vero indirecta non per duplicem effectum, sed per concurrentiam indifferentis operationis agentis cum mortiferä actione causae concomitantis explicari tentatur. His notionibus suppositis diversae a tra- ditionalibus statuuntur definitiones suicidii directi, indirecti et expositions vitae mortis periculo, quorum primum solum intrinsece et absolute illicitum censeri potest, alterum vero ex sola prava intentione agentis, expositio autem vitae periculo mortis debitis sub conditionibus moraliter honesta evadit.
|
|
|
132.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Stanisław Styrna
Stanisław Styrna
Principi e questioni di morale sociale
Principi e questioni di morale sociale
|
|
|
133.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Czesław Strzeszewski
Czesław Strzeszewski
Praca ludzka w Piśmie świętym Starego Testamentu
Le Travail Humain dans L’Ancien Testament
view |
rights & permissions
L’enseignement sur le travail humain, tel qu’il se dégage des livres de l’Ancien Testament, constitue ie sujet de l’article. L’auteur met surtout en relief le problème du devoir de travailler et celui du droit au travail. Le cosmos a été donné à l’usage de l'homme non pas au sens absolu de ce terme, mais sculement au sens facultatif: ce n’est que par son travail que l’homme parvient à jouir des biens matériels.Cette obligation de travailler se trouve à la base même de la vie humaine et c’est pourquoi elle est tellement importante. Elle a été formulée comme un devoir personnel de l’homme. Le fait cependant qu’elle a été imposée par Dieu à nos premiers parents, l’étend sur l’humanité entière en lui conférant par cela même un caractere social.II y a lieu également de noter le caractère éminemment social des autres éléments de l’enseignement scripturaire sur le travail. Le droit au travail peut être réalisé uniquement par la société. Le respect de la dignité du travail est fonction de l'attitude de la société à l’égard de l’effort que le travail exige. Le juste salaire enfin, encore que fondé sur la justice commutative, ne saurait se concevoir sans la coopération de la justice distributive et. sociale.
|
|
|
134.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 2
Witold Zdaniewicz
Witold Zdaniewicz
Analiza czynności społecznej w systemie religijnym według teorii F. Znanieckiego
Analyse de L’Action Sociale dans le Systeme de Religion
view |
rights & permissions
Le but de l'étude est Tanalyse des actions sociales dans le système catholique de religion. II est ici question d’une structure générale des actions sociales servant de moyen de la transmission de valeurs et d’attitudes religieuses. Les éléments de l'action sociale sont empruntes la théorie sociologique de F. Znaniecki. A côté du sujet agissant, Znaniecki distingue quatre éléments de l'action sociale: 1° l'objet, 2° les moyens, 3° la méthode, 4° la réaction sociale, L’application de ce schéma aux actions sociales dans, le système de religion se présente comme suit: 1. La partie directrice de l'Église, les ordres, les congrégations de fidèles, constituent le sujet de l'action sociale. 2. Un système approprié de valeurs naturelles et surnaturelles constitue l'objet de l'action. 3. La réaction sociale, dans son sens plein, consiste dans une parfaite communauté de la participation au Bien commun. 4. Les moyens d’agir relèvent du domaine sacré, ascétique, de celui du „verbe” et de celui des soi-disant moyens auxiliaires. La méthode, ce sont différentes façons de transmettre des valeurs ou attitudes religieuses. Ce schéma général des actions sociales dans le système de religion doit subir des modifications dépendamment des conditions changeantes. Sinon, les actions sociales de ce genre risquent de ne pas remplir leur devoir.
|
|
|
135.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 3
Kazimierz Kłósak
Kazimierz Kłósak
Maritainowe proby wyodrębnienia filozofii przyrody od metafizyki i nauk przyrodniczych
Essais Entrepris par Jacques Maritain dans la Direction d'Isolement de la Philosophie de la Nature de la Metaphysique et des Sciences Naturelles
view |
rights & permissions
L'auteur de cet article soumet à l'appréciation les essais dont Jacques Maritain a entrepris successivement pour arriver à l'isolement de la philosophie de la nature de la métaphysique et des sciences naturelles. Voici les principales constatations au sujet de la position prise par Maritain.Aux bases de la conception de philosophie de la nature, définitivement admise par Maritain, se montre indubitablement une version, la plus répandue, du principe scolasti- que de la classification des sciences théorétiques de l'ordre naturel. II faut pourtant reconnaître avec le père Jaime M. Ramirez O. P. Maritain divise les sciences citées sous le rapport de l'espèce partiellement sur une autre base que cela n'a été fait traditionnellement, et cela dépendamment d'un mode particulier de définition, pris indépendamment de la forme d'abstraction. II ne semble pourtant pas que le Dominicain espagnol ait réussi à montrer qu'au premier degré d'abstraction formelle, on ne puisse parier de modes de définition spécifiquement différents, dont l'un serait caractéristique pour la philosophie de la nature et l'autre pour les sciences naturelles. Au principe de classification des sciences théorétiques de l'ordre naturel, que St. Thomas d'Aquin et Jean de Saint Thomas acceptaient, ne s'oppose pas une telle discrimination dans la limite du mode de définition. Si les deux auteurs ne reconnaissent pour le premier degré d'abstraction formelle qu'un seul mode de définition, ce n'était qu'une fortuite conditionnalité historique. Chez St. Thomas la cause en était teile, que au moyen-âge les sciences naturelles, à l'exception de celles qui avaient été soumises à l'élaboration mathématique, n'avaient pas atteint leur autonomie méthodologique et formulaient leurs définitions selon le même modèle typique que la philosophie de la nature. S'il s'agit de Jean de St. Thomas, bien qu'il eut été contemporain de Descartes, il vivait de la vieille tradition de réunion des sciences naturelles avec la philosophie de la nature.
|
|
|
136.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 3
Leopold Regner
Leopold Regner
Creation and Evolution
Creation and Evolution
|
|
|
137.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 3
Leopold Regner
Leopold Regner
Kosmologia
Kosmologia
|
|
|
138.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 3
Stanisław Adamczyk
Stanisław Adamczyk
Struktura bytu przygodnego według Arystotelesa
Struktura bytu przygodnego według Arystotelesa
|
|
|
139.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 3
Szczepan W. Ślaga
Szczepan W. Ślaga
Podstawowe założenia i wartości teorii abiogenezy
The Basic Assumptions and the Value of the Theory of Abiogenesis
view |
rights & permissions
The article is an attempt of logical analysis of the theories of the origin of life. The author, accepting the definition of the theory of abiogenesis as a process of a slow, spontaneous and direct formation of living things from organic non-living compounds or directly from unorganic substances, presents three assumptions that occur in each theory of the origin of life.1. The existence of the causality including physical and dynamic interrelation of events; this assumption contains two possibilities; the original formation of organic compounds and further evolution of these compounds.2. The existence of the abiotic period in the history of earth.3. Primitive living things were similar to the actually existing organisms.As to the value of abiogenesis the author emphasises verification and above all tendency to the empiric sensity of notions of the theory. The tendency in the explanation of the origin of life, non implicating any metaphysical solutions, is the only legal one within the scope of accepted empirical methods.
|
|
|
140.
|
Roczniki Filozoficzne:
Volume >
12 >
Issue: 3
Aleksander Birkenmajer
Aleksander Birkenmajer
Osiągnięcia duchowieństwa polskiego w zakresie nauk matematycznych i przyrodniczych
Role Ddes Ecclesiastiques Polonais dans le Domaine des Sciences Mathematiques et Naturelles
view |
rights & permissions
La contribution du clergé polonais à la culture et au développement des sciences naturelles et mathématiques s'est exercée du Xllle au premier quart du XIXe s. Elle a débuté vers 1270 avec un volumineux traité d'optique, oeuvre du cuté silésien Witelo. Au XlVe s., Thomas, coadjuteur de Wrocław, était célèbre pour ses ouvrages de médecine contenant, entre autres, de précieuses observations botaniques. L'Université de Kraków, rénovée en 1400, cjonfia la chaire de mathématiques et d'astronomie à de nombreux membres du clergé, dont. certains ont laissé des manuels de ces sciences. L'on ne doit pas oublier non plus que Nicolas Copernic (1473—1543), auteur génial de la théorie héliocentrique de l'univers, était lui aussi du clergé.Trop de querelles religieuses remplirent la seconde moitié du XVIe s. pour permettre au clergé une part active dans le développement des sciences exactes; des le XVIIe s. cependant, la tradition de l'effort créateur revit en ce domaine. Les représentants en furent alors, entre autres, Jan Brożek, Stanisław Pudłowski, Adam Adamandy Kochański et, le plus éminent d'entre tous, Alexius Sylvius Polonus (né en 1593), constructed ingénieux d'appareils d'astronomie et de physique, en même temps que mathématicien de talent à réputation européenne.Le règne malheureux d'Auguste II de Saxe causa une nouvelle éclipse du clergé en mathématiques et sciences naturelles; dés Auguste III, cependant, Andrzej Stanislaw Załuski, évêque de Kraków, entreprenait des démarches pour faire admettre la science mathématique moderne à l'université de cette ville. Si son effort n'obtint que des résultats partiels, il prépara du moins le terrain pour le renouveau des sciences dans la seconde moitié du siècle. Le troisième quart de ce même siècle vit s'avancer au premier plan les jésuites qui, dès 1753, avaient pris la voie des réformes à leur Académie de Vilna. Leur collége de Poznań s'engagea dans la même voie; c'est là que le p. Józef Rogalński rédigea, le premier manuel moderne de physique en langue polonaise. Un autre jésuite, Marcin Poczobut, créa l'observatoire astronomique de Vilna et, après la suppresion de son ordre, dirigea de longues années durant, l'Ecole Principale de la Lithuanie qui connut alors un essor remarquable.La Compagnie de Jésus ne fut pas la seule, dans les années 1760—1830, à représenter la contribution du clergé à l'avancement des sciences mathématiques et naturelles. Trois autres noms méritent d'être mentionnés ici: Krzysztof Kluk, curé avant tout de Podlasie, vulgarisateur modeste et infatigable des sciences, pénétrant avee aisance dans des cercles étendus de lecteurs; le p. Bonifacy Jundziłł des Ecoles Pies., longtemps professeur de botanique à Vilna; enfin, l'ab. Stanislaw Staszic, président de la Société des Amis des Sciences à Varsovie et initiateur de la géologie du sol polonais.
|
|
|