Le « panenthéisme ouvert » ou « panenthéisme émergentiste » est un modèle théologique issu du dialogue interdisciplinaire permettant d’appréhender l’action de Dieu dans le monde. Il allie des éléments du panenthéisme de l’idéalisme allemand, notamment de Schelling et Hegel, ceux du process théisme revu par Charles Hartshorne, et des éléments essentiels du théisme « ouvert ». À cette base est ajoutée la théorie de l’émergence forte qui apporte une vision moniste du monde. Le modèle lui permet de discuter de l’influence divine dans le monde en termes de causalité descendante. Néanmoins, l’idée d’émergence dans sa version contemporaine demeure complexe et sujette à controverses. La théorie des catégories, en tant que théorie des universels concrets, permet de donner un fondement ou un cadre à l’idée d’émergence par le biais des propriétés de la colimite. Les catégories permettent également d’évoquer la notion whiteheadienne de créativité en la présentant sous le jour d’une théorie des figures premières de la créativité.

Instead of harmonizing literary, scientific and technical modes of thought and being carriers of wisdom and beauty, most of today’s universities foster scientific and economic dogmatism. Instead of being imaginative agents, they are in danger of becoming mere industrial and market agents. A century ago, Alfred North Whitehead warned his readers for the danger of the spiritual bankruptcy that lies at the basis of today’s craziness of collective human behaviour, but unfortunately most academics do not share Whitehead’s concerns, nor his wisdom. Instead of responding to the global ecological crisis humanity faces today, universities generally ignore this crisis and accept the status quo by sticking to their business as usual, even if that leads to large-scale self-destruction.

On suggère le lien existant entre capitalisme, technoscience et manipulation mentale en s’attardant sur l’électrification des « chaînes de soins ». On insiste particulièrement sur le court-circuit immédiat qui eut lieu entre la découverte de l’activité électrique des systèmes musculaire et nerveux central et la volonté de les manipuler. Trois étapes scandent l’argument : la définition du capitalisme, de son lien avec la technoscience, et l’exploration du rapport historique qui existe entre électroscience et santé mentale.