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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
14 >
Issue: 1
Czesław Wojtkiewicz
Czesław Wojtkiewicz
O tak zwanych „definicjach” w metafizyce scholastycznej
On So-Called „Definitions” in Scholastic Metaphysics
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In this article the author attempts to support the thesis that among so-called „definitions” formulated in a typical text-book lecture on scholastic metaphysics, on the whole there are none which could explain the sense of the term defined by confronting it with a combination of meanings (different from it and differing among themselves) of several, or even two, terms. The analysis of the above — mentioned alleged definitions shows that the plurality of concepts included in their definienses is merely apparent. They are simple translations of one non-complex term into ar. other complex term, i. e. this is the use of the so-called method of synonyms, where both synonyms are equally derived from common speech and their sense is equally metaphoric. In addition, these definitions are, in the majority, translations of one language form (logico-grammatical) into another equivalent language form. Thus they are concretisations of generally important logico-grammatical schemats. This article draws attention to the illusive and strictly verbal nature of such an explanation of metaphysical terms.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Władysław Augustyn
Władysław Augustyn
Poznanie i rzekoma definicja prawdy u Malebranche’a
Poznanie i rzekoma definicja prawdy u Malebranche’a
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 1
Witold Michałowski
Witold Michałowski
Dwa pojęcia konsekwencji u Piotra Abelarda a implikacja ścisła Lewisa i Ackermanna
Two Concepts of Consequence in Peter Abelard and Strict Implication in Lewis and Ackermann
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In his „Topics”, forming part of his Dialectics, Abelard discusses the sense and truth-conditions of hypothetical sentences. In this aligns himself, not to the tradition of the Stoics, but, through Boethius, to the tradition of the old Peripatetics, namely to Eudemus.Among, hypothetical sentences, a basic type is the conditional sentence, or consequentia. In the present article it is shown that Abelard rejects the truth-functional interpretation and the probability-interpretation for conditional sentences (consequentia) and admits only two interpretations, of which one is modal and in complete agrees with the concept of strict implication of Lewis, and the second is inferential. This agrees with Ackermann’s concept of strict implication. Abelard is an advocate of inferential interpretation, free of paradoxes, to which a modal interpretation leads.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Stanisław Kamiński
Stanisław Kamiński
O ilościowym charakterze przźedmiotu matematyki
O ilościowym charakterze przźedmiotu matematyki
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 1
Stanisław Kaminski
Stanisław Kaminski
Wyjaśnianie w metafizyce:
(uwagi wprowadzające)
The Explanation in Metaphysics
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The article is an attempt to describe the explanation in classical metaphysics. These considerations are preceded by a presentation of the various types of explanation and the most typical methods, and of various concepts of classical metaphysics. Against this background the explanation is analysed in general metaphysics and next in detailed metaphysics.The explanation in general classical metaphysics is a variety of the theoretical explanation used in the natural sciences. In addition, in traditional concepts of metaphysics analytical methods are chiefly used in the explanation, and an especially important role is given to intuition. Modernized forms of metaphysics generally adopt a reflective method of explanation. This has at least three variants: reflective-phenomenological, reflective-synthetic and reflective-reductive. Sometimes the constructive method is used, which insists on ontology as an introduction to metaphysics. All these methods are faced with considerable difficulties. The analytic method does not guarantee absolute universality in the explanation. Reflective methods insufficiently fulfil the condition of ontologic realism. The method of construction cannot deal with so-called metaphysical experience. It appears that the method of so-called existential Thomism most fully satisfies the postulates of a realistic, controlled, universal, and infallible explanation. Such an explanation depends finally upon theory of the inner structure of being, or upon the essential relations between elementary constituting factors of being as being.An explanation in detailed metaphysics, in addition to theoretical explanation, makes use of evaluation, where the chief method of the latter operation is the method of construction, based, however, not on ontology but on general metaphysics and human metaphysics.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 1
Stanisław Adamczyk
Stanisław Adamczyk
Zupełna zależność stworzenia od Stworcy u św. Tomasza z Akwinu
Dependance Compléte de la Creature à l’Éigard du Créateur dans la Doctrine de St. Thomas d’Aquin
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Dans mon travail: De existentia substantiali in doctrina S. Thomae Aquinatis, editée en 1962 par la Libraire de l'Université Grégorienne à Rome, les deux derniers chapitres se mettent au premier plan, qui soulignent la dépendance de toute existence substantielle dans son origine naturelle et dans sa conservation consécutive de l’Être suprême. Pourtant, des textes sur lesquels je me suis appuyé, englobant non seulement les existences substantielles, et réalisées par ces derniers les êtres substantiels, mais aussi ils suggèrent la dépendance de cet Être, tous les accidents avec leur action. C’est dans cet article nous voudrions mettre en relief la dépendance complète de la créature de son Créateur dans la doctrine de s. Thomas. Avant de motiver avec les textes de la Somme cette dépendance, nous voudrions d’abord présenter une base ontique de cette dépendance qui est constituée par la différence métaphysique thomiste entre l'être et l’existence dans tout être réel. Je ne m’arrête pas ici, mais je voudrais motiver, en quelle manière s. Thomasfait défendre des accidents, mais aussi leur action à travers leur existence de la Cause Première, donnant par là, une explication particulière du fameux „concursus divinus”. De cette façon l'acceptation de la différence réelle-métaphysique entre l’être et l’existence permet à s. Thomas non seulement séparer d’une façon catégorique l’Être Suprême des autres êtres, mais en même temps relier et faire dépendre d’une façon magistrale tout l'univers dans ses moindres symptômes du Créateur.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Stanisław Kowalczyk
Stanisław Kowalczyk
Z dziejów perypatetyckiego opisu dobra:
(Arystoteles, św. Tomasz z Akwinu, F. Brentano)
Autour de la Description Péripatétique du Bien
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Le but de l’étude est de passer en revue — sur l'exemple d’Aristote, de S. Thomas et de F. Brentano — certaines étapes du processus de l'évolution de la description péripatétique du Bien. La description contenue dans l'Éthique à Nicomaque (bonum est id quod omnia appetunt) est analysée dans la première partie de particle. Quoique cette définition insiste sur l’élément subjectif du bien (l'appétition), dans le contexte de la théorie de l’être aristotélicienne elle acquiert des traits réalistes prononcés. Ce réalisme se manifeste également dans l'affirmation du caractère supracatégorial et analogique du bien. Tout, en niant l'existence d’un bien idéal, Aristote affirme l'existence d’un bien pur, suprême.La deuxième partie de l’étude porte sur les descriptions thomistes du bien. Dans son commentaire de l'Éthique à Nicomaque S. Thomas analyse la description aristotélicienne qui apparaît comme non pas très précise puisqu’elle se contente des seuls „effets“ du bien en négligeant son essence. L’appétition n’est pourtant pas la cause de la bonté de l’être, mais simplement une conséquence du bien objectif. Compte tenu de l'insuffisance de la description aristotélicienne, S. Thomas l’approfondit et la complète. Dans l'interprétation thomiste, le fait de l'appétition concerne seulement l’aspect phénoménologique de la valeur; il signale donc ses éléments secondaires. C’est pour ainsi dire la raison du bien (ratio boni). La nature du bien (natura boni) proprement dite gît dans la perfection réelle de tout être. Done, pour S. Thomas le bien ontique est fondé non seulement dans la forme substantielle, mais encore dans l'existence réelle. Cet accent mis sur l'élément objectif du bien, sur l'entitas décide S. Thomas à donner au bien les noms tels que: acte, perfection, existence, etc. La description thomiste la plus complète se trouve dans De veritate (1,1). Elle tient compte des deux éléments de tout bien, de son enlitas et du fait de l'appétition dont celle-ci est objet.La troisième partie de l'article est consacrée à la description du bien chez F. Brentano, Vom Ursprung sittlicher Erkenntnis: „Une chose est bonne lorsque l’amour qui s’y rapporte est juste“. En tant qu’aristotelicien, Brentano affirme le caractére objectif du Bien. Pourtant en pratique, à la suite de l'établissement de liens entre l’axiologie et la gnoséologie ainsi que la psychologie, il ne fournit pas de base suffisante à une théorie réaliste du bien. Le bien ne saurait aucunement être garanti par un acte psychique quelconque, à plus forte raison par un acte émotif. Si la chose en elle-même n’est pas bonne, le „juste“ amour est impuissant de lui conférer quelque valeur.
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Issue: 2
Jan Sieg
Jan Sieg
Chrześcijańska postawa dialogu jako przedmiot badań socjologicznych
L’Attitude Chréitienne du Dialogue Comme Objet de Recherches Sociologiques
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Maintenant, dans la dernière phase du Concile, l’Église catholique élabore un nouveau modèle de l’attitude chrétienne envers le monde; c’est l’attitude du dialogue.II nous semble que l’attitude chrétienne du dialogue peut remplir une fonction sociale positive en ce qui concerne les besoins sociaux d’une société de masse et surtout en ce qui concerne l’urgent besoin d’une coexistence pacifique.C’est pourquoi cette attitude mérite d’être étudiée par les sociologues. Mais de graves raisons sociologiques exigent que les recherches sur l’extension et l’intensité de cette attitude chez les catholiques soient précédées d’une analyse scientifique du modèle idéal que la hiérarchie de l’Église catholique proposait et propose aux fidèles comme obligatoire.
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Issue: 2
Czesław Strzeszewski
Czesław Strzeszewski
Hierarchia dóbr wspólnych a naturalna hierarchia społeczności
Hiérarchie des Biens Communs et la Hierarchie Naturelle de la Sociéte
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L’auteur avance la thèse selon laquelie la hiérarchie de la société est de par le droit naturel subordonnée à la hiérarchie du bien commun. G’est que le but de la société humaine consiste dans la réalisation du bien commun. Au sommet de la hiérarchie des biens communs se trouve Dieu lui-même, mais dans son eheminement vers ce Bien suprême, l’humanité parvient à des biens communs d’ordre inférieur, biens particuliers. Plus le bien commun est élevé, plus il est susceptible de décider rhomme à l'effort, aux sacrifices, à l’abnégation. Mais plus le bien commun est proche, particulier, concret, plus il est facile aux facultés cognitives humaines d’en saisir le contenu et à la volonté de pencher vers son objet. C’est pourquoi le pluralisme de l’organisation de la société humaine facilite la mobilisation des personnes humaines en vue de la conquète du bien commun et.il renforce les liens unissant le bien personnel au bien commun.L’auteur met en relief le grand rôle de l’amour nature! dans la réalisation du bien commun. Grâce à de petites communautés naturelles, la familie surtout, l’homme acquiert la capacité de connaître et d’aimer le bien commun des communautés supérieures: nation, État, humanité. G’est done a juste titre que dans Pacem in terris Jean XXIII donne à I’amour naturel le nom de humanitas, car sans amour les hommes perdent leurs caractères humains. Le terme humanisme devrait désigner le triomphe de l’amour dans la vie sociale.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Józef Majka
Józef Majka
Moralny charakter życia społecznego
Le Caracteire Moral de la Vie Sociale
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L’article se propose d’analyser la conception de la société et de la vie sociale, qui — de l’avis de l’auteur — se trouve à la base des encyeliques de Jean XXIII. Le point de départ des considérations est l’idée du plan divin, esquissée dans l’introduction à l’encyclique Pacem in terris, idée que l’auteur analyse à la lumière de la lex aeterna thomiste. II distingue trois ordres de ce plan et il situe la vie sociale dans le cadre de l’ordre moral. II faut cependant observer que ces ordres ne sont pas entièrement séparés l'un de l’autre. Quoique la vie sociale trouve un certain fondement dans les caractères physiques et psychiques de l’homme, la structure même des phénomènes sociaux relève du domaine moral.L’étude aborde également le type de nécessité par laquelle l’homme se voit conduit à la vie sociale. II faut surtout se poser la question de savoir quelle nécessité le pousse à la vie sociale. L’auteur croit que quoique l'on puisse parler d’une nécessité physique de vivre en société pour l’homme in specie de même que de certaines nécessités psychologiques, in individuo il s’agit premièrement d’une nécessité morale. L’impératif de la vie sociale constitue un élément du droit naturel. Par conséquent la structure elle-même des phénomènes sociaux aussi bien que l’impératif de la vie sociale ont un caractère moral.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 2
Henryk Andrzejczak
Henryk Andrzejczak
Filozoficznoprawne podstawy Powszechnej Deklaracji Praw Człowieka
Le Role de la Philosophie du Droit dans les Fondements de la Declaration Universelle des Droits de l’Homme
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L’étude est conservée à un problème jusqu’alors laissé en friche. La Déclaration universelle des droits de l’homme est un document doctrinal. La question formulée dans le titre est d’une grande importance. Le point de départ des considérations est l’analyse du texte de la Déclaration. L’auteur se voit amené à conclure que les droits de l’homme proclamés par la Déclaration ont à leur base une motivation objectiviste. Ils existent indépendamment d’une institution quelconque par un acte de volonté de l’État. Ils découlent de la dignité inhérente de l’homme. L’auteur de l’article procéde à une analyse détaillée de la notion de dignité humaine et il constate qu’à son origine il y a la nature humaine, c’est-à-dire ce fait que noqs naissons comme des êtres humains dotés de la raison et de la conscience. La dignité humaine, c’est pourtant aussi une notion historique dont le contenu se précise parallèlement au progès social, politique, économique culturel, etc. Les droits de l’homme dont fait état la Déclaration, ont pour source la dignité humaine dans sa forme actuelle. C’est pourquoi à côté des droits de l’homme dits traditionnels, tels les droits personnels et politiques, la Déclaration comporte aussi des droits nouveaux — économiques, sociaux et culturels considérés comme indispensables à la dignité humaine dans son sens actuel. De la dignité humaine ainsi conçue découle le standard de droit naturel exprimé par la Déclaration dans une série de droits et d’obligations de l’individu. La Déclaration fait sien ce standard et elle se donne à elle-même le nom de standard of achievement. A la différence du droit naturel traditionnel, statique, abstrait, ahistorique — le droit de la dignité humaine, en tant que base de droits concrets de l’homme, est dynamique, établi inductivement en fonction présisément de l’état actuel de la conscience sociale, en fonction également des réussites dans le domaine des droits de l’homme. C’est cependant toujours du droit naturel, fondé sur la base solide de l’universelle et constante nature humaine ce que souligne l’art. 1 de la Déclaration. Pour la première fois dans l’histoire, ce droit a été codifie par une organisation supranaturelle et supraidéologique, se faisant écho de la conscience et de l’opinion de l’humanité entière.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Adam Stanowski
Adam Stanowski
Moralność jako wskaźnik religijności
La Moralité Comme Indice de la Vie Religieuse
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L’article s’attache à fournir une réponse à la question quels aspects des convictions et de la conduite morale d’un individu sont à considérer dans l’appréciation de son attitude religieuse et quelles conclusions touchant celle-ci l'on en peut tirer. Une caractéristique valable ici c’est le degré de conformité entre ces convictions et conduces et le modèle moral en vigueur dans un groupe religieux donné, au sein d’une religion donnée. Pour juger du degré de cette concordance il faut tenir compte des éléments qui constituent la morale et son modèle religieux, à savoir: 1. les convictions morales, c’est-à-dire les règles et les jugements reconnus, les principes directeurs de leur préférence, et leur justification; 2. le comportement moral, c’est-à-dire la conduite, les décisions prises dans les situations de conflit et leur motivation. En outre, il y a lieu de considérer l’auto-jugement global (auto-identification avec le groupe religieux et la religion) de l’individu donné ainsi que le niveau de connaissance qu’il possède du modele moral tracé par la religion.Le degré de l'éveptuel désaccord est fonction du nombre des écarts du modèle, de leur portée, compte tenu des principes directeurs de préférence du modèle; il dépend aussi du fait si les convictions non respectées sont rejetées expressément ou si elles sont simplement reconnues en apparence. Dans l'étude de la moralité d’un individu comme indice de l'intensité de sa vie religieuse, il faut tenir compte avant tout des normes et des comportements qui ont le plus de poids en égard aux principes de préférence du modèle.Les enquêtes-questionnaires (avec questions fermées) ne permettent pas de trouver de réponse à une seconde question essentielle: si, dans quelle mesure et en quelle manière les valeurs religieuses sont, dans la vie d’un individu donné, liées à des valeurs religieuses. Les documents personnels et les enquêtes ouvertes seront mieux à meme d’éclairer ce point.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Adam Rodziński
Adam Rodziński
Naturalne płaszczyzny wartościowania moralnego w świetle fdozofii personalistycznej
Les Plans Naturels de L’Appreciation Morale a la Lumlere de la Philosophie Personnaliste
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L’appréciation strictement morale d'actions et d’attitudes humaines n’est valable et précise que si eile est conforme à la vérité objective relativement au bien fundamental de la personne. Cette vérité surgit dans l'esprit humain à la suite de la confrontation (le plus souvent implicite) des états de choses projetés avec la dignité personnelle qui — une et commune à tous les hommes — diffère essentiellament de ce qu’on appelle dignité particulière. La personne, en tant que personne, possède une valeur incommensurable avec la chose: „quelque chose“ ne peut être sujet de droits ni d’obligation. C’est seulement à eile que l'on est en droit d’attribuer une dignité pour laquelle il vaut la peine de vivre et de mourir. L’affirmation de cete dignité — si eile est intégrale (c’est-à-dire judicieuse et prudente) — constitue une raison suffisante permettant de caractériser la décision humaine, dans laquelle cette affirmation a lieu, comme naturellement licite (se conformant à un degré élémentaire à la dignité humaine) ou louable (conforme à cette dignité d’une manière plus singulière). Le caractère licite ou louable sont des qualifications morales, done des êtres de pensée qui ont cependant leur fondement dans des relations réelles (actuelles ou potentielles) de dignité qui s’établissent entre ce que l'homme fait et ce qu’il est. Comme la raison exemplaire ultime de la dignité humaine — paramètre universel et fondamental de l'appréciation strictement morale — gît dans l'existence excellement personnelle de l'Absolu, l'appréciation morale comporte toujours aussi, implicitement ou explicitement, un sens religieux.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 2
Tadeusz Styczeń
Tadeusz Styczeń
W sprawie przejścia od zdań orzekających do powinnościowych
Au Sujet du Passage des Propositions de Type „Est“ à Celles de Type „Doit“
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L’article part des données fournies par la discussion actuelle où M. Black s’oppose aux partisans de Hume, discussion portant sur la possibilité du passage des propositions de type „est“ à celles de type „doit“. Tout en partageant en principe le point de vue de Black, l’auteur y apporte des modifications. Selon Black, il y a un lien logique necessaire entre ces deux types de propositions, à condition d’élargir au préalable, convenablement le terme „logique“. La modification proposée consiste à distinguer et à reconnaître, à côté des-liens de caractère logico-formel entre les propositions, des liens non moins nécessaires, mais de caractère extra-formel, se rapportant au contenu. A la suite de ses considérations, l’auteur donne raison à Hume selon qui un lien de caractère logico-formel n’est pas possible en ce qui concerne les propositions de type „est“ et „doit“; il démontre cependant la possibilité des liens nécessaires en ce qui concerne les propositions de ces types, sur le plan du contenu. A cet effet, il utilise le rapport existant entre des affirmations de type „est“ de la philosophie classique de l’être et de la philosophie de l’homme d’une part, et des affirmations de type „doit“ de l’éthique philosophique de l’autre.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 2
Ludwik Antoni Nowicki
Ludwik Antoni Nowicki
Ochrona moralnego rozwoju młodocianych przy pracy
Protection du Developpement Moral des Adolescents au Travail
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L’article analyse l’état naturel de la protection de l'adolescence au travail. L’analyse montre que les mesures de protection prévues par la loi n’embrassent pas encore tous les aspects des phénomènes menaęant le développement harmonieux des adolescents. C’est surtout le domaine de la protection de leur développement moral qui laisse encore beaucoup à desirer. Dans la littérature juridique et celle intéressant la morale sociale il a été formulé trois principes de base de la protection du travail adolescent: protection de la vie, protection de la santé, protection de la morale. En principe les mesures de protection dont dispose actuellement la loi tiennent compte des besoins de l'épanouissement physique et moral de l’adolescent; par contre, le principe de la protection morale n’a pas jusqu’à nos jours été developpée par la législation ni par la pensée morale catholique. C’est pourquoi la présente étude s’emploie à montrer les causes et les catégories de dangers qui menacent le développement moral de la jeunesse. À partir de ces données l’auteur essaie de préciser le principe de la protection de la morale et d’avancer certaines solutions susceptibles de fournir une base aux précisions ultérieures pour ce qui est des mesures de protection.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 3
Marian Burczyk
Marian Burczyk
Zagadnienie ewolucji poglądow św. Tomasza z Akwinu dotyczących formy cielesności
The Evolution of the Views of St. Thomas Aquinas on the Form of Corporality
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St. Thomas is considered the author of the doctrine of the unity of the substantial form. The question arises: did St. Thomas accept this doctrine from the first days of his scholarly work at the University of Paris, or did he evolve from the traditional pluralistic doctrine to the thesis of the unity of the substantial form? Many historians of philosophy, such as M. Wittmann, M. de Wulf, R. Zavalloni, on the basis of texts from the Commentary to the „Sententia“ (In I Sent., d. 8, q. 5, a. 2, and In II Sent., d. 3, q. 1, a. 1) concerning corporeal form, hold that there was a significant evolution in the views of St. Thomas. In their opinion, at the commencement of his scholastic career, St. Thomas allowed a plurality of substantial forms in being. Matter would first receive a corporeal form which is its basic definition, and by means of it would be prepared for the reception of other, higher forms. An analysis of the texts containing the expression „forma corporei- tatis“ carried out chronologically and with regard to the declarations of Thomas concerning the unity of form, coming from the same period as the controversial texts from the Commentary to the „Sententia“ allows us to state that there was no essential evolution in the views of Aquinas. The controversial texts can also be interpreted in the spirit of the unity of substantial form. St. Thomas very early worked out a philosophical synthesis and excluded the plurality of substantial forms. The acceptance of a form of corporeality necessarily leads to pluralism of forms in being. It is possible to speak of a significant evolution in the doctrine of St. Thomas if we acknowledge the little work De natura materiae as authentic. But, as J. M. Wyss demonstrated, St. Thomas could not be the author of that work.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Stanisław Mazierski
Stanisław Mazierski
Czy filozofia przyrody inspiracji arystotelesowsko-tomistycznej jest tzw. nauką pośrednią?
Is Natural Philosophy as Inspired by Aristotle and St. Thomas a So-Called Intermediary Science?
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In this article, the author attempts to answer the questions: 1. Is traditional natural philosophy really an intermediary science? 2. What is the source of the difference in views on the place of natural philosophy among other philosophic disciplines?On the basis of texts from St. Thomas Aquinas, chiefly from. In librum Boethii de, Trinitale and from the Commentary to the Physics of Aristotle, the author demonstrates that from the historical point of view, traditional natural philosophy cannot be regarded as an intermediary science as Ph. Selvaggi believes. In antiquity and in the Middle Ages, the intermediary sciences were, above all, astronomy, geometrical optics and music. Aristotle himself and St. Thomas Aquinas never treated traditional physics as an intermediary science.The reason why some neoscholastics put natural philosophy in the first degree and others place it in the third degree of abstraction is that the difference between the Stagirite and Aquinas—as regards the description of material beings in normal language and the explanation of the structure and changes in these beings bÿ mèans of a metaphysical system of concepts — has not been fully realized. Those who find the centre of gravity of natural philosophy in a description of the material world including matter knowable by the senses; put natural philosophy in the first degree of abstraction, and those who emphatize the explanation of material reality with help of metaphysics place it in the third degree of abstraction.Although traditional natural philosophy employs metaphysical terms, it should be placed in the first degree of abstraction, since it differs from metaphysics in its method of defining concepts.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Kazimierz Kłósak
Kazimierz Kłósak
Pojęcie przedmiotu filozofii przyrody u autorow spoza nurtu neoscholastycznego
Les Conceptions de l’Objet de la Philosophie de la Nature Chez les Auteurs en Dehors du Mouvement Néo-Scolastique
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On peut assembler de cette façon les conceptions de l’objet de la philosophie de la nature qui se trouvent en dehors du mouvement néo-scolastique, en les groupant par les courants qui sont le plus éloignés dans leur contenu des concepts de la néo-scolastique: a) les conceptions, selon lesquelles la philosophie de la nature doit constituer la représentation synthétique des résultats les plus généraux à laquelle arrivent les sciences naturelles (Erich Becher, Bernhard Bavink dans la première phase de ses opinions, Adam Schaff et les autres marxistes, Raymond Ruyer);b) les conceptions de la philosophie de la nature, qui en dehors de la fonction de la représentation synthétique de plus généraux résultats des sciences naturelles lui accordent encore une analyse épistémologique et méthodologique de la connaissance scientifique (Wilhelm Ostwald, Wladislas Biegański);c) les conceptions de la philosophie de la nature qui la réduisent entièrement à une analyse épistémologique et méthodologique de la connaissance scientifique (E. W. Beth, Auguste Guzzo);d) les conceptions de la philosophie de la nature qui englobent dans une certaine mesure lès questions qui se trouvent en dehors des recherches d’un naturaliste et d’un théoricien des connaissances scientifiques (Bavink dans la période plus tardive de sa vie, Boleslas Gawęcki, Joachim Metallman, Nicolai Hartmann).Quelles sont les remarques au sujet de ces conceptions si nous les prennons séparément?Aujourd’hui, nous pouvons apercevoir, sans difficultés, ce qu’on n’a pas vu auparavant à cause de certaines circonstances historiques qu’il y a un autre objet de la recherche scientifique quand pour le but des considérations philosophiques* nous prennons les sciences naturelles — et un autre quand ce but est formé par les méditations philosophiques au sujet de la nature.D’où, contrairement à ce que prétendait Bavink dans Die Hauptfragen der heutigen Naturphilosophie (Berlin 1928) nous ne pouvons pas découvrir dans la théorie générale de la connaissance, appliquée d’habitude à des sciences naturelles et de la méthodologie générale des sciences, aucune partie intégrale de la philosophie de la nature. Gomme a remarqué Gawęcki, „la dénomination de la philosophie ou de la théorie des sciences naturelles et non pas des sciences tout court, semble être plus juste pour la critique des notions élémentaires et des principes [des sciences avant tout naturelles].“ Dans la littérature philosophique polonaise, Henri Struve remarquait déjà que „la philosophie de la nature et la philosophie des sciences naturelles — ce sont deux branches tout à fait distinctes qui se complètent réciproquement mais on ne doit pas les confondre“.Puis, il faut dire au sujet de la conception de la philosophie de la nature comme d’une synthèse des résultats des sciences naturelles que si une telle synthèse aurait été réalisée, elle serait „quelque chose de neuf ce qu’on ne trouve pas encore dans les résultats mêmes des sciences spéciales“, mais, pourtant, on ne pourrait pas appeler la philosophie de la nature une science qui représenterait une telle synthèse, car elle ne s’occuperait pas des problèmes d’autre ordre en comparaison avec les problèmes des sciences naturelles. On ne peut pas oublier les difficultés qu’on trouve en liaison avec les perceptions du but de la philosophie de la nature dans la réalisation de la synthèse des résultats des sciences naturelles. Metallman connaissait bien ces difficultés. Il voit une difficulté en ce que cette synthèse devrait se faire avec le facteur de la sélection, liée avec certains points de vue conducteurs; cependant, les sciences naturelles ne nous montreront pas ces points de vue et c’est pourquoi „elles ne nous amèneront pas ni à l’une ni à l’autre synthèse“, qui est possible seulement quand on fixe l’objet à la philosophie de la nature. Metallman voit une autre difficulté dans l’union des résultats des sciences naturelles en une image incontestable, dont la formation est seulement possible après l’éloignement de certaines hypothèses des sciences naturelles, par conséquent de tout cela ce que dans les sciences de la nature suscite de nouveaux problèmes et pousse à résoudre. Enfin, si la dite synthèse doit lier dans sa trame des hypothèses, même si ces hypothèses en prennent la première place, c’est ainsi, affirme Metallman, la philosophie de la nature, concentrée à la formation de cette synthèse „serait une fonction non seulement des sciences naturelles comme une science positive de la nature, mais en même temps une fonction des hypothèses particulières physiques, biologiques ou cosmologiques. Elle dépenderait de leur sort, du succès des certaines méthodes de la recherche“.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
A. G. Van Melsen, A. Lićwinko
A. G. Van Melsen
Filozofia przyrody
Filozofia przyrody
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Zygmunt Hajduk
Zygmunt Hajduk
D. Bohma determinizm wobec niektorych wspołczesnych ujęć tego zagadnienia
The Determinism of D. Bohm as Seen Against Some Contemporary Views of the Problem
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We find no clear definition of determinism in the works of Bohm. He distinguishes between complete and incomplete determinism. The idea of complete determinism was quantitatively expressed by Newton’s law which enables us to determine the state of a system in a given situation at any moment t and the velocity of the system at the moment t0. This type of determinism was queried by quantum mechanics, since, in accordance with the principle of non-determination, the inconstants of a system cannot be established with accuracy. In quantum mechanics, statistical laws govern: they take the place of deterministic laws and are the expression of incomplete determinism.Bohm very clearly distinguishes the concept of determinism from the concept of causality. There are three groups of views, at present, on the question of the mutual relation of the concepts of causality and determinism. In the first group of views it is held that the concept of causality is superior to the concept of determinism (L. de Broglie, F. S. G. Northrop). Those authors (A. S. Eddington, H. Reichenbach) in the second group do not usually distinguish causality from determinism, and for them a major part of the Concept of Causality is the concept of foreseeing. Those authors (D. Bohm, M. Bunge, J. Metallmann) who can be included in a third group accept the relationship of the superiority of the concept of determinism over the concept of causality. The principal thesis of this view-point is: there are various kinds of laws of nature, e. g. causal laws, statistical laws. The concept of causality cannot be identified with the concept of determinism since it is equally possible to speak of causal determinism depending on what kind of laws are distinguished. Each new kind of laws of nature significantly enriches determinism.
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