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21. Fichte-Studien: Volume > 43
Manuel Roy Fichte et Schiller: La fonction de l’art dans la pensée de Fichte à la lumière de la querelle des Heures
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In June 1795, Fichte sent his second contribution to Schiller’s journal, The Hours : his article, Concerning the Spirit and the Letter within Philosophy, where he explains his views on the relation between aesthetic experience and virtue. Schiller, who had until then been rather well-disposed toward Fichte, violently and categorically rejected the article, thus putting an end to their friendship. Scholars commonly understand this conflict as a predictable confrontation between two irreconcilable conceptions of the moral ideal : that of the cold philosopher, personified by Fichte, aiming to repress sensibility, and that of the warm-blooded artist, personified by Schiller, advocating for it. I shall argue that this interpretation is untenable, since Fichte and Schiller not only shared the same conception of virtue, but also agreed concerning the function assumed by the artist in mankind’s moral education. Rather, the conflict arose because Schiller could not bear the idealistic conception of nature – as pure representational activity – which Fichte thought was implied by these views.En juin 1795, Fichte fit parvenir à Schiller sa deuxième contribution destinée aux Heures : l’article Sur l’esprit et la lettre dans la philosophie, où il expose ses idées sur le rapport entre l’expérience esthétique et la vertu. Schiller, jusque-là plutôt bien disposé envers Fichte, lui opposa un refus de publication violent et catégorique, mettant ainsi un terme à leur amitié. On interprète habituellement cette rupture comme la conséquence prévisible d’une rencontre opposant deux conceptions irréconciliables de l’idéal moral : celle du froid philosophe, incarné par Fichte, visant à réprimer la sensibilité, et celle de l’artiste brûlant de passion, incarné par Schiller, souhaitant la glorifier. Je conteste pour ma part cette interprétation, Fichte et Schiller s’accordant non seulement sur la manière dont la vertu devait être conçue, mais également sur la fonction assumée par l’artiste dans l’éducation morale de l’être humain. À l’origine du conflit se trouve plutôt l’aversion de Schiller pour la conception idéaliste de la nature (comme activité purement représentative) qui, selon Fichte, était impliquée par ces idées.
22. Fichte-Studien: Volume > 43
Laurent Guyot Novalis et la question du prolongement poétique de la philosophie de Fichte
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Novalis explores the possibilities contained within the intellectual intuition highlighted by Fichte. The pure I or intellectual intuition is the absolute organ of the mind ; it no longer serves merely to deduce the world a priori, as it does in Fichte, but to discipline all the other organs with which man is endowed. It does so in order to abstract the body and soul from any mechanical influence and allow each of our senses to engender an a priori world. This article set outs to analyse the meaning of this aesthetic and poetic extension of Fichte’s philosophy.Novalis explore les possibilités recelées par l’intuition intellectuelle mise en évidence par Fichte. Le Moi pur ou intuition intellectuelle est l’organe absolu de l’esprit qui ne servira plus simplement, comme chez Fichte, à déduire a priori le monde, mais à discipliner la totalité des autres organes dont l’homme est pourvu, de manière à pouvoir soustraire le corps et l’âme à toute influence mécanique, et à permettre à chacun de nos sens d’engendrer un monde a priori. C’est le sens de ce prolongement esthétique et poétique de la philosophie de Fichte que cet article se propose d’analyser.
23. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Izydora Dambska Concepts de langue et vérité
24. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Antoine De Coninck, Albert Félicé Le réel conscient, fondement ontologique de la vérité
25. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
B. de Spengler Vérité et identité
26. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Auguste Etcheverry Jugement et vérité
27. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Aimé Forest La vérité habite l’homme intérieur
28. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Robert Givord La vérité est une médiation
29. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
J.M. Délivré Le besoin de dire la vérité ou la nostalgie de l’Être
30. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Henry W. Johnstone, Jr. De la vérité en métaphysique
31. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Georges Mourélos La vérité comme création et comme révélation
32. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Guillaume Ladrille La conscience est-elle créatrice de la vérité ?
33. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Joseph Moreau Vérité et valeur
34. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Arnould Bayart Vérité et logique modale
35. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Jean-Dominique Robert Nécessité d’un ultime «retour au fondement» de la vérité
36. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Emanuele Riverso Le mot « vérité »
37. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Leo Apostel Vérité et expérimentation
38. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Henri Arzeliès Peut-on parler de «la» vérité ?
39. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Fernand Brunner L’extension du domaine de la vérité
40. Actes du XIIe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue Française: Volume > 1
Paul Chauchard Possibilités et limites de l’accès scientifique à la v érité