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21. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
J. Rumney The Sociological Review, Journal of the Institute of Sociology
22. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
T. H. Marshall The Social and Political Ideas of some Representative Thinkers of the Victorian Age
23. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
D. Christie Tait Insecurity : A Challenge to America
24. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Robert Briffault Recovery through Revolution
25. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Robert Briffault The Menace of Fascism
26. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Alexander Farqharson Christianity and the Crisis
27. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Robert Briffault The Fear of the Dead in Primitive Religion
28. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
A. Emanuel A People's Charter or the Terms of Prosperity and Freedom within a Community
29. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
J. Rumney General Sociology
30. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
J. Rumney Modern Thought on Trial
31. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
J. Rumney A Survey of Sociology
32. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
Herman Finer The Victorian Aftermath, 1901-1914
33. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
H. Lauterpacht La Notion du „Politique“ et la théorie des différends internationaux
34. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
J. Rumney The Rise of the City
35. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
Robert Briffault The Jealousy of the Gods, and Criminal Law at Athens
36. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
Julian Gumperz New Frontiers
37. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
K. A. Wittfogel The Foundations and Stages of Chinese Economic History
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Der vorliegende Aufsatz stellt einleitend fest, dass nur eine an materiellen Gesichtspunkten orientierte Betrachtungsweise im Stande ist, die Frage des Wertes der chinesischen Geschichtsquellen zu beantworten, an der eine rein philologische Methodologie notwendigerweise scheitern musste. Sachliche, nicht formelle Probleme haben im Mittelpunkte einer wirklich wissenschaftlichen Analyse der chinesischen Wirtschafts- und Sozialgeschichte zu stehen.Gab es ursprünglich in China eine kollektive Agrarordnung, und falls ja, wie war sie beschaffen ? Welche Ursachen hatten Beginn, Blüte und Verfall dieser Agrarkommune ? Welche Ursachen hatte der Verfall der auf ihrer Grundlage errichteten Feudalordnung ? Welches waren Charakter und Bewegungsgesetz des aus Chinas Feudalismus hervorwachsenden Produktionssystems ? Welches war das Prinzip seiner Krisen und seines fehlerhaften Kreislaufs ?W. s Aufsatz sucht, gestützt auf die These, dass Chinas nachfeudale Gesellschaft eine spezifische Schattierung einer allgemeineren ,orientalisch’ — bürokratischen Sozialordnung gewesen sei, einen Teil dieser Fragen zu beantworten und für die übrigen zu umreissen, in welcher Richtung ihre wissenschaftliche Beantwortung erfolgen muss. Der abschliessende Vergleich mit der durchaus andersartigen sozial ökonomischen Entwicklung Japans zeigt die Bedeutung einer wirtschaftsgeschichtlichen Analyse Chinas auch für ein wissenschaftliches Verständnis der gegenwärtigen gesellschaftlichen Erscheinungen des Fernen Ostens.L’article précédent commence par poser que seule une méthode orientée à des points de vue matériels est en état de donner une réponse à la question de la valeur des sources de l’histoire chinoise, tandis qu’une méthode qui tendrait à la pure philologie échouerait nécessairement. Ce sont des problèmes de faits et non des problèmes formels qui doivent être au centre d’une analyse véritablement scientifique de l’histoire économique et sociale de la Chine.A-t-il existé primitivement en Chine une organisation agraire collective et dans le cas où il faudrait répondre par l’affirmative, quelle était cette organisation ? Quelles furent les causes du début, de l’épanouissement, et de la décadence de ces communautés agraires ? Quelles furent les causes de la décadence de l’ordre féodal fondé sur ces communautés ? Quels furent le caractère et la loi d’évolution du système de production sorti de la féodalité chinoise ? Quel fut le principe des crises et du cycle défectueux de ce système ?L’article de W. s’appuie sur la thèse selon laquelle la société post-féodale chinoise était un aspect particulier de l’ordre social général qu’on appelle bureaucratie „orientale“, et cherche ainsi à donner partiellement réponse aux questions précédentes, et pour le reste à déterminer dans quelles directions une réponse scientifique doit survenir. La comparaison finale entre l’évolution économique et sociale chinoise et l’évolution toute différente du Japon montre la signification qu’une analyse d’histoire économique de la vieille Chine présente aussi pour une compréhension scientifique des phénomènes sociaux actuels en Extrême-Orient.
38. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Charles A. Beard The Social Sciences in the United States
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Der Verfasser bemerkt, dass die Geisteswissenschaften in U. S. A. im Unterschied zu Europa fast ausschliesslich in d*nn offiziellen Rahmen der Universitäten betrieben werden. Sie standen nicht im Mittelpunkt des allgemeinen Interesses und genossen keine starke materielle Unterstützung. Die Sozialforschung hat sich ausserordentlich spezialisiert, und obwohl, namentlich durch den Einfluss der deutschen Soziologie, ein gewisses Interesse an Synthesen und Zusammenfassungen besteht, sind dennoch die amerikanischen Sozialwissenschaften ständig davon bedroht, sich mit einer blossen Anhäufung von grossem empirischem Material zu begnügen. Es ist geradezu ihre Schicksalsfrage, ob es ihnen gelingt, die ausgedehnten materialreichen Einzeluntersuchungen zu einer wirklichen gesellschaftlichen Theorie zu organisieren.L’auteur remarque que, aux États-Unis, à la différence de ce qui se passe en Europe, les sciences morales sont cultivées presque exclusivement dans le cadre officiel des universités. Elles n’étaient pas pour le public un objet d’intérêt central et ne recevaient pas de grands soutiens matériels. La recherche sociale s’est extraordinairement spécialisée, et encore que, en particulier sous l’influence de la sociologie allemande, il existe un certain intérêt pour les synthèses et les ensembles, les sciences sociales américaines restent cependant toujours menacées de se contenter d’une simple accumulation d’un matériel empirique considérable. C’est là véritablement pour elles la question décisive : réussiront-elles à organiser les recherches de détail étendues, riches de faits, en une véritable théorie de la société ?
39. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Martha Champion Patterns of Culture
40. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Morris Ginsberg A Study of History