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241. Chiasmi International: Volume > 9
Patrick Burke The Philosophy of Claude Lefort
242. Chiasmi International: Volume > 9
Patrick Burke The Philosophy of Claude Lefort
243. Chiasmi International: Volume > 12
Simone Frangi Vivant Jusqu’à La Mort (French)
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Vivant jusqu’à la mortCompte-rendu de A. Cavazzini, A. Gualandi (édité par), Logiche del vivente.Evoluzione, sviluppo, cognizione nell’epistemologia francese contemporanea,“Discipline filosofiche” XIX, I, Quodlibet, Macerata 2009Le nouveau recueil d’essais consacrés à une épistémologie pour la discipline philosophique, sous la direction de A. Cavazzini et A. Gualandi, se structure autourd’une idée forte de Bergson, celle d’ « attention à la vie ». Cette idée est utilisée comme instrument herméneutique pour désigner un aspect de la culture philosophique française du XIXè siècle et de l’époque contemporaine en particulier, qui voit dans l’épistémologie de la biologie un lieu de rencontre entre des perspectives hétérogènes, ainsi qu’un moyen de vérifier l’état actuel des sciences de la vie et d’étudier la possibilité d’une philosophie de la biologie prenant en compte et mettant profit les impulsions des avancées scientifiques. Le recueil cherche à rendre compte de la nouveauté du paradigme biologique contemporain, qui vise un degré extrême de synthèse entre les savoirs et les disciplines liées au « champ biologique ». Logiche del vivente parvient donc à rendre compte de la nouvelle approche synthétique du biologique, ouvrant à ce syncrétisme de positions qui contribue à sa définition contemporaine : évolution, développement et cognition, réunis dans une même perspective, sont les instruments d’une réécriture du vocabulaire et des catégories de la réflexion biologique, indépendamment de l’alternative paralysante entre le « mauvais » vitalisme et le mécanisme.Vivant jusqu’à la mortReview of A. Cavazzini, A. Gualandi (edited by), Logiche del vivente.Evoluzione, sviluppo, cognizione nell’epistemologia francese contemporanea,“Discipline filosofiche” XIX, I, Quodlibet, Macerata 2009Edited by A. Cavazzini and A. Gualandi, this new collection of essays devoted to an epistemology for the philosophical discipline is structured around one of Bergson’s powerful ideas, that of “attention to life.” This idea is used as a hermeneutic structure in order to outline an aspect of the French philosophical culture of the 19th century and of the contemporary epoch in particular. What one sees is that the epistemology of biology is a place of encounter between heterogeneous perspective. As well, it is a means to verify the current state of the life sciences and to study the possibility of a philosophy of biology which would take account of the novelty of the contemporary biological paradigm, a paradigm that aims at an extreme degree of synthesis between the sciences and the disciplines connected to the “biological field.” Logiche del vivente therefore manages to take account of the new synthetic approach of biology, opening itself up to a syncretism of positions which contributes to its contemporary definition: evolution, development and cognition, united in one perspective, are instruments of are-writing of the vocabulary and the categories of biological reflection, independently of the paralyzing alternative be “bad” vitalism and mechanism.
244. Chiasmi International: Volume > 17
Anna Caterina Dalmasso La désillusion créatrice. Merleau-Ponty et l’expérience du réel
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La question du réel, se trouvant au coeur de la tradition métaphysique, implique une conception de la rationalité et de son pouvoir définitoire-prédicatif, bref, elle met en jeu notre croyance, voire notre confiance en la raison humaine, car elle confronte la pensée avec le surgissement d’un point insaisissable, à savoir avec les possibilités et les limites du concept. Le réel est donc ce qui oppose une certaine résistance à la conceptualisation. Le questionnement du réel devra alors se nourrir d’une attitude se situant au niveau de l’opacité du sens, « au niveau de la défaillance du concept, au moment où celui-ci révèle sa limite et laisse, à côté de lui, un résidu indéterminé ». C’est précisément une telle méthode, que Guillaume Carron reprend de Merleau-Ponty dans son ouvrage La désillusion créatrice. Merleau-Ponty et l’expérience du réel ; de cette résistance du réel au concept, Carron fait le point de départ de son étude ainsi que le fil rouge de son cheminement à travers la réflexion merleau-pontienne.The question of the real, found in the heart of the metaphysical tradition, implies a conception of rationality and its defining-predicative power which, briefly, puts into play our belief, and even our faith in human reason, for it confronts thought with the emergence of an ungraspable point, that is to say with the possibilities and limits of the concept. The real is consequently that which opposes a certain resistance to conceptualization. Questions regarding the real shall therefore nourish themselves with an attitude that positions itself at the level of the opaqueness of sense, “at the level of the breakdown of the concept, at the moment when it reveals its limit, and leaves, next to it, an indeterminate residue.” It is precisely such a method that Guillaume Carron takes away from Merleau-Ponty in his work The Creative Disillusion: Merleau-Ponty and the Experience of the Real. This resistance of the real to the concept is the starting point of Carron’s study as well as the guiding thread of his path through the thought of Merleau-Ponty.La questione del reale si trova al cuore della tradizione metafisica. Implica una precisa concezione della razionalità e del suo potere definitorio-predicativo. In altri termini mette in gioco la nostra credenza, al limite la nostra fede nella ragione umana, perché mette a confronto il pensiero con l’insorgenza di un punto inafferrabile, quindi con le possibilità e i limiti del concetto stesso. Il reale è ciò che oppone una certa resistenza alla concettualizzazione. L’interrogazione del reale dovrà allora nutrirsi di un’atteggiamento capace di situarsi a livello dell’opacità del senso, “a livello del cedimento del concetto, quando questo rivela il suo limite e lascia accanto a sé un residuo indeterminato”. È questo il metodo che Guillaume Carron riprende da Merleau-Ponty nel suo libro La désillusion créatrice. Merleau-Ponty et l’expérience du réel. Ed è quest’idea di una resistenza del reale al concetto, a costituire il punto di partenza della riflessione di Carron e il filo rosso del suo cammino attraverso il pensiero merleau-pontyano.
245. Chiasmi International: Volume > 17
Frédéric Jacquet Phénoménologie du mouvement. Patočka et l’héritage de la physique aristotélicienne
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Le livre de Dragoş Duicu présente l’oeuvre de Patočka comme une phénoménologie du mouvement dont il opère l’archéologie conceptuelle en effectuant un retour à Aristote, ce qui permet aussi de situer Patočka dans le paysage phénoménologique. Il est établi tout au long de l’ouvrage que le mouvement est le sens d’être de l’être, dès lors compris comme physis, et de l’existence elle-même qui est mouvement de part en part, force voyante. Ce qui pour la tradition philosophique échappe au mouvrement est en vérité toujours une extase du mouvement, déposé par lui, et s’avère dès lors secondaire, dérivé, car sédimenté. La philosophie de Patočka se donne donc indissociablement comme une ontologie et une phénoménologie du mouvement, l’auteur proposant un approfondissement cosmologique de la phénoménologie largement étayé sur une théorie de la sédimentation. Le livre offre une interprétation aussi érudite qu’originale de la cosmologie et de l’anthropophénoménologie patočkiennes.The book of Dragoş Duicu, presents the work of Patočka as a phenomenology of movement wherein he operates a conceptual archaeology by returning to Aristotle, and which allows him to situate Patočka in the phenomenological landscape. It is established throughout the work that movement is the meaning of being, therefore understood as physis, and that existence itself is all-around movement, force voyante. That which in the philosophical tradition escapes from movement is always in truth an ecstasy of movement, laid by the movement, which happens to be secondary and derivative, for it is ‘sedimented.’ The philosophy of Patočka presents itself therefore inseparably as an ontology and phenomenology of movement, as the author proposes a cosmological deepening of phenomenology largely supported by a theory of sedimentation. The book offers an interpretation as scholarly as it is original of the Patočkian cosmology and anthropo-phenomenology.Il libro di Dragoş Duicu presenta l’opera di Jan Patočka come una fenomenologia del movimento di cui l’autore svolge un’archeologia concettuale, che risale fino ad Aristotele, e al tempo stesso una ricollocazione all’interno del paesaggio fenomenologico. Il libro è attraversato da un filo rosso: il movimento è il senso d’essere dell’essere, in quanto physis, e dell’esistenza stessa, in quanto movimento anch’essa da cima a fondo, movimento o forza veggente. In questa prospettiva, ciò che per la tradizione filosofica si sottrae al movimento è sempre in verità un’estasi del movimento, depositata dal movimento stesso e proprio perciò secondaria, derivata, sedimentata. La filosofia di Patočka si offre, indissociabilmente, come un’ontologia e come una fenomenologia del movimento, come mostra Duicu sulla base di un approfondimento cosmologico della fenomenologia patockiana largamente incentrato su una teoria della sedimentazione. Il libro offre quindi un’interpretazione tanto erudita quanto originale della cosmologia e dell’antropologia patočkiane.
246. Chiasmi International: Volume > 21
Judith Wambacq L’animisme de Merleau-Ponty et Guattari. Une critique de La machine sensible de Stefan Kristensen
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Avec son livre La machine sensible, Stefan Kristensen réalise, de façon magistrale, deux objectifs. D’abord, il met en lien la pensée de deux philosophes qui sont à première vue très éloignés l’un de l’autre. Il s’agit de Félix Guattari et de Maurice Merleau-Ponty. Traditionnellement, Merleau-Ponty est considéré comme le philosophe du corps, tandis que Guattari est connu comme le philosophe du corps sans organes. Merleau-Ponty est un phénoménologue, tandis que Guattari prétend abandonner le point de vue du sujet. Kristensen démontre avec succès quel est le terrain commun des deux auteurs : la critique de la conception psychanalytique du sujet.Le deuxième objectif du livre découle directement du premier : présenter au lecteur une alternative à la conception intimiste de la subjectivité, soit comprendre la subjectivité comme fondamentalement parcourue par une altérité. Merleau-Ponty a été l’un des premiers, à l’instar de Paul Schilder, à mettre l’accent sur le caractère collectif et intersubjectif de cette altérité. Guattari a compris que cette altérité possède des sédiments politiques et historiques.With his book La machine sensible, Stefan Kristensen accomplishes two goals in a masterly way. First, he links the works of two philosophers who are very different at first sight: Maurice Merleau-Ponty and Félix Guattari. Traditionally, Merleau-Ponty is considered the philosopher of the body, whereas Guattari is known as the philosopher of the body without organs. Merleau-Ponty is a phenomenologist, whereas Guattari pretends to abandon the point of view of the subject. Kristensen identifies the common ground of the two authors: the criticism of the psychoanalytical conception of the subject.The second goal of the book derives directly from the first: present the reader with an alternative for the intimate conception of subjectivity, that is, present him or her with the idea that subjectivity is always characterized by an alterity. Merleau-Ponty, following the example of Paul Schilder, has been one of the first to stress the collective and intersubjective nature of this alterity. Guattari has understood that this alterity has political and historical sediments.Con il suo libro La machine sensible, Stefan Kristensen realizza magistralmente due obiettivi. Innanzitutto, egli mette in relazione il pensiero di due filosofi a prima vista molto distanti tra loro: Félix Guattari e Maurice Merleau-Ponty. Se tradizionalmente Merleau-Ponty è considerato il filosofo del corpo, Guattari è invece noto come il filosofo del corpo senza organi. Merleau-Ponty è un fenomenologo, mentre il pensiero di Guattari intende abbandonare il punto di vista del soggetto. Kristensen propone allora di leggere la critica della concezione psicoanalitica del soggetto come terreno comune tra i due autori. Il secondo obiettivo del libro discende direttamente dal primo: presentare al lettore un’alternativa alla concezione intimista della soggettività, ovvero concepire la soggettività come fondamentalmente percorsa da un’alterità. Merleau-Ponty è tra i primi, sulla scorta di Paul Schilder, a porre l’accento sul carattere collettivo e intersoggettivo di questa alterità. Dal canto suo, Guattari ha compreso che questa alterità possiede dei sedimenti politici e storici.
247. Chiasmi International: Volume > 21
Charles Bobant Compte Rendu de Anna Caterina Dalmasso, Le Corps, c’est l’écran. La philosophie du visuel de Merleau-Ponty
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Dans son livre Le corps, c’est l’écran. La philosophie du visuel de Merleau-Ponty, Anna Caterina Dalmasso met en évidence la présence de la pensée merleau-pontienne dans les réflexions contemporaines relevant des visual studies, de la médiologie et des études cinématographiques. Les analyses menées révèlent un Merleau-Ponty à l’origine d’un certain nombre de « tournants » majeurs dans le questionnement, touchant notamment à la conception de l’image (de l’image copie d’un modèle à l’image qui nous regarde) et du médium (du modèle de la transparence à celui de l’opacité). Enfin, l’une des ambitions – et l’une des réussites – de l’ouvrage est de restituer l’apport significatif de Merleau-Ponty pour les film studies. A.C. Dalmasso jette des lumières nouvelles sur une interrogation en constante évolution, en s’appuyant à la fois sur les textes bien connus (« Le cinéma et la nouvelle psychologie », L’OEil et l’esprit) et les « inédits » (Le Monde sensible et le monde de l’expression).In her book Le corps, c’est l’écran. La philosophie du visuel de Merleau-Ponty, Anna Caterina Dalmasso brings to light the presence of Merleau-pontian thought in contemporary reflections relevant to visual studies, as well as film and media studies. The analyses she carried out reveal a Merleau-Ponty at the origin of a certain number of major “turns” in the inquiry, touching notably on the conception of the image (from the image as copy of a model to the image that looks at us) and of the medium (from the model of transparency to that of opacity). Besides, one of the ambitions – and one of the successes – of the work is to demonstrate the significant contribution of Merleau-Ponty for film studies. A.C. Dalmasso throws new light on an interrogation in constant evolution, stressing both well-known texts (“Film and the New Psychology,” Eye and Mind) and unpublished manuscripts (Le monde sensible et le monde de l’expression).Nel volume Le corps, c’est l’écran. La philosophie du visuel de Merleau-Ponty, Anna Caterina Dalmasso mette in evidenza la presenza del pensiero merleau-pontyano nelle riflessioni contemporanee dei visual studies, della teoria del cinema e dei media. Le analisi che vi sono condotte rivelano un Merleau-Ponty all’origine di alcune importanti “svolte”, che riguardano in particolare la concezione dell’immagine (dall’immagine come copia di un modello ad un’immagine che ci guarda) e del medium (da un modello basato sulla trasparenza a uno che fa perno sulla sua opacità). Inoltre, una delle ambizioni – e uno degli aspetti più originali – dell’opera è quella di restituire il significativo apporto di Merleau-Ponty per l’ambito dei film studies. A.C. Dalmasso fa luce in modo innovativo su un tema di ricerca in costante evoluzione, appoggiandosi ad un tempo su scritti più noti (come “Il cinema e la nuova psicologia” e L’occhio e lo spirito) e su alcuni testi “inediti” (in particolare Le monde sensible et le monde de l’expression).
248. Chiasmi International: Volume > 21
Matteo Segatto Recensione ad “aut aut”, numero 381, “Sartre/Merleau-Ponty. Un dissidio produttivo”
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Hanno ancora qualcosa da dirci Sartre e Merleau-Ponty oggi? Sessant’anni dopo i loro “contraccolpi” – consumatisi nella redazione di una rivista come “Les Temps Modernes” – vale ancora la pena di ripercorrere quella storia? È questa la domanda che apre l’ultimo numero di “aut aut” curato da Enrica Lisciani-Petrini e Raoul Kirchmayr. Si tratta di una domanda a cui è difficile rispondere e che ha a che fare con che cos’è la filosofia (oggi) e – soprattutto – che cos’è un filosofo (oggi). È una domanda che, nel caso di Sartre e di Merleau-Ponty, non chiama in causa soltanto due differenti scuole di pensiero, ma anche due modi differenti di intendere il mondo, la politica, gli altri e le relazioni con essi. Ma si tratta, in fondo, di una domanda che – con le parole di Sartre – ci porta a riflettere sul fatto che “si è filosofi quando si è morti”, poiché – in fondo – “fino a quando viviamo, siamo uomini che, tra l’altro, scrivono opere di filosofia”. E allora la risposta a quella domanda non può che essere affermativa: il loro “dissidio produttivo” (è questo il titolo del numero 381 di “aut aut”) è un atto vitale, un incontro-scontro necessario fra persone che fanno vivere la filosofia.Sartre et Merleau-Ponty ont-ils encore quelque chose à nous dire aujourd’hui ? Soixante années après leurs « contrecoups » – qui ont eu lieu dans la rédaction de la revue Les Temps Modernes – vaut-il encore la peine de reparcourir cette histoire ? Voilà la question qui ouvre le dernier numéro de la revue « aut aut », sous la direction d’Enrica Lisciani-Petrini et Raoul Kirchmayr. Il s’agit d’une question à laquelle il est difficile de répondre et qui est en rapport avec ce qu’est la philosophie (aujourd’hui) et – surtout – avec ce qu’est un philosophe (aujourd’hui). Il s’agit d’une question qui, chez Sartre et Merleau-Ponty, ne met pas seulement en cause deux courants de pensée différents, mais aussi deux différentes manières de concevoir le monde, la politique, les autres et les relations qu’on entretient avec eux. Mais il s’agit, au fond, d’une question qui – en employant les mots de Sartre – nous conduit à réfléchir sur le fait que « l’on est philosophes quand on est morts », parce que – après tout – « jusqu’à ce que nous vivons, nous sommes des hommes qui, entre autre, écrivent des oeuvres de philosophie ». Alors la réponse à cette question ne peut être qu’affirmative : leur « différend productif » (c’est le titre du numéro 381 de « aut aut ») est un acte vital, en même temps une rencontre et un affrontement nécessaires entre des personnes qui font vivre la philosophie.Do Sartre and Merleau-Ponty still have something to say to us today? Sixty years after their “breakup” – which took place in editing the journal Les Temps Modernes – is it still worthwhile to go over this history? This is the question that opens the last issue of the journal “aut aut,” under the direction of Enrica Lisciani-Petrini and Raoul Kirchmayr. It is a question to which it is difficult to respond and bears on what philosophy is (today) – and especially with what a philosopher is today. It is a matter which, according to Sartre and Merleau-Ponty, does not only call into question two different currents of thought, but also two different ways of conceiving the world, politics, others and the relations between them. But it is a matter, at its core, which – employing the words of Sartre – leads us to reflect on the fact that “we are philosophers when we are dead,” because – after all – “while we are alive, we are men who, among other things, write works of philosophy.” Thus, the response to this question can only be affirmative: their “productive difference” (this is the title of number 381 of “aut aut”) is a vital act, at the same time an encounter and necessary confrontation between persons who breathe life into philosophy.
249. Cultura International Journal of Philosophy of Culture and Axiology: Volume > 7 > Issue: 2
Md. Munir Hossain Talukder Going to School in South Asia
250. Cultura International Journal of Philosophy of Culture and Axiology: Volume > 7 > Issue: 2
Cristobal Orrego Steven J. Jensen, Good and Evil Actions. A Journey through Saint Thomas Aquinas
251. Palimpsest: Volume > 10 > Issue: 1
Akwugo Emejulu and Francesca Sobande London, To Exist Is to Resist: Black Feminism in Europe
252. Palimpsest: Volume > 10 > Issue: 1
Vincent Brown Boston, Tacky’s Revolt: The Story of an Atlantic Slave War
253. Palimpsest: Volume > 10 > Issue: 1
Robin Mitchell, Venus Noire: Black Women and Colonial Fantasies in Nineteenth-Century France
254. Palimpsest: Volume > 10 > Issue: 1
Jessica Marie Johnson, Wicked Flesh: Black Women, Intimacy, and Freedom in the Atlantic World
255. Palimpsest: Volume > 10 > Issue: 1
Mame-Fatou Niang Leiden Boston, Identités françaises: Banlieues, féminités et universalisme
256. Palimpsest: Volume > 10 > Issue: 1
Joshua Bennett, Cambridge, MA: Being Property Once Myself: Blackness and the End of Man
257. Palimpsest: Volume > 10 > Issue: 1
Nicole R. Fleetwood, Cambridge, MA, Marking Time: Art in the Age of Mass Incarceration
258. Palimpsest: Volume > 10 > Issue: 1
Hannah E. Britton Champaign-Urbana: Ending Gender-Based Violence: Justice and Community in South Africa
259. The American Journal of Semiotics: Volume > 37 > Issue: 1/2
W. John Coletta, Ryan T. Polacek Critical Global Semiotics
260. Sign Systems Studies: Volume > 48 > Issue: 2/4
Nelly Mäekivi, Silver Rattasepp Observing wildlife through the eyes of Nils Lindahl Elliot