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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Antoni Korcik
Antoni Korcik
Gottlob Frege jako twórca pierwszego systemu aksjomatycznego współczesnej logiki zdań
Gottlob Frege, auteur du premier systeme axiomatique de la logique des propositions contemporaines
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Gottlob Frege (1848—1925), auteur du premier système axiomatique de la logique contemporaine des propositions marque une nouvelle époque dans l’histoire de la logique. Le système axiomatique de la logique des propositions, exposé par Frege dans l’ouvrage intitulé Begriffsschrift, eim der arithmetischen nach gebildete Formelsprache des reinen Denkens, Halle a. S., 1879, se fonde sur certaines thèses et règles de démonstration. Les thèses du système de Frege sont suivantes: un terme primitif ou indéfinissable (la négation), un terme secondaire ou définissable (l’implication), et neuf thèses fondamentales ou axiomes. Les règles de démonstration sont les suivantes: la règle de substitution et la règle d* inférence (au sens de modus ponens). C’est pour la première fois qu’une analyse fouillée de la Begriffsschrift est entreprise. A cette occasion, l’auteur, s’appuyant aussi sur les autres travaux de Frege, présente son idéographie dans la première phase de son évolution.
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Roczniki Filozoficzne:
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Wacław Eborowicz
Wacław Eborowicz
Ks. Konstanty Michalski C. M. (1879-1947)
Konstanty Michalski C. M. (1879—1917)
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Konstanty Michalski naquit en Silésie en 1879. Ses études secondaires terminées à Cracovie, il y entra dans la Congrégation des Lazaristes et fut ordonné prêtre en 1903. Il étudia ensuite la philosophie à l’Université de Cracovie et à l’Institut Supérieur de Philosophie à Louvain. Depuis 1914 il enseigne la philosophie à la Faculté Théologique de l’Université Jagellonienne. A partir de 1927 il est membre de l’Académie Polonaise des Sciences. En 1931/32 il fut élu recteur de l’Université de Cracovie. M. fut vice-président de l’Union Internationale des Académies et membre du Comité chargé de la publication du Corpus philosophorum Medii Aevi. Au commencement de l’occupation allemande il fut emprisonné et transporté à Breslau et Sachsenhausen, d’où il revint en mars 1940. La guerre finie, il reprit ses fonctions de professeur. Michalski mourut le 6.VIII 1947.M. est par excellence l’historien de la philosophie du XIV s., qui avant lui fut très mal connue. C’est le criticisme, le sceptisme et le nominalisme, qui d’après M. caractérisent le mieux la scolastique décadente. M. montra aussi les sources de ces courants (l’augustinisme, Algazela, Maimonide, l’averroisme, le scotisme, la logique d’Aristote). M. prouva, qu’Oxford et Paris furent les centres de la spéculation du XIV s., et il tira, en outre, de l’oublie où étaient tombés quelques philosophes tel que Jean de Mirecourt. M. corrigea les erreurs de ses prédécesseurs qui s’occupaient de l’esse su- biectivum in anima (Prantl), ou des deux Buridans prétendus. M. s’intéressait vivement à la pensée de Dante. Il étudia la mystique et la scolastique du poète italien. Ses dernières recherches scientifiques sont consacrées â l’épistémologie de Dante. Nous devons a M. un essai sur le Logos et l’Eros chez Dante, où il concentra les idées de Dante autour du triple amour (eros, philia, agape). M. est l’auteur de quelques esquisses historiosophiques (par ex. „Le thomisme en face de l’historiosophie contemporaine“). M. comme historiosophe s’inspirant de St. Tomas professe un optimisme imperturbable et une profonde foi dans le progrès de l’humanité. Cet optimisme se fonde sur la métaphysique thomiste et le théisme. M. cultivant un thomisme éclairé, joignant les principes du Docteur Angélique aux découvertes modernes, présenta ses vues sur la sublimation thomiste. M. fut donc un historien éminent et un représentant en vogue de la philosophie chrétienne en Pologne.
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Aleksander Usowicz
Aleksander Usowicz
Władza państwowa w służbie narodu
Władza państwowa w służbie narodu
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Roczniki Filozoficzne:
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Kazimierz Kłósak
Kazimierz Kłósak
Metafizyczna i fizyczna zasada przyczynowości wobec relacyj niedodokładności W. Heisenberg
Le principe physique et métaphysique de causalite et les relations d’incertitude de M. Heisenberg
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L’étude présente se propose de trouver, si les relations d’incertitude de M. Heisenberg conduisent ou non à des conclusions destructives du principe physique et métaphysique de causalité.M. Heisenberg énonce le principe physique de causalité sous la forme d’un schéma de prévision. Mais on ne peut identifier le principe physique de causalité avec un schéma de prévision. Notre principe est seulement équivalent avec un schéma de prévision de M. Heisenberg. En se basant sur cette relation d’équivalence on peut dire que 1) si la mécanique quantique ne démontre pas la fausseté d’un schéma de prévision, elle ne démontre pas non plus la fausseté du principe physique de causalité, 2) si la mécanique quantique ne démontre pas la vérité d’un schéma de prévision, elle ne démontre pas non plus la vérité du principe physique de causalité, 3) si du point de vue de la mécanique quantique un schéma de prévision est privé d’un sens physique, aussi du point de vue de la mécanique quantique le principe physique de causalité est privé d’un sens physique. Les deux premières conclusions signifient que le principe physique de causalité est empiriquement improuvable du côté de l’expériénce microcosmique. Mais on peut démontrer en faisant une analyse épistémologique de l’expérience macrocosmique que notre principe est aussi empiriquement improuvable du côté de l’expérience macrocosmique de telle fason qu’aucune épreuve empirique de ce principe n’est possible.S’il s’agit de principe métaphysique de causalité on ne peut rien conclure sur ce principe en prenant pour point de départ un schéma de prévision qui n’est pas une conclusion de ce principe.
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Stanisław Adamczyk
Stanisław Adamczyk
Psychologia małp
Psychologia małp
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Roczniki Filozoficzne:
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Wincenty Granat
Wincenty Granat
Styl tomizmu:
Na marginesie „De ente et essentia" św. Tomasza z Akwinu
Le style du thomisme
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Roczniki Filozoficzne:
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Andrzej Wojtkowski
Andrzej Wojtkowski
Ks. Idzi Radziszewski (1871—1922)
Ks. Idzi Radziszewski (1871—1922)
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L’auteur trace une esquisse bio- et bibliographique du philosophe Idzi (Gilles) Radziszewski, originaire du Royaume de Pologne, élève de F Académie Catholique-Romaine de St. Pétersbourg et de FUniversité de Louvain. Après son retour de Louvain Radziszewski devint collaborateur de la Revue Philosophique de Varsovie, où il publia ses premiers travaux rsur la renaissance de la philosophie scolastistique et sur la bibliographie de la philosophie polonaise. Quelques années plus tard, il commença, en s’appuyant sur les travaux du physiologiste français, Élie de Cyon, sa lutte contre le darwinisme et la philosophie de Kant. Cependant en opposition avec son maître il ne prêcha pas le retour à la philosophie de Leibniz, mais la réception de la philosophie néoscolastique. Dans son livre sur les origines de la religion il passa en revue d’une manière extrêmement critique toutes les théories non-catholiques sur la genèse de la religion. D’accord avec les théories ethnologiques il constata que le monothéisme était la forme primordiale de la religion. Les réformes qu’il acheva au Séminaire de Włocławek servirent de modèle pour presque tous les séminaires dans le Royaume de Pologne. Quelques mois avant le début de la guerre de 1914 il devint recteur de l’Académie Catholique-Romaine de St. Pétersbourg. Pour faciliter aux étudiants de l’Académie la spécialisation il se mit à y fonder deux facultés, une faculté de théologie et une faculté de droit canon. La guerre et plus tard la révolution en Russie Fempêcbèrent d’accomplir ce projet approuvé déjà par plusieurs évêques. En été 1918 il retourna en Pologne et après avoir reçu l’approbation du congrès des évêques présidé par Achille Ratti et du Ministre de l’Instruction Publique il fonda avec l'appui financier de Karol Jaroszyński et Franciszek Skąpski l’Université Catholique de Lublin. Radziszewski devint le premier recteur de la nouvelle université dont il garda la direction jusqu’à sa mort en 1922.
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Roczniki Filozoficzne:
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Józef Pastuszka
Józef Pastuszka
O metafizyce, jej kierunkach i zagadnieniach
O metafizyce, jej kierunkach i zagadnieniach
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Roczniki Filozoficzne:
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J. Drzazga
J. Drzazga
Mechanizm ewolucji w odniesieniu do filogenezy człowieka
Mechanizm ewolucji w odniesieniu do filogenezy człowieka
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Roczniki Filozoficzne:
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Psychologia Ogólna
Psychologia Ogólna
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Kazimierz Klósak
Kazimierz Klósak
Pojęcie i słowo
Pojęcie i słowo
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Roczniki Filozoficzne:
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J. A. P.
J. A. P.
Działanie woli
Działanie woli
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 1
Stanisław Majdański
Stanisław Majdański
O naturze logicznej transcendentaliow w aspekcie pryncypiow ogolnej teorii bytu
La Nature Logique des Transcendentaux du Point de Vue des Principes de la Théorie Générale de l’Ètre
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Dans cet article l’auteur réunit certaines considérations sur des problèmes relevant de la „métathéorie” (au sens large de ce mot) de la philosophie. Il y traite — d’une façon aussi simple et aussi peu technique que possible (sans symboles) — de deux groupes de problèmes: A) questions générales relatives à une conception rationnelle de la philosophie et, plus particulièrement, à la théorie générale de l’être (dans sa forme existentielle contemporaine), liées aux propriétés essentielles de l’activité cognitive intellectuelle en métaphysique; B) questions spéciales ayant trait à la nature logique des transcendentaux et des principes de la théorie générale de l’être. Les analyses ont un caractère systématique; l’aspect historique des problèmes est laissé de côté. Ce sont la dissertation d’A. Krąpiec sur les transcendentaux et les principes („Roczniki Filozoficzne”, 7(1959), f. 1, p. 5—71) ainsi que, partiellement, les importants ouvrages du même auteur consacrés au réalisme de la connaissance humaine (Realizm ludzkiego poznania) et à la théorie de l’analogie de l’être (Teoria analogii bytu) qui ont décidé l’auteur à entreprendre l’étude de l’ensemble des problèmes en cause, surtout en ce qui concerne ceux du second groupe (qui donnent d’ailleurs le titre au présent article).Dans la première partie (A) sont examinés les problèmes suivants: 1° la possibilité de réaliser en philosophie le postulat de l’unité de la science, en un sens différent de celui que le Cercle de Vienne donnait à ce terme, (tout en tenant compte du caractère spécifique de la philosophie); 2° la possibilité de réaliser dans la théorie de l’être le postulat de la communicabilité scientifique; 3° le rôle de ce qu’on appelle fonction „sagesse” en philosophie; 4° la signification du postulat de la précision pour ce qui est du savoir philosophique; 5° l’analogie sur le plan historique de la méthodologie des sciences (développement métathéorique des mathématiques et, actuellement, de la philosophie). Les problèmes énumérés — on le voit assez — touchent des points hautement intéressants (sans parler de la tendance à cultiver la philosophie déducti- vement ou axiomatiquement, des postulats de la „vérifiabilité”, du rôle des éléments intuitifs et discursifs, de la fonction de l’analogie et des hypothèses métaphysiques, etc.) et en même temps pour beaucoup passablement suspects au point de vue métathéorique, points essentiels pour le développement ultérieur de la philosophie scientifique. La tâche n’est point aisée puisqu’il s’agit de réaliser sur le terrain de la philosophie les postulats métathéoriques de toute connaissance rationnelle scientifique sans pour autant vouloir porter atteinte aux intentions traditionnelles des métaphysiciens. C’est pourquoi dans bien des cas l’auteur a dû se contenter de montrer ou simplement de signaler ces problèmes complexes ou de proposer, tout au plus, certaines modalités de solution.La deuxième partie (B) contient des remarques caractérisant la structure logique des transcendentaux du point de vue des principes de la théorie générale de l’être. Elles se groupent autour des problèmes suivants: 1° considérations préliminaires (le traditionnel schéma tripartite des opérations intellectuelles génératrices de la science et constitutives des produits de celle-ci); 2° transcendentaux et principes et l’analyse de la structure des concepts et des jugements; 3° portée existentielle des diverses structures cognitives de la philosophie (concepts et jugements); 4° analyses comparatives relevant des points 2 et 3; 5° liens entre transcendentaux et principes sur le plan de la genèse et de la structure; 6° remarques finales et questions ouvertes. En tenant compte du critère de la présence ou de l’absence de l’élément existentiel dans les structures philosophiques analysées ainsi que de leur nature conceptuelle ou de leur nature de jugement, on peut déterminer toutes les variantes possibles (de ces deux points de vue) de solutions des problèmes qui nous intéressent ici, surtout après les avoir fait précéder des considérations du point 5. A la suite d’une telle analyse accompagnée de certains arguments, l’auteur penche plutôt pour une conception quasi-traditionnelle qui affirme la nature conceptuelle des transcendentaux et qui considère les principes comme relevant du jugement; l’auteur tient compte de trois types de motifs: pragmatiques, sémantiques et syntactiques. Pour les concepts (transcendentaux) est caractéristique la fonction de l’appréhension simple, différente de l’assertion qui est essentielle pour les jugements (principes). Les deux structures cognitives peuvent avoir une portée existentielle, modifiée par leurs facteurs pragmatiques susmentionnés. Le caractère nominatif des transcendentaux et le caractère propositionnel des principes détermine également le statut respectif de concept et de jugement de ces deux structures intellectuelles. Cette tendance de l’auteur n’est pas entièrement compatible avec la théorie ou plutôt avec les suggestions d’A. Krąpiec, qui constituent pourtant le point de départ immédiat du présent article. Selon cet Auteur il faut conférer aux transcendentaux (pour des raisons génétiques) le statut méthodologique de jugement (en raison de certains principes qui sont dans un rapport génétique avec eux; ainsi p. ex. à la notion d’être doit être coordonnée une certaine forme du principe d’identité). Il semble ne pas voir le côté pragmatique du problème en question et en ce qui concerne l’aspect sémantique, il semble priver les concepts de leur portée existentielle. En retenant le traditionnel caractère existentiel des transcendentaux, il est enclin à donner à ces derniers le statut de jugement, pour des raisons génétiques aussi. D’ailleurs ses énoncés ne sont pas toujours suffisamment clairs: il suggère pour ainsi dire la possibilité d’appliquer deux sortes de concepts universels: sans portée existentielle — univoques — et transcendentaux (comportant l’élément existentiel).Il importe de souligner encore que l’auteur de cet article ne s’est point proposé de donner de solutions définitives; il n’a voulu que caractériser le problème et suggérer quelques solutions hypothétiques, éventuelles. Son but principal a été de signaler (surtout aux métathéoriciens ainsi qu’aux métaphysiciens ayant des préoccupations métathéoriques), d’une façon d’ailleurs assez imparfaite, un ensemble fort complexe de problèmes et en même temps important pour la construction d’une théorie réaliste de l’être, correcte au point de vue métathéorie, forme et fond.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
10 >
Issue: 1
Stanisław Majdański
Stanisław Majdański
Mietod analiza w sowriemiennoj burżuaznoj filosofii
Mietod analiza w sowriemiennoj burżuaznoj filosofii
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 1
Stanisław Kamiński
Stanisław Kamiński
Systematyzacja typowych błędow logicznych
Systematyzacja typowych błędow logicznych
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
10 >
Issue: 1
J. Herhut
J. Herhut
Philosophy and Linguistic Analysis
Philosophy and Linguistic Analysis
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
10 >
Issue: 1
Halina Wistuba
Halina Wistuba
Teoria z'a w Enneadach Plotyna:
Proba oceny na tle systemu
Teoria z'a w Enneadach Plotyna
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Roczniki Filozoficzne:
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10 >
Issue: 1
Stanisław Kowalczyk
Stanisław Kowalczyk
Próba opisu jedności transcendentalnej
Une Tentative de Description de l’Unite Transcendentale
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Il est impossible de définir l’unité transcendentale et cela, pour deux motifs: l’extension de cette notion et son caractère analogique. S’il est impossible de donner une definition de l’unite en cause, il est d’autant plus important d’en fournir une explication et une description.Une description correcte de l’unité ontique doit comporter, au moins implicite, les caractères suivants:1° L’unité transcendentale a deux élements constitutifs: l’entité positive — élément réel, et l’indivision — entité logique. La négation contenue dans la notion d’unité est une négation de la division formelle des choses et de par son caractère, elle s’approche de l’absence.2° Le trait caracteristique formel de l’unité ontique est ipsa entitas rei, tandis que l’indivision n’est qu’une condition de l’existence de cette unité.3° C’est existence — acte suprême de l’être réel — qui joue un rôle actif dans la constitution de l’unité ontique. Etant donné que l’entité réelle est l’élément formel de l’unité transcendentale et que l’acte de l’existence est l’acte suprême de tout être, c’est cette existence qui est précisément l’élément ontique décisif en ce qui concerne la constitution de l’unité.4° L’apparition de l’unité est conditionnée par l’indivision actuelle (indivisio) des choses, tandis que l’indivisibilité (indivisibilitas) n’est pas le caractère nécessaire d’une telle unite.5° Une description correcte de l’unité ne doit pas nécessairement contenir les mots divisum ab aliis. La séparation d’avec d’autres êtres est caractéristique plutôt pour une autre propriété de l’être qu’on nomme aliquid .6° L’unité transcendentale ne s’identifie pas avec l’identité. Les termes: „unité de l’être en général” et „être”, peuvent s’employer indistinctement; l’identité par contre n’est qu’une congruence des êtres sur le plan de la substance.7° La notion d’unité a un caractère transcendental et analogique, et elle découle directement de la notion d’être.La définition traditionnelle de l’unité — unum est id quod est indivisum in se et divisum ab alio — ne répond pas à ces postulats. Cette description est trop générale et elle s’insère aussi bien dans la métaphysique d’Aristote que dans celles des néo-platoniciens, d’Avicenne, de S. Thomas d’Aquin et de Duns Scot.De toutes les descriptions de l’unité transcendentale connues, la meilleure est encore celle de S. Thomas: unum est ens id quod est distinctio per ens et non ens. Les descriptions présentées par Jean de S. Thomas, Garrigou-Lagrange, Forest, Gickler, Dezza, Manser, Chojnacki, Krąpiec et Kwiatkowski ne sont pas, malheureusement, entièrement satisfaisantes.C’est à partir de la conception existentielle thomiste de l’être qu’on pourrait construire une nouvelle formule de l’unité transcendentale: L’unité transcendentale est l’indivision formelle interne de l’être consécutive à son existence distincte (analogiquement proportionnelle à son essence).
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Kamiński i A. Stępień
Kamiński i A. Stępień
Krytyka ludzkiego poznania
Krytyka ludzkiego poznania
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 1
Leopold Regner
Leopold Regner
Szesnastowieezny rękopis biblioteki kapitulnej w Wojniczu
Die Wojniczer-Handschrift aus dem 16. Jahrhundert
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Gegenstand dieser Abhandlung ist eine in der Pfarrbibliothek in Wojnicz zuletzt neu entdeckte, bisher unbekannte, lateinische Handschrift, die eine scholastische Auslegung der aristotelischen Logik und Physik enthält. Auf diesen Inhalt der Handschrift deutet der auf dem Einband eingeprägte Titel, nämlich: Logica Aristot[elis] et Physicorum 8, hin.1. Der Inhalt der Handschrift. Der erste Teil (fol. 1—363) enthält eine Auslegung der Logik in Form von Erläuterungen (Kommentaren) zur Dialektik von Petrus Fonseca, zur Isagoge von Porphyrius und zu folgenden Schriften von Aristoteles: Kategorien, Peri hermeneias und die beiden Analytiken. Der zweite Teil der Handschrift (fol. 368—625) enthält Kommentare zu den sechs ersten Büchern der Physik von Aristoteles.2. Die Herkunft der Handschrift. Die in der Handschrift vorhandenen Fehler und Irrtümer weisen darauf hin, daß der Abfasser der Wojniczer- Handschrift ein Schüler gewesen sein muß, der die von einem Professor diktierten Vorlesungen geschrieben hat. Diese Fehler konnten nur auf solche Weise entstehen, daß der Schreibende, der sonst die lateinische Sprache beinahe gut beherrschte, die griechische aber außer dem Alphabet kaum kannte, den von einem Professor diktierten Text aufschrieb.In der Handschrift sind gewisse Anmerkungen, aus den man auf Zeit und Ort der Abfassung, ebenso wie auf den Namen des Abfassers schliessen kann. Eine auf den Blättern 34v, 35 vorhandene Herkunftsnotiz berichtet, daß der Abfasser der Handschrift in den Jahren 1594—1597 Philosophie in Posen und dann in den Jahren 1597—1602 Theologie in Wilno studiert hatte. Nachdem er zuerst den Grad des Bakkalaureates, und bald den des Magisters der facultas artiuman der Krakauer Universität im Jahre 1603 erhalten hatte, hielt er Vorlesungen an der Artistenfakultät in den Jahren 1603—1605. Aus den Dokumenten der Krakauer Universität kann man schliessen, daß der Abfasser der Woj- niczer-Handschrift kein anderer als Johann Kwaśnicki sein kann, und zwar derselbe, den der Synodus provincialis 1628 von J. Wężyk als den Praepositus von Wojnicz erwähnt. Die Handschrift ist in den Jahren 1594—1596, während J. Kwaśnicki die Philosophie im Posener Jesuitencollege studierte, verfaßt.3. Der eignetliche Verfasser der Handschrift. Die Handschrift ist kein unabhängig verfaßtes Werk von Johann Kwaśnicki. Für den eigentlichen Verfasser soll man einen Professor, dessen Vorlesungen von J. Kwaśnicki niedergeschrieben worden sind, halten. Ein Katalog des Jesuitencollege von Posen läßt uns feststellen, daß dort Hieronymus Stefanowski der damalige Professor der Philosophie war. Infolge dessen sollte man am sichersten behaupten, daß die in der Wojniczer-Handschrift enthaltenen Vorlesungen von Hieronymus Stefanowski herrühren. Stefanowski hatte damals den Huf eines begabten Philosophen, hat jedoch keine philosophischen Werke hinterlassen.Die Wojniczer-Handschrift wird einen ziemlich bedeutenden Beitrag zur Geschichte des Unterrichtes der Philosophie in Polen liefern. Wenn die in der Wojniczer-Handschrift enthaltenen Vorlesungen wirklich von dem Hieronymus Stefanowski herrühren, so lassen ihn dieselben als Philosophen in einem neuen Licht erscheinen.
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